N'oublie jamais

pièce sont les mêmes que celles de la fin du premier acte : Vladimir demande : « Alors, on y va ? » et Estragon de lui répondre : « Allons-y ! » Quelques citations de En Attendant Godot Je suis comme ça. Ou j'oublie tout de suite ou je n'oublie jamais. Voilà l'homme tout entier, s'en prenant à sa chaussure alors que c'est son pied le coupable. Alors fous-moi la paix avec tes paysages ! Parle-moi du sous-sol ! En attendant, essayons de converser sans nous exalter, puisque nous sommes

cause. Aussi ne me dis jamais, jamais ! « c’est dans ta tête » ou « tu es dépressif(ve), c’est pour ça que tu te plains tout le temps de douleurs ». S’il te plaît, il faudrait que tu comprennes que quand je dis « je dois m’asseoir/m’étendre/prendre des médicaments maintenant » c’est que je dois vraiment le faire tout de suite – ça ne peut être reporté ou oublié seulement parce que je suis sortie pour la journée, ou que tu avais prévu quelque chose avec moi. La fibromyalgie n’oublie pas. Si tu veux me

de tout est dépeuplé. Une femme de septante ans, ayant parcouru une vie pleine de joie avec son mari qui subit le décès de ce dernier, pourrait accepter cette situation ,car elle savait auparavant que sa mort était inévitable. Dans le film « N'oublie jamais », on voit un situation similaire. Un homme âgé qui à trouvé l'amour de sa vie très jeune, ne se mettrait pas dans un tel état d’esprit. Sa femme souffre du Alzheimer, ce qui est à peu près l'équivalant à son absence. Elle n'est plus la même personne

envie, malheureusement, il est dégoûté et il s’ennuie de toutes ces choses vaines (Lire extrait). Tout au long de son œuvre, Voltaire critique la morale qu’il juge top hypocrite, les hommes qui sont trop indifférents et les seigneurs trop cupides. Il n’oublie pas non plus d’attaquer la religion qui a beaucoup de place au XVIIIéme siècle. Critique des figures religieuses 1). L’Eglise Voltaire, donc, ne critique pas la croyance en Dieu. Il blâme plutôt ceux qui sont censés le représenter et

Démarche pour le commentaire Objectif : faire apparaître l’intérêt, l’originalité d’un texte à partir de son analyse précise 1e étape : Cerner le texte Notez vos premières impressionsDe quoi ça parle, et comment? Définition du texte (pour n’oublier aucun élément important. à réutiliser dans l’intro) Auteur/Epoque/mouvement littéraire Genre, type de texte Thème/construction Caractéristiques d’écritures : registres, procédés dominants Buts de l’auteur 2e étape : Analyse du texte Fiez-vous

révisions régulières des chapitres, je te conseille de faire des fiches grand format avec titres surlignés en couleur, cela facilitera tes révisions et tu gagneras du temps. Derniers conseils : la régularité et la quantité de travail. Egalement, n’oublie pas une bonne hygiène de vie en faisant attention à ta santé (sommeil, repas, temps de décompression raisonnable). Autres disciplines : gare au décrochage ! – Si tu as choisi les autres facultés, tu n’as pas de concours mais fais attention à travailler

Démarche pour le commentaire Objectif : faire apparaître l’intérêt, l’originalité d’un texte à partir de son analyse précise première étape : Cerner le texte Notez vos premières impressions De quoi ça parle, et comment? Définition du texte (pour n’oublier aucun élément important. à réutiliser dans l’intro) Auteur/Epoque/mouvement littéraire Genre, type de texte Thème/construction Caractéristiques d’écritures : registres, procédés dominants Buts de l’auteur deuxième étape : Analyse du texte

Affection entre les membres d’une famille. L’amour maternel, paternel, filial , fraternel, d’une mère, d’un père(envers les enfants ),des enfants(envers les parents, des frères(envers les frères et sœurs).’Oh l’amour d’une mère, amour que nul n’oublie’. Inclination envers une personne, le plus souvent à caractère passionnel, fondée sur l’instinct sexuel mais entrainant des comportements variés. Cupidon, Eros, dieu de l’amour. Amour illégitime: concubinage. Amour passager: amourette, caprice

même prison le même mouvement. Accroupis sous les dents d'une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre, Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, Ils travaillent. Tout est d'airain, tout est de fer. Jamais on ne s'arrête et jamais on ne joue. Aussi quelle pâleur ! la cendre est sur leur joue. Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las. Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas ! Ils semblent dire à Dieu : « Petits comme nous sommes, Notre père, voyez ce

d'Auschwitz en 1943. Elle évoque dans ce poème la difficulté des survivants à transmettre ce qu'ils ont subi. Ce poème me tient particulièrement à cœur car il est écrit par une femme. Au cours de ma scolarité, j'ai étudié plusieurs poètes, mais je n'avais jamais entendu parler de Charlotte Delbo. De plus, j'aime bien le fait qu'elle utilise des mots simples pour dire ce qu'elle ressent. Une connaissance inutile Et je suis revenue Ainsi vous ne saviez pas, Vous, qu'on revient de là-bas On revient