N'oublie jamais

Parce que tu es la personne qu'on rencontre qu'une seule fois dans sa vie. La personne la plus parfaite au monde. Le mien, celui qui fait mon bonheur et me rend heureuse, plus que jamais. Le seul, le meilleur, toujours la pour sa Lola. Parce que tu sais m'aimais comme personne n'a su faire. Parce que tu es le premier et le dernier garçon que je laisserais entrer dans mon coeur. 15.08.12, notre date, pour toute la vie. Parce que je suis amoureuse dr toi et que ça restera comme ca, jusqu'à la fin de

proposé. Raph explica le choix de son sujet à son ami Mathias. - Alors Raph, tu as réfléchie sur quel sujet tu allais travailler ? Tu as une idée ? - Oh, pas spécialement, j'ai bien une idée oui mais bon ... - Dit là moi, je suis la pour t'aider n'oublie pas ! - Et bien enfaite, je pensais exprimer mon opinion sur un sujet important. - La guerre mondial ? Mais non, trop simple ! - Mais non, c'est un orale de français et non d'hisoire Mathias. - Exacte, alors qu'est-ce que tu vas dire ? - Tu

Et moi je souriais de même Rappelle-toi Barbara Toi que je ne connaissais pas Toi qui ne me connaissais pas Rappelle-toi Rappelle-toi quand même ce jour-là N'oublie pas Un homme sous un porche s'abritait Et il a crié ton nom Barbara Et tu as couru vers lui sous la pluie Ruisselante ravie épanouie

inventer un nouveau type de personnage : le personnage principal, double fictif de l'auteur. Il montre, grâce à son histoire écrite à la 1ère personne, qu'il est le témoin des mutations du monde. ― Certes, ce que tu me dis est très instructif mais n'oublie pas que le roman traditionnel nous permet de nous reposer, ce qui me paraît important lorsqu’on lit. Ce type de roman nous présente des personnages vraisemblables possédant une fiche « d'identité » du héros ; c'est-a-dire que le romancier nous donne

plonger une dernière fois dans ce visage que je connais si bien a présent et comprendre que ce n'est jamais la fin , juste un nouveau commencement , mais pleurer quand même . Ne pas avoir donner le meilleur de moi même car si j'en crois mes larmes nous nous reverront dans longtemps. J'aurais voulus que tu m'aimes autant que tu me manques , cela est sûrement impossible . Pense a moi , vis mais n'oublie pas que tu as laisser ton odeur sur moi et fais ce que tu veux , dis moi ce que tu voudras pour le

Elle , non seulement elle était sous l'emprise d'un choc émotionnel mais aussi sous l'influence de ses principes qui prônaient sa vie depuis toujours . C'est à dire , cacher ses sentiments toujours paraître joyeuse et ne jamais montrer ses émotions. Ce qui lui fit faux bons plusieurs fois . Mais Elle garda la tête haute et fit comme elle fit toujours. Garder ses valeurs et ses principes bien fixés car Elle pensait que c'était comme cela que l'on devait vivre. Suivre ses principes, appendre de ses

Si tu peux réfléchir. Observer. et connaître • Sans jamais devenir sceptique • sans douter. Si tu peux rêver tout en restant ton maître • Et arrive à penser en toute liberté • Si devant le mensonge tu contiens ta rage ; Si de l'hypocrisie tu te joues humblement ; Si tu sais être bon si tu sais être sage • Sans donner de leçon • en tenant tes serments. Si tu peux pardonner ceux qui te déshonorent ; Si dans la réussite tu n'oublies pas ta vie ; Si tu peux soutenir et motiver encore •

Mon ami, Je me souviens des derniers jours de lycée. Parfois, on dirait que c’était hier, finir le lycée, dire au revoir. Cette impression qu’on à 17 ou 18 ans, que personne dans l’histoire du monde n’a jamais été aussi proche, n’a jamais aimé aussi intensément, ni ri aussi fort, ni a compté autant. Parfois on dirait que c’était hier. Je me réjouis de voir que rien n'a changé, enfin si tout est encore plus fort. Les derniers mois en témoignent. On s'interroge, on se questionne... finalement

préjugés, la rumeur, les on-dit, les antipathies et peut être surtout les sympathies. Car JUGER, c’est rendre des jugements ou des arrêts mais non des services. JUGER, c’est recommencer inlassablement, sans jamais se laisser envahir par le scepticisme, la routine, la lassitude. C’est n’oublier jamais que derrière tout contentieux, fut-il répétitif et de masse, se cache une histoire unique – sacrée dirait certain. JUGER ce n’est pas chercher à être aimé, ni plaire aux uns ou aux autres, mais seulement

la vie conjugale avec l’homme qui est devenu ton mari et père de tes enfants. Voilà ta nouvelle vie ma fille, voilà ton présent et ton avenir… Tes pères et mères font partie de ton passé… Je ne te demande pas de les oublier car eux ne t’oublieront jamais ma chérie, mais je te demande d’aimer ton mari, de vivre pour lui et d’être heureuse avec lui. Ma fille retient ceci : Certes, les femmes douées d'intelligence comprendront l'importance de ce conseil.  Dans une relation il y‘a toujours un petit secret