Nil

de nombreuses personnalités et devient souvent leur conseiller lors de ses périples à rallonge. On peut distinguer quatre périodes dans ces voyages : 1325-1327 : premier pèlerinage à La Mecque (le hajj) par le Maghreb, exploration de la vallée du Nil, de la Syrie, de l'Irak et des villes d'Iran ; 1328-1330: deuxième pèlerinage à La Mecque en passant par les côtes du sud de la péninsule arabique jusqu'à Kilwa kisiwani et sur les côtes est africaines de culture swahilie ; 1330-1346 : troisième pèlerinage

n’ont jamais vu l’électricité. - Il y aura moins de chômage, car il y besoin d’employés pour le construire. Mais malgré ces bonnes conséquences il y en a beaucoup qui sont mauvaises en voici quelques exemples : le déplacement de 50 000 Nubiens loin du Nil, sans infrastructures médicales et sans écoles la disparition des sardines l’absence de limon qui est l’apport principal pour le delta qui depuis recule beaucoup la fragilisation des berges du fleuve la perte d’eau par évaporation l’utilisation d’engrais

Seine…). C’est particulièrement vrai dans les zones les + arides où les sociétés ont dès l’origine concentré leurs activités près des rares points d’eau. Le meilleur exemple en est évidemment la société de l’Egypte ancienne qui a aménagé la vallée du Nil (qui reste une constante dans le peuplement de l’Egypte actuelle). Quelles sont donc les techniques de captation utilisées par les hommes depuis les origines ? Les + anciennes techniques ? - le puits : il s’agit d’aller chercher l’eau dans des nappes

(740 millions d'habitants). •  Des foyers secondaires, plus petits, apparaissent en Amérique (le Nord-Est américain et la région des Grands Lacs, le bassin de Mexico, le littoral compris entre Rio de Janeiro et Sao Paulo) et en Afrique (la vallée du Nil, le golfe de Guinée et la région des Lacs africains). II. Comment expliquer ces vides et ces pleins ? 1. Le rôle des conditions naturelles Les vides les plus importants (l'Arctique, l'Antarctique, le Sahara, l'Australie) correspondent à des milieux

A LA RECHERCHE DES SOURCES DU NIL Introduction : Nous allons vous présenter notre sujet qui s’appelle : A la recherche des sources du nil, nous allons commencer par vous parler des deux principaux explorateurs dont nous nous sommes inspiré pour écrire notre journal de bord Richard Francis Burton et John Hanning Speke, puis nous allons vous présenter le Nil et ses mysteres, pour finir nous allons vous lire deux extrait du propre journal de bord de Speke en 1856, tiré d’internet. I. BIOGRAPHIE

(3000 à 2200) La notion d’empire est ici une notion mal choisie puisqu’il renvoie à l’empire romain mais on l’emploie par commodité. Cet ancien empire est fondé par Ménès qui déjà s’intitule pharaon. Ce 1er pharaon unifie politiquement la vallée du Nil aux environs de 3000 tandis qu’auparavant il y avait deux royaumes en Egypte qui reprenaient deux zones géographiques à savoir la haute Egypte, rurale, rude, et la basse Egypte, urbanisée et déjà commerçante. Or, Ménès unifie ces deux royaumes et fonde

d'habitants sur 5 millions de km²). Des foyers secondaires, plus petits, apparaissent en Amérique (le Nord-Est américain et la région des Grands Lacs, le bassin de Mexico, le littoral compris entre Rio de Janeiro et Sao Paulo) et en Afrique (la vallée du Nil, le golfe de Guinée et la région des Lacs africains). 2. Comment expliquer ces vides et ces pleins ? 2.1. Le rôle des conditions naturelles Les vides les plus importants (l'Arctique, l'Antarctique, le Sahara, l'Australie) correspondent à des

dans les années 1950 notamment avec les travaux de Placide Tempels[3] sur La Philosophie Bantoue et les réactions et controverses qu’ils devaient engendrer. Avec le recul, il a été démontré que la philosophie africaine s’enracine dans la Vallée du Nil, berceau de la civilisation. L’affirmation de cette origine sera légitimée et justifiée par les travaux de Cheikh Anta Diop[4] et de son disciple Théophile Obenga dans lesquels ils mettent en évidence l’existence d’une philosophie dans l’Egypte antique

dans l’eau ses pieds de pierre. On entendait mugir le semoun meurtrier, Et sur les cailloux blancs les écailles crier Sous le ventre des crocodiles. Les obélisques gris s’élançaient d’un seul jet. Comme une peau de tigre, au couchant s’allongeait Le Nil jaune, tacheté d’îles. L’astre-roi se couchait. À l’abri du vent, La mer réfléchissait ce globe d’or vivant, Ce nom de, âme et flambeau du nôtre ; Et dans le ciel rougeâtre et dans les flots vermeils, Comme deux rois amis, on voyait deux soleils Venir

à cause du Nil que l’Egypte est africaine et non Méditerranéenne. Les anciens égyptiens n’aiment pas naviguer sur la mer, utilisant pour cela des armateurs phéniciens, crétois et grecs. Ce sont des gens de l’intérieur, des fluviaux. Leur univers est le Nil, dont le delta marécageux les isole de la mer, mais dont le cours les mène au fond du continent. En aval du lac victoria, au sud de l’équateur, le Nil paresse dans les marécages du Bahr-el-Gazal. A Karthoum, il fusionne avec le Nil bleu venu d’Ethiopie