Norodom Ier

croissance et devrait atteindre les 500 millions dans les années 2010 - 2015. La Francophonie Dès le début des années soixante, des personnalités issues des anciennes colonies françaises comme Hamani Diori (Niger), Habib Bourguiba (Tunisie), Norodom Sihanouk (Cambodge) et Léopold Sédar Senghor (Sénégal) proposèrent de regrouper les pays nouvellement indépendants, désireux de poursuivre avec la France des relations fondées sur des affinités culturelles et linguistiques. En 1960, plusieurs pays

par un nouveau régime communiste cambodgien, provietnamien, la République populaire du Kampuchéa ; il fut cependant suivi d'une nouvelle guerre civile opposant l'armée gouvernementale cambodgienne à la guérilla khmère rouge et aux forces fidèles à Norodom Sihanouk (qui fut roi du Cambodge, puis chef de l’Etat du Cambodge puis encore roi). Dans le cadre de ce nouveau conflit, le Viêt Nam et son allié cambodgien furent soutenus par l'URSS tandis que la Chine, les États-Unis et la Thaïlande, tous désireux

l'administration. Les portes-drapeaux de la Francophonie fondée à la fin les années 60 ont été tout d'abord d'importants hommes d'état, issus de pays récemment décolonisés : Léopold Sédar Senghor, président du Sénégal, Hamani Diori, président du Niger, Norodom Sihanouk, du Cambodge et de Bourguiba, de Tunisie. Ces personnalités ont été aussi homme de lettres illustre, comme Léopold Sédar Senghor, chantre de la Négritude, aux côtés notamment d'Aimé Césaire, poète et écrivain majeur de la littérature française

Les Khmers Rouge : qui étaient-ils ? C’est le surnom d’un mouvement politique et militaire cambodgien communiste, ils n’étaient que de simples paysans. Ce surnom leur est attribué par Norodom Sihanouk en 1950. Il est dirigé par Pol-pot. Ils ont été formés en France où ils sont plongés dans l’idéologie communiste. C’est un groupe sans personnel formé. Pol-pot était un ancien instituteur et il a été nommé secrétaire général. Ce titre lui permet d’être placé à la tête du parti, puis lui donne le

Stich-Randall un air d' Aida. Il dut s'assoupir un instant, car il sursauta soudain. La radio annonçait : « Voici nos Informations ». Il n'y avait aucun fait important : à Valparaiso, l'inauguration d'un pont avait fait vingt-cinq morts ; à Zurich, Norodom Sihanouk faisait savoir qu'il n'irait pas à Washington ; à Matignon, Pompidou proposait aux syndicats l'organisation d'un statu quo social, mais faisait chou blanc. Au Biafra, conflits raciaux ; à Conakry, on parlait d'un putsch. Un typhon s'abattait

Samphan was obliged to hand Pol Pot the post, confirming him as prime minister and head of government on May 13, consolidating his power and making him de facto dictator of Cambodia. Khieu Samphan was instead made head of state after the abdication of Norodom Sihanouk in January 1976, as the new constitution was adapted and a republic proclaimed. The name of the country was then officially changed to Democratic Kampuchea. The Khmer Rouge tried to impose the concept of "Year Zero" and targeted Buddhist

humanitaires. 2. au Laos  Le Pathet Lao (les communistes laotiens) prennent le pouvoir.  En 1977, le Vietnam impose son protectorat sur le Laos b) Le drame cambodgien 1. Le Cambodge déstabilisé par la guerre du Vietnam  En 1969, le prince Norodom Sihanouk, neutraliste, est écarté du pouvoir par un coup d’état soutenu par les USA militaire qui porte au pouvoir le général Lon Nol. Les communistes cambodgiens, pro-chinois, qui avaient déjà pris le maquis, intensifient la guerre civile.  Les

Léopold Sédar Senghor, ancien président du Sénégal. Une formule qui reflète la philosophie des pères fondateurs de la Francophonie institutionnelle, Senghor et ses homologues tunisien, Habib Bourguiba et nigérien, Hamani Diori, ainsi que le Prince Norodom Sihanouk du Cambodge et qui consiste à mettre à profit le français au service de la solidarité, du développement et du rapprochement des peuples par le dialogue permanent des civilisations. C’est là tout l’objet de la signature à Niamey, le 20

d’été ont été aussi l’occasion pour Georges Bigot et Delphine Cottu d’aller rejoindre au Cambodge les jeunes artistes de l’Ecole des Arts Phare Ponleu Selpak pour continuer les répétitions de leur adaptation de L’Histoire terrible mais inachevée de Norodom Sihanouk, Roi du Cambodge d’Hélène Cixous, et en présenter le 25 août, à Battambang, le premier résultat. Là-aussi vous pouvez lire ici le dernier compte-rendu de ce voyage. Nous vous reparlerons bientôt du projet de leur venue à la Cartoucherie et

HISTOIRE DU CAMBODGE Ancien protectorat français intégré à l'Indochine française, le Cambodge a obtenu son indépendance le 9 novembre 1953, à la fin de la guerre d'Indochine. Devenu une monarchie constitutionnelle (depuis 1947) dirigée par le roi Norodom Sihanouk, le pays affiche une politique de neutralité en ce qui concerne la guerre du Viêt Nam, mais soutient en réalité la République démocratique du Viêt Nam dès 1966, laissant transiter par son territoire des troupes et des fournitures à destination