Norbert De Varenne

par rapport à la situation au Maroc) dirigé par M.Walter, qui jouera un sale tour à Georges Du Roy, à l'aide du ministre des affaires étrangères par le biais du journal. Rival, le chroniqueur parisien, incarnation du Paris des apparences. Norbert de Varenne, poète pessimiste, solitaire, hanté par la mort, l'un des masques de Maupassant. Mme Walter (ou Virginie Walter), la vieille maîtresse acharnée, maladroite mais sincère. Suzanne Walter, une adolescente romanesque et naïve. Elle est décrite

empire. Georges se sent un autre homme, il veut du changement, il veut changer de logement, ne plus s’encanailler avec des prostituées, il veut également écrire à ses parents, Chez les Walter il retrouve Clotilde avec qui il renoue et rencontre Norbert de Varennes qui partage avec lui sa vision pessimiste de la vie. Le lendemain, Clotilde décide de le présenter à son mari en partageant un repas avec les Forestier. De plus en plus souffrant, Forestier part vivre dans le sud avec sa femme. Chapitre 7 :

propos de la situation au Maroc) dirigé par M. Walter, qui jouera un sale tour à Georges du Roy, avec l'aide du ministre des Affaires étrangères, par le biais du journal. Rival, le chroniqueur parisien, incarnation du Paris des apparences. Norbert de Varenne, poète pessimiste, solitaire, hanté par la mort, l'un des masques de Maupassant. Mme Walter (ou Virginie Walter (surnommée "La Patronne")), femme du patron de Georges, celui-ci parvient à la séduire. Folle amoureuse, elle devient une vieille

Vie française », l. 410412, p. 136), est invité à dîner chez les Walter, rencontre leurs filles (l. 491-494, p. 138) et côtoie des députés tels que Firmin et Laroche-Mathieu (l. 473-474, p. 137). Il devient un peu plus proche du vieux poète Norbert de Varenne en le raccompagnant chez lui après le dîner (l. 654-661, p. 143). Désormais reconnu dans le milieu du journalisme, il a suffisamment d’argent, noue des relations avec des gens influents, et les portes du grand monde s’ouvrent à lui. Les

: Madame de Rénal Antonella Lualdi : Mathilde de La Môle Jean Martinelli : Monsieur de Rénal Antoine Balpêtré : L'abbé Pirard Jean Mercure : Le marquis de La Môle Alexandre Rignault : Le père Sorel Anna-Maria Sandri : Elisa Jacques Varennes : Le président du tribunal Suzanne Nivette : La marquise de La Môle André Brunot : L'abbé Chellan Georges Descrières : Le marquis de Croisenois Georges Wilson : Monsieur Binet Gérard Séty : L'officier Robert Berri : Le cocher du marquis

trop tard. Jacques Rival est chroniqueur dans la vie française. Il est d'ailleurs l'un des trois meilleurs dans Paris. Il sait trouver les sujets d'actualités ce qui lui permet d'être apprécié de M. Walter. C’est un ami de George Duroy Norbert de Varenne est " un petit homme à longs cheveux, gros, d'aspect malpropre ". C’est un poète, assez ainsi qu’un bon chroniqueur Saint potin, est " un petit homme très pâle, bouffi, très gras, chauve, avec un crâne luisant, et le nez sur son papier par

Il gagne ici trente mille francs par an pour deux articles par semaine. Et comme ils s’en allaient, ils rencontrèrent un petit homme à longs cheveux, gros, d’aspect malpropre, qui montait les marches en soufflant. Forestier salua très bas. - Norbert de Varenne, dit-il, le poète, l’auteur des Soleils morts, encore un homme dans les grands prix. Chaque conte qu’il nous donne coûte trois cents francs, et les plus longs n’ont pas deux cents lignes. Mais entrons au Napolitain, je commence à crever de soif

reconnaît partout. Georges l’entendit nommer : le marquis de Cazolles, et il fut brusquement jaloux de cet homme. Depuis quand le connaissait-elle ? Depuis sa fortune sans doute ? Il devinait un prétendant. On le prit par le bras. C’était Norbert de Varenne. Le vieux poète promenait ses cheveux gras et son habit fatigué d’un air indifférent et las. "Voilà ce qu’on appelle s’amuser, dit-il. Tout à l’heure on dansera ; et puis on se couchera ; et les petites filles seront contentes. Prenez du

gagne ici trente mille francs par an pour deux articles par semaine. » Et comme ils s’en allaient, ils rencontrèrent un petit homme à longs cheveux, gros, d’aspect malpropre, qui montait les marches en soufflant. Forestier salua très bas. « Norbert de Varenne, dit-il, le poète, l’auteur des Soleils morts, encore un homme dans les grands prix. Chaque conte qu’il nous donne coûte trois cents francs, et les plus longs n’ont pas deux cents lignes. Mais entrons au Napolitain, je commence à crever de soif

Il gagne ici trente mille francs par an pour deux articles par semaine. Et comme ils s'en allaient, ils rencontrèrent un petit homme à longs cheveux, gros, d'aspect malpropre, qui montait les marches en soufflant. Forestier salua très bas. - Norbert de Varenne, dit-il, le poète, l'auteur des Soleils morts, encore un homme dans les grands prix. Chaque conte qu'il nous donne coûte trois cents francs, et les plus longs n'ont pas deux cents lignes. Mais entrons au Napolitain, je commence à crever de soif