Nietzsche Tout Ce Qu On Appelle Amour

S5 Manque cours du 17/09/2010 23/09/2010 II) La relation entre Nietzsche et Schopenhauer 1. Une culture de la Sainteté Qu’est-ce que faire un homme dans la modernité? On ne peut pas faire un homme sans maitre mais ce maitre n’en est pas un s’il ne conduit pas à une surhumanité. Dans le texte on y voit émergé quelque chose de très étrange car d’une part Nietzsche développe une culture de la sainteté ( Nietzsche célèbre Schopenhauer) ; d’autre part en quoi l’œuvre peut être concerné

roman sont des gens de toutes conditions, l’auteur donne au lecteur une large palette de rangs sociaux allant de l’aristocratie aux couches populaires. Pour Stendhal, cette vraisemblance ne sert pas uniquement à découvrir l’existence humaine. Il écrit dans son Journal : “La première qualité d’un roman doit être de raconter, amuser par des récits, et pour pouvoir amuser les gens sensés, peindre des caractères qui soient dans la nature.” Selon lui, ce réalisme sert avant tout à divertir le lecteur mais

nécessairement par l’erreur. Le bon sens dirait : « On peut se tromper, pour découvrir la vérité. Mais on peut aussi la découvrir sans se tromper. » Cependant, notre sujet est : « Faut-il d’abord » : ici, le passage est nécessaire et préalable. Disons tout de suite que la « vérité » dont il est question n’est pas la « réponse juste » à un problème de mathématiques ou à une question d’Histoire – cette vérité-là, je peux l’atteindre sans détours, parfois -. La vérité qui nous occupe ici est celle des philosophes

bat son plein en pleine campagne : elle atteint jusqu’aux lèvres de nos candidats, qui rivalisent d’idées autant que d’injures. Alors pourquoi toute cette haine ? L’homme est-il un animal violent incurable ? Mais d’abord, qu’est-ce que la haine ? Nietzsche constate qu'elle repose généralement sur un sentiment d’infériorité. Est haineux celui qui a le sentiment de son insuffisance, en éprouve de la peur et cherche à la renverser. Est donc haineux celui qui se compare et qui, évaluant sa force par rapport

artistique, le néoclassicisme lui succède à partir de la seconde moitié du XVIIIe siècle. Le terme « baroque » provient du portugais barroco et désigne à l'origine les perles de forme imparfaite. Au XVIIe siècle, ce terme est péjoratif car il qualifie tout ce qui est bizarre, hors des normes. Depuis le XXe siècle, les historiens de l'art appellent « baroques » les œuvres d'art du XVIIe siècle caractérisées par des thèmes comme l'illusion, la métamorphose, les courbes, le foisonnement du décor, l'ouverture

intellectuel que fut redécouvert la spéculation mystique allemande du Moyen-Âge personnalisée par Maître Eckhart et celle de l'époque moderne personnalisée par Jakob Boehme. Bien plus qu'une simple inspiration, ces penseurs sont le squelette qui sous-tend tout le système métaphysique qui a vu le jour sous l'idéalisme allemand. Ainsi, comme le soutenait Franz Pfeiffer, qui publia pour la première fois les écrits allemands de Maître Eckhart sous l’influence de Franz Xaver von Baader : « Les mystiques allemands

mauvaises -le masochisme -religion : on adore un être qu'on ne voit pas -la démocratie : plus de hiérarchie comme chez les animaux, or tout le monde n'a pas les mêmes compétences politiques -pudeur + interdiction de l'inceste -guerre -homosexualité, fétichisme. -perversions « l'homme est le seul être qui boit sans soif et qui fait l'amour en tout temps » (autrement dit qui cherche des satisfaction au delà de ces besoins) -les progrès technique : les animaux se contentent des outils

publié par Stock. Le récit est très défavorable à Malraux, qui y apparaît sous les traits d’un mythomane et d’un personnage très soucieux, à son retour, de passer sous silence le rôle que sa femme a joué dans l’aventure. Cette expédition atteste, en tout cas, la persistance, chez Malraux, du goût pour l’archéologie. Elle a certainement exercé une influence sur la genèse d’idées qui seront développées plus tard, dans les travaux sur l’art. Un voyage en Chine, effectué en 1931, a peut-être suscité en

de morale. Comment peut-on, en effet, qualifier une action de moralement bonne ou mauvaise, si l’auteur de cette action ne possède pas la liberté et n’est donc pas responsable ? Contrairement au droit qui, d’une certaine manière, contraint, puisque tout manquement au respect des lois est sanctionné, l’obligation morale n’est jamais contrainte matérielle. Que faut-il donc entendre par obligation ? Dans la culture latine, obliger se réfère au droit d’un créancier à exiger du débiteur le remboursement

Le bien est ce qui fait un bien (plaisir, jouissance) ou ce qui est bien (ce qui est digne, vertueux) Le mal est ce qui fait mal (souffrance, douleur) ou ce qui est mal (indigne, vicieux) Il n’y aurai pas d’éthique si tout ce qui fait du bien est bien et que si tout ce qui fait mal est mal : le viol fait du bien mais est mal ; traverser les flammes pour sauver un enfant fait mal, mais c’est bien. Civilisations hédonistes : en principe ce qui fait du bien est bien, sauf excès. Civilisation doloriste