Norbert De Varenne

Française) bien qu’il n’ait pas le bac. Duroy accepte. Il rencontre quelques personnes importantes dans le métier (Jacques Rival, Norbert de Varenne). Forestier lui propose un diner le lendemain chez lui (rue Fontaine à 7h30) pour lui faire rencontrer des gens importants, et leurs femmes toutes aussi importante voir plus (M Walter, sa femme, Jacques Rival, Norbert de Varenne, plus une amie de Mme Forestier), il lui explique que ce sont elle qui en quelque sorte sont les piliers pour pouvoir arrivé au

personnes plus lucides que d’autres ? Lesquelles ? Avec quelles conséquences ? Norbert de Varenne est de loin la personne la plus lucide, il est le porte-parole de Maupassant. C’est le personnage que l’écrivain utilise pour présenter sa pensée. Le discours de Norbert de Varenne, dans son dialogue avec Duroy en sortant d’une soirée, est particulièrement révélateur. Pages 167-172 : Durant cette discussion, Norbert de Varenne aborde surtout le sujet de la mort et de la longue descente qu’est la vieillesse

journalisme (3) - Quels personnages sont liés au journalisme dans le roman ? Comment sont-ils représentés ? Les personnages qui sont liés au journalisme dans le roman sont Charles et Madeleine Forestier, M. et Mme. Laroche-Mathieu, Jacques Rival, Norbert de Varenne et le patron M. Walter. - Quel rôle joue le journalisme dans l'ascension de Georges ? - Quelle place occupe le journalisme dans la vie politique et dans la société de Maupassant ? (Cherchez des titres de journaux de l’époque) - Pourquoi

chroniqueurNorbert de Varenne : auteur | -Rue Notre-Dame-de-Lorette-La vie française : cabinet où se trouvent des auteurs du journal-Deux femmes | G. Duroy : présentation. Il rencontre M. Forestier qi l’incite à diner chez lui le lendemain. Il lui propose d’essayer le journalisme. Ils vont voir un spectacle. Ils rencontrent deux femmes. | | | | | I.2 | -Georges Duroy-M.(Charles) et Mme (Madeleine) Forestier-Mme (clotide) de Marelle et sa fille-M. Walter et sa femme-Norbert de Varenne | -Chez les forestier

Duroy, Forestier, Madeleine Forestier, Clotilde de Marelle, Laurine, M. Walter et sa femme, Jacques Rival, Norbert de Varenne, le Valet, | Chez Forestier (Algérie) | 16 | 3 | 30 juin 1880(1874 15 mai)(9h- 3h) | Une nuit, une journée | Georges Duroy, Forestier, Mme Forestier(Une femme, Mme de Marelle et son mari)Le comte de Vaudrec, l’Huissier, le rédacteur, les 3 femmes, Rival, Norbert, M. Walter, Saint-Potin | Rue, rue Boursault, chemin de fer de l’Ouest, gare des Batignolles, Asnières, Rouen

jour les idées secrètes du patron. Duroy devait faire l'affaire en perfection, et il complétait admirablement la rédaction de cette feuille "qui naviguait sur les fonds de l'Etat et sur les bas-fonds de la politique", selon l'expression de Norbert de Varenne. Les inspirateurs et véritables rédacteurs de la Vie Française étaient une demi-douzaine de députés intéressés dans toutes les spéculations que lançait ou que soutenait le directeur. On les nommait à la Chambre "la bande Walter" et on les enviait

La présence de la mort dans le premier chapitre (Bel-Ami) le discours de Norbert de Varennes sur la mort (chap. 6) : Lieu : « Paris presque désert » ; dans « une nuit froide » Champ lexical froid : « terre gelée » « souffles glacés » « La vie est une côte. Tant qu’on monte, on regarde le sommet, et on se sent heureux ; mais, lorsqu’on arrive en haut, on aperçoit tout d’un coup la descente, et la fin, qui est la mort. Ça va lentement quand on monte, mais ça va vite quand on descend

personnages. Voyons les personnages masculins qui entourent Georges Duroy. Tout d'abord, Norbert de Varenne. C'est un poète et rédacteur de la partie littérature du roman, personnage qui apparaît dès le début du roman (chap.1 « un petit homme à longs cheveux, gros, d'aspect malpropre, qui montait les marches en soufflant »), personnage présenté relativement négativement (chap.2 le serrage de mains « celle de Norbert de Varenne, humide et froide et fuyait en glissant entre les doigts »). Personnage qui est

décors et des actions théâtrales. ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- I- Une mort qui se ressent. A- Le discours de Varenne. Duroy, en assistant à cette scène, repense à ce qu’a dit Norbert de Varenne un peu plus tôt dans le roman. Norbert voit la mort partout, et surtout dans une forme organique, qui a une vie mais pas pour autant un mental tel les hommes, comme par exemple des insectes morts sur la route ou bien des feuilles

Forestier (Vieille ami de Duroy marié et journaliste) * Jacques Rival (chroniqueur dans le journal) * Garin (autre chroniqueur) * Montel (autre chroniqueur, ils gagnent 30 000 francs par an pour deux articles par semaine) * Norbert de Varenne (le poète du journal) C’était une fin de journée, Mr Duroy comptait ses sous pour pouvoir organiser ses repas. Il continuait sa promenade il avait envie de rencontre amoureuse. Il voulait une vraie amoureuse. Il arriva à la place de l’Opéra