Noblesse de robe

cours d'une séance appelée «lit de justice». Il doit respecter les privilèges: -du clergé comme la perception de la dîme -de la noblesse (droits seigneuriaux) -des villes qui sont exemptes de la taille -des provinces qui ont conservé des etats provinciaux. Les états généraux:Il s'agit d'une assemblée de représentants des trois ordres de la société (noblesse, clergé, tiers etat).Le monarque à l'initiative de la convocation ou non des états généraux, en principe en cas de crise grave. Le

politiquement que si l'on se montre à Versailles. Le château deviendra ainsi une prison dorée pour les Grands qui seront définitivement muselés. Réduits à l'état de courtisans, ils ne se disputeront plus désormais que pour le privilège de tenir la robe de chambre du roi! Jamais plus ils ne défieront l'autorité royale ; la Fronde aura été leur dernier sursaut. Son règne est marqué par des guerres : 1667-1668 : guerre de dévolution contre l’Espagne. La France gagne facilement et conquiert la

critique les magistrats, et les avocats qui ont été, par le roi, « honorés de la pourpre » (l.41). Cela signifie donc qu’il s’oppose à la noblesse dite de robe, la « pourpre » faisant donc référence à la couleur des vêtements des consuls. Ce qu’il déplore c’est donc, la « vénalité des charges » (l.43), aussi appelé vénalité des officiers, que possède la noblesse. En effet, c’est dernier possède donc des charges publics, c’est à dire que leur fonctions et leurs charges leur sont attribuée, contre

de faire dans une circonstance donnée, c'est avoir le goût bon et les manières bonnes, comme on aurait dit à l'époque. La société policée du XVIIe siècle, composée principalement de l'aristocratie ancienne (dite "d'épée") et de la noblesse parlementaire (de "robe"), auxquelles s'agrège peu à peu la partie riche et éduquée de la bourgeoisie, cherche à formuler les règles idéales du comportement social sous le nom d'honnêteté, d'honnête homme. Mais il y a deux sortes d'honnêteté: l'une mondaine

la fin de la Renaissance à la Révolution Française ; elle marque la fin du Royaume de France et l’avènement de la Première République Française (du 16e au 18e siècle). Pendant cette période, la société est divisée en trois ordres : le clergé, la noblesse et le tiers-état. C’est une société hiérarchisée dans laquelle l’individu ne bénéficie pas de droits individuels, mais de ceux de son groupe social. Le catholicisme est la religion d’Etat et de la Couronne, aussi, la très grande majorité des Français

est l’emblème de la beauté simple et naturelle. -Son corsage est modeste, sa robe n’est pas luxueuse (simple & sobre) Met en valeur son abnégation, elle refuse le bonheur. Elle est donc également porteuse de sens. Sa toilette a un caractère singulier qui est mis en valeur par un jeu d’antithèses « Quelque modeste que fut son corsage, il ne cachait pas l’élégance de sa taille »l3372/3373 « Le luxe de sa robe consistait dans une coupe extrêmement distinguée »l3375 Sa tenue traduit sa

l’ornementation, des étoffes et des coloris. On accorde toujours une grande importance aux fleurs de lys or sur fond azur, symbole de la royauté française. Les matières sont généralement lourdes, telles que le velours ou encore l’hermine. La garde-robe du souverain répond à deux exigences, l’ostentation et le luxe qui définissent le statut du roi, et le respect du cérémonial de la vie de cour. . B) LES NOTABLES. Dès 1790, à la création des communes, les maires portent l'écharpe tricolore à

le monde à besoin de ceux qui travaillent, dc pas les « soumettre » Selon Adalbéron : 3 catégories de groupe, ayant chacun une fct° précise à remplir : - Clergé : ceux qui prient pour protect° et ont le savoir (0,5 % dl popu.) - Noblesse : ceux qui combattent pour défendre le peuple (1,5% dl popu.) - Peuple : ceux qui travaillent (artisans, paysans,…) (reste dl popu.) ⇨ respecter et non maltraiter >> besoin mutuel (Adalbéron y insiste) Selon

vivant et moins abstrait. Il impose aussi son point de vue. Allant même jusqu’à jouer avec les pronoms, remplacent le « vous » par un « nous » dans certains passage «  Vous vous mariez pour de l’argent, que deviennent nos sentiments d’honneur, notre noblesse » (L …). 2) Vautrin voit en Rastignac un jeune homme très ambitieux, bien que naïf et sans expérience Le «maitre » perce à jours le caractère arriviste de Rastignac, il voit en lui un jeune noble de province, « baron » venant d’une région

ordres mais en fait en 2 groupes sociaux : les privilégiés 2% (noblesse et haut-clergé) et le Tiers-état 98% (le reste). Cette société française est donc hiérarchisée en 3 ordres qui ont des fonctions bien particulières. Le haut-clergé, le plus riche et le moins nombreux, il a la préséance, c’est le premier ordre. Leurs rôles sont de s’occuper de l’instruction, de s’occuper des pauvres et le service du culte. Le second ordre, c’est la noblesse, qui se battent et conseillent le roi. Et enfin le troisième