Noir de fumée

plus saturé : laser (compose que d’une couleur, vert rouge bleu..) 2éme notion : contraste : rapport entre deux plages de densité différentes (rond blanc plus blanc sur fond noir et moins blanc sur fond gris) scene sombre = écran pas noir perco ds une piece obscure = point lumineux qui donne le contraste (noir encore plus noir) ex : Alien (vaisseau sombre = lampe torche (point lumi) pour donner des zones clairs et sombre mais aussi contraste des couleurs. Ex : film asiatique joue bcp avec le contraste

reflet dans un miroir situé sur une chaise à sa gauche. Ce miroir doré est décoré de l’aigle américain symbole des Etats-Unis. La main droite du peintre est levée, elle tient un pinceau posé sur la toile, où se dessine le portrait de l’artiste en noir et blanc. L’image dans le miroir correspond au reflet du peintre en train de se regarder (même taille, couleurs et posture). Il porte des lunettes qui dissimulent ses yeux et fume la pipe. Le portrait sur la toile, lui, n’a pas de lunettes. Il paraît

une épée ou l’œil qui est une larme. Cela lui permet de renforcer ce qu'il veut montrer : la souffrance de corps malmenés par la guerre (et non juste représenter le bombardement et les bombes). Ensuite, je pense que Picasso a choisi de la peindre en noir/blanc pour exprimer la gravité du sujet, et la couleur peut symboliser le deuil et la mort. Aussi, on peut voir les détails qui montrent sur le cheval où on voit des inscriptions qui sont un rappel du texte de Guernica publié dans la presse (c’est

photographie pour montrer et commenter en images les événements mondiaux marquants (politiques, sociaux, les conflits...) en les publiant dans les journaux et la presse. Le tableau : « La petite fille brûlée au napalm » est une photographie argentique noir et blanc prise le 8 juin 1972 pendant la guerre du Vietnam. Elle est conservée aux archives de l’Associated Press à New York . La photo a été prise dans le village Trang Bang  près de Saïgon. Le contexte : En 1972,C'est la période de la guerre froide

suite pendant dix nuits, une flamme chaque nuit. Pourquoi les explosions cessèrent après la dixième, personne sur Terre n’a jamais tenté de l’expliquer. Peut-être les gaz dégagés causèrentils de graves incommodités aux Martiens. D’épais nuages de fumée ou de poussière, visibles de la Terre à travers de puissants télescopes, comme de petites taches grises flottantes, se répandirent dans la limpidité de l’atmosphère de la planète et en obscurcirent les traits les plus familiers. Enfin, les journaux

grosse fumée qui se mélange au nuage La peinture nous fait sentir que le drame s’étend a perte de vue Le soldat debout illustre le courage et la résolution des Canadiens Les soldats sont plutôt repartis a gauche et a droite et au centre il y a une ouverture lumineuse qui donne de la perspective au tableau. La technique : Peinture à l’huile sous un dessin au fusain Les couleurs : Il y a peu de couleurs et pas de couleurs vives. Les tonalités sont beige, grises, marron et noir. Les

Extrait: Le noir envahit tout - Au tout début de l'extrait, traces de couleur ("rougeur", 1. 4, "empourprée", 1. 4, "lumineuse", 1. 5). - Progressivement, victoire du noir ("ténébreux", 1. 6, "L'obscurité", 1. 15, "noir", 1. 16, "opacité", 1. 17) : les sensations visuelles sont alors incertaines ("on ne sait quoi", "vague et insaisissable", "quelque chose de", 1. 22, "inexprimablement", 1. 33. Les sensations se mêlent et se confondent Confusion entre ouïe, vue et toucher ("sans aucun

des
gens
en
train
de
danser
de
dos,
pas
très
intéressant.
Il
faut
toujours
ce
 demander
si
l’arrière
plan
apporte
quelque
chose,
et
si
ce
n’est
pas
le
cas,
 n’hésitez
pas
à
le
réduire
au
max.
Je
recadre
2
photos
sur
3
environ.
 
 
 
 2
 • Il
y
a
souvent
de
la
fumée
en
soirée.
Pour
qu’elle
disparaisse
c’est
très
simple,
 il
suffit
d’augmenter
le
contraste
 • Shootez
en
5
millions,
max
!
On
pense
souvent
à
tord
que
le
nombre
de
pixel
 améliore
la
photo,
ce
qui
n’est
pas
forcément
vrai
au
dessus
de
5millions
(ça


qu'elle est suggérée aux vers 2 et 3. Nous pouvons observer le champ lexical de la mort avec "mort" au vers 3, et "squelettes" au vers 5. Il multiple les allusions macabres pour "tuer le temps" même les parfums qui l'enchantent sont "mourants" et la fumée de cigarette, son unique consolatrice semble souffrir pour s'élever et se tordre vers le ciel.     II - La nécessité de l'évasion Nous verrons, dans ce développement, que l'évasion est l'antimonde du spleen. L'antimonde du Spleen est assimilé

l'absence de l'impression de couleur, dont l'intensité lumineuse est moindre que celle du blanc et supérieure à celle du noir. Les images photographiques ne présentant aucune impression de couleur sont généralement dites en noir et blanc. En peinture, on parle de grisaille[1].L'origine de cette symbolique réside dans le fait que le gris est une couleur terne, mi-blanc, mi-noir, couleur de la poussière qui s'amoncèle sur les choses immobiles et inertes, couleur de la moisissure, du stagnant[réf.