Noir de fumée

l’œuvre de Malraux. Les descriptions se révèlent précises dans Germinal avec l’isotopie de la nuit « nuit sans étoiles », « obscurité », « épaisseur d’encre », « sol noir » qui sont complétés par des termes qui consistent rendre l’atmosphère de l’incipit froid et hostile « le ciel mort », « cinq ou six lanternes tristes », « de nuit et de fumée ». Ainsi, ces descriptions se rapprochent de celles de la Condition Humaine dans cette œuvre, Tchen le personnage principal qui s’apprête a commettre un meurtre

| | | |On retrouve un ciel mélangeant de la fumée noire (la fumée issue des chambres à gaz que l’on devine entre les jambes du « fantôme » et la tête du bébé) à des | |teintes rouge-orangée, symbole à la fois de sang, de souffrance et de mort ; cet enfer est partagé en deux parties : à gauche figurent des

imposant de 260cm x 325cm. Eugène Delacroix s’est inspiré de la révolution des « trois glorieuses », qui entraina la chute de Charles X. La scène se situe à Paris, on peut distinguer les deux tours de la cathédrale Notre Dame de Paris  à travers la fumée. L’artiste a pris pour sujet Marianne qui mène les révolutionnaires au combat à travers une barricade, unis sous un même drapeau. Analyse plastique et technique de l’œuvre Eugène Delacroix a opté pour un plan d’ensemble, dans un cadrage horizontal

comme le fondateur du cubisme. Les couleurs dominantes du tableau sont le blanc pâle qui évoque les cadavres mais aussi l’espoir. Le noir évoque la guerre, la terreur, l’enfer, la peur et la mort de la population, de la civilisation. Le noir et blanc évoquent les anciennes photos de guerre. La Liberté est mourante : on voir un cheval affolé et blessé qui crie, la fumée d’un incendie, une femme qui pleure avec un nouveau né, innocent, mort dans ses bras, une arme brisée qui symbolise la paix, des gens

zungenwurst (saucisse de langue écarlate de grande taille), saucisson, klepfer (cervelas),pieds de porc truffés, côte de porc salée, schieffala (palette de porc salée et fumée), gallrei (fromage de tête en gelée), crépinette, galantine (de porc, de volaille, de veau), langue de bœuf fumée de Strasbourg, poitrine d'oie fumée, tourtes (viande ou poisson) Viande : Porc, veau Gibier : Faisan, perdreau, grive, merle, canard sauvage, lièvre, garenne, chevreuil, sanglier, marcassin, cerf,chevreuil

aux yeux. Une couleur calme, chaude, apaisante qui tranche avec des points colorés très vifs à certains endroits du tableau (la partie de ciel bleu par exemple, ou la blouse rouge de femme). Cette penture est lumineuse malgré la tache, le tourbillon, noir dans la partie supérieure du tableau qui donne un sentiment de froideur, d’anxiété, qui montre que quelque chose ne va pas. Passons maintenant à l’analyse concrète du message de ce tableau. L’artiste a fourni une note avec son tableau. Celle ci

qui a pour point de départ un grand portail en briques, avec des barreaux entourés d'écrans de fumée et des lumières tamisées. les personnages entrent et sortent de la scène par ce portail. L'entrée d'Horace s'effectue avec une forte poursuite sur lui et Camille est dans l'ombre. Lorsque Horace rentre victorieux de son combat contre les Albains, il arrive par le portail duquel une fumée blanche se dégage. Elle représente la poussière et la saleté de ces champs de batailles. Mais

semble sur le point de tomber. Sa main droite est levée, prête à peindre tandis qu’à ses pieds se trouve un seau cabossé rempli de peintures et de torchons usagés d’où s’échappe une fumée. Le deuxième plan représente la toile sur laquelle l’artiste travaille : nous assistons au commencement de son autoportrait en noir et blanc. Ce dernier est beaucoup plus grand que nature, sans lunettes, agréable : le regard du peintre est pénétrant et semble plus jeune avec un visage plus rond. La pipe est ici horizontale

des domaines. Des clartés rouges Qui bougent Sur des poteaux et des grands mâts, Même à midi, brûlent encor Comme des œufs monstrueux d'or, Le soleil clair ne se voit pas: Bouche qu'il est de lumière, fermée Par le charbon et la fumée, Un fleuve de naphte et de poix Bat les môles de pierre et les pontons de bois; Les sifflets crus des navires qui passent Hurlent la peur dans le brouillard: Un fanal vert est leur regard Vers l'océan et les espaces. Des quais sonnent

bout des plaines et des domaines. Des clartés rouges Qui bougent Sur des poteaux et des grands mâts, Même à midi, brûlent encor Comme des œufs monstrueux d’or, Le soleil clair ne se voit pas : Bouche qu’il est de lumière, fermée Par le charbon et la fumée, Un fleuve de naphte et de poix Bat les môles de pierre et les pontons de bois ; Les sifflets crus des navires qui passent Hurlent la peur dans le brouillard : Un fanal vert est leur regard Vers l’océan et les espaces. Des quais sonnent aux entrechocs