Notos

au gré des courants, l'emportait de-ci de- là. o Comme quand, au temps des fruits, le Borée balaie les chardons o dans la plaine, et ils s'agglomèrent en paquets, o ainsi, les vents sur l'eau le ballotaient de-ci de-là. o Tantôt c'était le Notos qui le jetait au Borée, o tantôt c'était l'Euros qui le renvoyait au Zéphyre. • V, 352- 353 : puis elle [Ino-Leucothée] replongea dans les remous o pareille à la mouette ; et le flot noir la recouvrit. V, 368- 370 et 370- 371, deux comparaisons

l’utilisation de citations d’ouvrages grecs et latins, introduites avec une certaine familiarité qui en font un sonnet incroyablement moderne. Dans ce poème, Du Bellay exprime une grande détresse, une nostalgie très accentuée. Le mot nostalgie vient de «notos » qui signifie retour, en grec et «algie » qui veut dire la douleur. On est donc face à une souffrance provenant de l’absence et de l’éloignement qui est suggérer par la nécessité de rentrer chez soi. Tout d’abord, le manque affectif est très présent

différentes constitutions. Combien il y a-t-il de constitution alors ? Aristote nous réponds qu’il en existe deux, la démocratie et l’oligarchie. Pour nous expliquer cela, il compare les constitutions aux vents du nord « borées » et au vent du sud « notos », en disant que les autres vents ne sont que des déviations de ceux-ci, tout comme les constitutions. Ainsi, l’aristocratie n’est qu’une déviation de l’oligarchie, et le gouvernement constitutionnel n’est qu’une déviation de la démocratie. Il convient

90-91.) De plus, le lecteur est informé des différents vents et courants existant, avec une réalité géographique ou météorologique incontestable : les vents des « quatre coins de l’horizon » sont mentionnés, Euros étant un vent d’est dangereux, Notos du sud, Zéphyr vent du nord-ouest et régulier, Borée vent du nord violent. La vraisemblance d’un périple long et périlleux est incontestable. Le récit témoigne d’une société qui sait naviguer mais redoute les dangers de la mer. c. Un récit d'aventures

houle au gré des courants, l'emportait de-ci de- là. o Comme quand, au temps des fruits, le Borée balaie les chardons o dans la plaine, et ils s'agglomèrent en paquets, o ainsi, les vents sur l'eau le ballotaient de-ci de-là. o Tantôt c'était le Notos qui le jetait au Borée, o tantôt c'était l'Euros qui le renvoyait au Zéphyre. • V, 352- 353 : puis elle [Ino-Leucothée] replongea dans les remous o pareille à la mouette ; et le flot noir la recouvrit. V, 368- 370 et 370- 371, deux comparaisons

au gré des courants, l'emportait de-ci de- là. o Comme quand, au temps des fruits, le Borée balaie les chardons o dans la plaine, et ils s'agglomèrent en paquets, o ainsi, les vents sur l'eau le ballotaient de-ci de-là. o Tantôt c'était le Notos qui le jetait au Borée, o tantôt c'était l'Euros qui le renvoyait au Zéphyre. • V, 352- 353 : puis elle [Ino-Leucothée] replongea dans les remous o pareille à la mouette ; et le flot noir la recouvrit. V, 368- 370 et 370- 371, deux comparaisons

Promètheus"(Prométhée enchaîné, 505). En revanche, Sophocle, dans Antigone (vers 440 av. J.-C.), cherche l'origine du progrès dans l'esprit humain, inventif. "Beaucoup de choses sont admirables, mais rien n'est plus admirable que l'homme. Il est porté par le Notos orageux à travers la sombre mer, au milieu de flots qui grondent autour de lui ; il dompte, d'année en année, sous les socs tranchants, la plus puissante des Déesses, Gaias, immortelle et infatigable, et il la retourne à l'aide du cheval. L'homme,

liait à celui de leur arbre. Éole, roi de Vents, vivait lui aussi sur la terre, dans les îles Éoliennes. Précisons que ce dieu restait soumis à Zeus dont il n'était au fond que le vice-roi. Les quatre vents principaux sont : Borée, le roi du nord; Notos, le vent du sud; Zéphyre le vent d'ouest; Euros, le vent de l'est Quelques êtres encore, pas plus divins qu'humains, séjournaient sur la terre. Parmi les plus importants, on cite : Les Centaures, mi-hommes, mi-chevaux; c'étaient surtout des créatures

le Notos soufflèrent, soulevant de hautes vagues. La plupart des hommes aurait connu la peur, mais Ulysse attendit. Une haute vague, effrayante sʼabatit sur lui : le radeau trembla. Vingt lames suivirent. Ulysse fut emporté. Le gouvernail et le mât furent arrachés. Ulysse resta longtemps sous lʼeau, ne pouvant ressortir. Ses vêtements le gênaient, chacun lʼalourdissait. Il reparut enfin et recracha lʼeau salée. Dʼaprès Homère, LʼOdyssée Mots à noter au tableau : Ulysse, Poséidon, Euros, Notos Barème :

Apollon et Artémis. Poursuivie par le serpent Python, elle s’arrêta dans l’île de Délos pour y mettre ses enfants au monde, au pied d’un palmier sacré. Nausicaa : fille du roi Alkinoos. Après le naufrage d’Ulysse, elle le conduit au manoir d’Alkinoos. Notos : vent du sud. Nymphe : divinité inférieure, souvent liée au monde de la nature (comme Calypso). Les Grecs distinguaient les dryades (nymphes des arbres) et les naïades (nymphes des eaux). Olympien : voir Zeus. 7 Parques : au nombre de trois, ces