Neurophysiologie

déduit une loi plus précise des travaux de Weber : La loi Webber-Fechner : la sensation croit comme le logarithme de l’excitation. C’est aussi au XIX que la physiologie et la neurophysiologie se développe et un grand nombre de découvertes sont faites. (système nerveux, nerfs sensoriels, …) Ces progrès de la neurophysiologie font que la psychophysiologie détrône la psychophysique. La psychophysique étudie les rapports entre stimulation physique et sensation, alors que la psychophysiologie étudie

et le maintien de la température corporelle, de la pression artérielle, du rythme cardiaque, sont suffisamment établis pour ne plus être l’objet de contestation sérieuse de la part des physiologistes. À la lumière des découvertes faites en neurophysiologie expérimentales depuis un demi-siècle 38, il apparaît non seulement que le système nerveux central étend souvent son action jusqu’aux organes viscéraux, c’est-à-dire bien au-delà du terme fixé 37. H. Spencer, « L’administration ramenée à sa

|Année Académique 2008-2009 | TFE | [pic] Table des matières : La maladie de Parkinson 1. Introduction 4 2. Neurophysiologie : étude de la réception et de la transmission de l'information par les cellules nerveuses ou neurones. 6 a. Le neurone 6 b. Conduction d'un influx nerveux 9 c. Transmission chimique de l'influx : les synapses 10 3. Explication

s’éloigne de l’individuel pour rejoindre l’universel. Rien n'existe séparément. b) Elle tend aussi à montrer qu’il existe une mémoire archaïque du vital, sur lequel le mental de l’homme est construit. Il semble que les études contemporaines de neurophysiologie confirment largement les vues de Jung, tandis qu’elles infirment les hypothèses de Freud sur la sexualité. c) La théorie de l’inconscient collectif permet de jeter un pont entre la psychologie et l’étude des mythologies. Elle propose un

le moyen est toujours lui aussi second : par rapport à une fin qui doit être posée préalablement et par rapport à laquelle il a un sens... mais peut-être pas une justification comme nous le verrons par la suite.) Arguments et références : la neurophysiologie, la psychologie animales et la paléontologie nous apprennent, d’après Fromm, un psychanalyste américain, que les animaux ne sont agressifs a/ qu’en vue de se nourrir, de se conserver en vie : l’agressivité est moyen (seulement) b/qu’en réaction

Il semble donc intéressant d'expliquer les fondements physiologiques sous-jacents à l'application des techniques visant à améliorer la souplesse. Pour cela, il faut faire appel à quelques notions d'anatomie, de biomécanique des tissus et de neurophysiologie. Partant de là, il sera possible d'en comprendre les effets et d'en tirer les grands principes à respecter pour être efficace dans notre action. Comment caractériser la souplesse ? Et comment la solliciter ? Comment caractériser la souplesse

l’environnement: plus l’environnement est riche plus le cerveau est lourd. * niveau microscopique Þ l’augmentation du volume du cerveau est liée a une augmentation importante des arborisations neuro-dendritiques et des connections synaptiques. La neurophysiologie nous apprend que l’activité cérébrale dépend du nombre de connections entre neurone. Cette expérience nous montre que l’environnement a une influence sur le développement du cerveau mais il existe un seuil. De nos jours le combat inné-acquis

problématique toute entente. En premier lieu, des obstacles méthodologiques : l'observation empirique s'opposant à l'intuition interprétative. .D'un côté, on trouve des références implicites ou explicites au développement neurologique ou à la neurophysiologie, la preuve est d’ordre rétroactif ; la thérapie n'est possible que lorsque l'enfant est capable d'accéder au langage. De l'autre, l'accent est mis sur l'existence d'une vie psychique non-verbale et s'appuie sur une technique novatrice, celle

d'origines très diverses, tout à la fois dans le prolongement de la psychologie animale (Tolman, Krechevski, Brunswik), de la psychologie génétique, de la psychologie sociale (Lewin, Asch, Heider, Festinger), mais aussi de la gestaltpsychologie, de la neurophysiologie, la psychologie cognitive s'installe au cours des années 80, au travers des travaux sur l'information. Actuellement en grand développement, elle pénètre toute la psychologie au point d'englober progressivement toutes les tendances antérieures

traite de manière différente : a) les situations ambiguës avec des informations contradictoires ou lacunaires b) les situations risqués qui peuvent se prêter à une évaluation en termes de probabilités même subjective D’autre part la neurophysiologie de la mentalisation montre que le cerveau n’appréhende pas, selon les mêmes modalités : Les informations concernant les autres êtres humains et les informations portant sur les objets du monde extérieur. 2) La problématique La neuroéconomie