Nombre d'onde

sinusoïde). 1.1 - La fréquence La fréquence est le paramètre qui différencie un son aigu d’un son grave. Plus la fréquence est élevée, plus le son est aigu, plus le son est grave, plus la fréquence est basse. L’unité de mesure est le Hertz (Hz) : nombre d’oscillations par secondes. x KHz = x * 1.000 Hz (KHz = Kilohertz) 1.2 - L’amplitude L’amplitude est le paramètre qui différencie un son fort d’un son faible. Plus l’amplitude est grande, plus le son est fort, plus l’amplitude est petite, plus le

transmission de signaux, numériques ou analogiques, entre deux points fixes. Il utilise des ondes radioélectriques très fortement concentrées à l'aide d'antennes directives. La directivité du faisceau est d'autant plus grande que la longueur d'onde utilisée est petite et que la surface de l'antenne émettrice est grande. Le faisceau est un support de type pseudo−4 fils. Les deux sens de transmission sont portés par des fréquences différentes. Pour des raisons de distance et de visibilité

cette lumière se disperse lorsqu’elle passe à travers le prisme car les couleurs qui la compose se tordent toutes différemment. Il prouve aussi que n’importe quel réfracteur tel qu’un prisme tord chaque longueur d’onde de lumière mais dans des proportions différentes. Il réalise un grand nombre d'expériences afin de démontrer cette idée et de convaincre ses contemporains incrédules. Non seulement le savant décompose la lumière, mais il procède également à l'expérience inverse : il fait passer un spectre

droite, vers les molécules moins excitées (donc de température inférieure) et ceci sans déplacement de cette molécule 1. - D'où un transfert de chaleur, dans la matière, sans transfert de matière • NOTA : 1. Les molécules effectuent un très grand nombre de chocs, les transferts ci-dessus sont donc des bilans sur l'ensemble des chocs. 6 2. des molécules de même excitation (donc de même température) échangent de l'énergie lors des chocs, mais le bilan global est nul (transferts équivalents de chaque

matériel, grâce à l’emploi de cellules de taille fixe et restreinte. Services à commutation de circuits : • Réseau téléphonique analogique (POTS) : Il ne s'agit pas d'un service de données informatiques, mais il est présenté ici pour deux raisons : bon nombre de ses technologies font partie de l'infrastructure télécoms en pleine expansion, qui transporte les données et il constitue un modèle de réseau de communication longue distance incroyablement fiable et facile à utiliser. Le média type est le fil

Définition L'addition est une opération qui, a deux nombres quelconques, associe un nombre unique tel que ( a , b ) → a + b Exemple : 12 + 13 = 25 ( 12 ; 13 ) → 25 Propriétés L'addition est commutative : pour tous nombres quelconques, on a : a+b=b+a L'addition est associative : pour tous nombres a,b,c, on a : a+(b+c)= (a+b)+c Il existe, pour l'addition, un élément neutre : 0. Quel que soit le nombre naturel a, on a : a + 0 = 0 + a = a. 2. La technique opératoire de

20% se traduit par une multiplication par 1,20. Ce nombre est appelé COEFFICIENT MULTIPLICATEUR associé à l’augmentation de 20% Si le prix du livre diminue de 20 % alors il devient égal à 15 − 15 × 20 20 20   = 15 × 1 − 15 × = 15 × 1 −  = 15 × 0,80 100 100 100   Règles 3 : Soit a une quantité p   Alors la quantité a augmentée de p % vaut b = a × 1 +   100  p   La quantité a diminuée de p % vaut b = a × 1 −   100  Les nombres 1 + p p et 1 − sont appelés les coefficients multiplicateurs

Oral de mathématiques Domaine : Nombre et calcul Niveau : Cycle 2 – CE1 Compétence visée : -connaître et utiliser les techniques opératoires de l’addition et de la soustraction sur les nombres inférieurs à 1000. Objectif : être capable d’utiliser la technique opératoire de la soustraction posée en colonnes avec retenues pour soustraire des nombres à deux chiffres. Pré-requis : - le sens de l’opération - soustraction travaillée à travers des procédures de calcul mental Pour passer de ces

appels récursifs. Techniciens 2eme année Page 3 sur 24 Structure de données – Récursivité, pointeurs, modules 1.2 Exemples de fonctions récursives 1.2.1 Exemple : factorielle La factorielle d’un nombre n donné est le produit des nombres entiers inférieurs ou égaux à ce nombre n. Cette définition peut se noter de différentes façons. Une première façon consiste à donner des exemples et à essayer de généraliser. 0! = 1 1! = 1 2! = 1 x 2 3! = 1 x 2 x3 Si n = 0 : n! = 1 Si n > 0 : n! = 1

Le nombre 23 La numérologie est probablement la plus ancienne des sciences occultes : elle existait déjà dans la Grèce antique, en Egypte, en Chine et dans la Rome ancienne, avant même la naissance de Pythagore, philosophe et mathématicien considéré par certains comme le père de la numérologie ; Pythagore a déclaré : « le nombre exprime l'Univers » La numérologie c’est l’étude des nombres et de la manière dont ceux-ci reflètent certaines attitudes et tendances du caractère, de l’évolution