Noir de fumée

délicat, le regard de braise. Femme exceptionnelle parmi les hommes, déterminée et noble, la tête tournée vers eux, elle les entraîne vers la victoire finale. Le corps profilé est éclairé à droite. Son flanc droit sombre se détache sur un panache de fumée. Appuyée sur son pied gauche nu qui dépasse de sa robe, le feu de l’action la transfigure. L’allégorie est la vraie protagoniste du combat. Le fusil qu’elle tient à la main gauche, modèle 1816, la rend réelle, actuelle et moderne. Les gamins de

la porte des souvenirs * Ouaaah… Le jeune homme retira ses lunettes de soleil, plissa les yeux et posa sa main droite en visière en contemplant la côte. Elle s’étendait là, sous leurs yeux, en contrebas. D’un bleu pur de l’océan. Et surtout noir de monde. Un silence laissa frémir un léger vent qui les balaya doucement, lui et Saïko, le long de la route où la voiture était stationnée. Hunter calait justement sa moto à côté pendant que Sephyra retirait son casque. * J’aime pas. Dit-il

allégorie de la Liberté. Le gamin de Paris: Il est le symbole de la jeunesse révoltée par l'injustice. Le bras levé, armé de pistolets de cavalerie, il exhorte au combat. Il porte en bandoulière le sac d'un soldat, certainement mort. Son béret de velours noir évoque les étudiants de Paris. Victor Hugo s'en inspira pour le personnage de Gavroche dans les Misérables. Le soldat de la Garde Royale: Ce cadavre est un soldat de la Grade royale de Charles X. Le roi a dissous la Garde royale quelque jours plus

On y remarque, à gauche les personnes affalées sur le sol et la femme qui apporte des boissons comme s’il s’agissait d’un spectacle, le cheval paré d’ornements montrant la richesse du Roi et aussi l’homme noir, qui est peut- être un esclave. Et on aperçoit également le fond de la pièce en fumée à droite avec la femme vue de dos sur le lit. Ainsi, les proportions sont bouleversées et cela évoque le chaos et peut-être l’impassibilité du Roi qui s’oppose à la scène représentée ici. De plus, nous avons

compacte qui se presse contre le bord droit du panneau ; renforçant ainsi l’impression d’entrée en force sur le champ de bataille annoncé par des volutes de fumée noires. Ces volutes font écho aux quelques nuages déchirés et saignants du ciel. •En effet, en arrière-plan, le conflit fait rage. Les lumières rougeoyantes des combats et la fumée qui s’en dégagent présentent la réalité de la guerre. •La partie supérieure et la partie inférieure du panneau sont toutes deux sombres ; suggérant ainsi une

de la liberté. Le gamin de Paris : Il est le symbole de la jeunesse révoltée par l’injustice. Le bras levé, armé de pistolets de cavalerie, il exhorte au combat. Il porte en bandoulière le sac d’un soldat, certainement mort. Son béret en velours noir évoque les étudiants de Paris. Victor Hugo s’en inspirera pour le personnage de Gavroche dans « Les misérables ». L’enfant au pavé : La jeunesse s’est engagée spontanément au combat. Agrippé au pavé, les yeux dilatés, cet adolescent est prêt à attaquer

3e5 Amaury Au 1er plan on aperçoit Tarzan qui n'a plus de liane pour s’accrocher. Au 2eme plan on voit la forêt coupée en deux par la déforestation. Au 3eme plan on voit un ciel noir de fumée. Les couleurs du paysage sont sombres et font penser à un paysage d’apocalypse. On peut reconnaître Tarzan à la fourrure qu'il porte en guise de caleçon et avec sa scène bien connue quand il se balance de lianes en lianes dans la jungle et fonce

met les pieds. Elle pénètre dans un endroit qu'elle ne distingue pas, ce qui, par conséquent, l'effraie : "qui lui faisait peur". L'expression des sentiments (ici, de Colette), est caractéristique des romantiques. Avec la phrase "quand l'oeil voit noir, l'esprit voit trouble", l'auteur veut montrer que l'espace (ici, l'obscurité et la brume) influe sur le psychisme. Cette formule relève de la philosophie, qui est un des thèmes principaux des Misérables. La forêt évoque la mort, par ses couleurs

délicat, le regard de braise. Femme exceptionnelle parmi les hommes, déterminée et noble, la tête tournée vers eux, elle les entraîne vers la victoire finale. Le corps profilé est éclairé à droite. Son flanc droit sombre se détache sur un panache de fumée. Appuyée sur son pied gauche nu qui dépasse de sa robe, le feu de l’action la transfigure. L’allégorie est la vraie protagoniste du combat. Le fusil qu’elle tient à la main gauche, modèle 1816, la rend réelle, actuelle et moderne. Les gamins

l'oui grace au multiple bruit present dans un gare "un cri strident ,trois fois repeter , dehira la nuit ." , le toucher grace au sensation reçu ""la terre trembla" . nous pouvons supposer l'odorat car il fait plusieurs reference a la fumée ou la vapeurs "tourbillon de fumée", "une vapeur rouge" . l'auteur cherche egalement a plonger son lecteur dans son recit , il cherche a ce que le lecteur se voit dans cette gare il doit donc eveiller son imagination , la stimler et la nourrir de suffisament