Nous ne sommes pas des anges

Comment adorer Dieu. Auteur : Olivier OUEDRAOGO QU’EST-CE QUE L’ADORATION POUR UN ENFANT DE DIEU ? DIEU EST AMOUREUX DE SES ENFANTS QUE NOUS SOMMES. LE DIEU DE L’INFINI, LE CREATEUR DE L’UNIVERT AMOUREUX DE NOUS ! COMMENT AURAIT –IL PU EN ETRE AUTREMENT ! LUI QUI A SACRIFIE SON FILS BIEN AIME, SON FILS UNIQUE, S’IL N’EN ETAIT AINSI ? ADORER, C’EST REPONDRE A CET AMOUR FOU, PUISSANT, FORT, INSONDABLE, PROFOND, ILLIMITE, GLORIEUX, MERVEILLEUX, EXALTANT, ELEVE, VICTORIEUX. Le mot adoration

moulage en bronze. L'arbre est coincé éternellement dans son cycle, comme une mort en puissance. C'est une sorte de memento mori, "souviens toi que tu es mortel", qui nous renvoie paradoxallement à notre condition d'Humain destinés à la mort. Nous ne sommes pas figés, immortalisés & nous allons périr. Le moulage de l'arbre se met en porte-à-faux fasse à la maxime d'Héraclite l'obscur "Ta panta rei, ouden menei" : Tout change, rien ne perdure. Guiseppe Penone suspend le temps. Il joue avec la vie

visage. On à plonger nos regarde dans les yeux de chaqu’un et il m'embrassa tendrement et amoureusement. Un coup de vent repassa au-dessus de nos têtes au son d'une guitare, Il me demanda de s'asseoir, moi en-lassé dans c'est bras. Nous sommes restées sur la plage jusqu'au petit matin, jusqu'à temps que le soleil vienne nous éblouir de bonheur. ------------------------------------------------- Lui et elle ------------------------------------------------- -------------------------------------------------

chrétiennes. Explore sens de la vie (cf. Gauguin, D’où venons-nous ? que sommes-nous ? où allons-nous ?, 1897). Composition, dessin, couleur et touche : - Pas de style unique. Techniques à la fois romantique, impressionniste, pointilliste, nabi, expressionniste. - Motifs récurrents : pavot, lis et autres fleurs (symbole bien – mal), cygnes et autres animaux prompts à se métamorphoser, femmes fatales et anges déchus. Figure : - Place essentielle de la femme. Vierge idéalisée

religieuse. Deja ce n’est pas une grotte c’est une bergerie. Jp : C’est vrai qu’il y avait des codes. Bailey : bien sûr qu’il y avait des codes ! Donc, c’est une bergerie ce n’est pas une grotte, et il a symbolisé la spirale de la vie avec les anges musiciens et le Christ n’est ni à la sortie de la spirale ni au centre de la spirale, il n’est qu’un des maillons de la chaine humaine. Jp : Ah, ce qui est une grave remise en cause du dogme. Bailey : Or ce tableau disparait de l’inventaire en 1672

à Chartres, cathédrale Notre-Dame, les vitraux, on voit les quatre grands prophètes portant les quatre grands évangéliste : Isaïe / Matthieu, Jérémie / Luc, Ézéchiel / Jean et Daniel / Marc. Ce vitrail est souvent rapproché de la citation : « Nous sommes des nains porté sur les épaules de géants », Bernard de Chartres (XIIe siècle), de sens cependant plus large (les géants sont les anciens). À Vézelay dans la basilique Sainte Madeleine, on voit un moulin a grains avec deux meuniers qui moue le grain

ne l’avais pensé. Mais petit à petit, les idées se mettant en place, les corps se sont presque manifesté d’euxmêmes. Les voilà alors qui lèvent les bras, qui se frottent le nez, qu’ils sésissent leurs téléphones, qu’ils hurlent, etc... J’étais aux anges. Je les voyais s’agiter, se remuer, sauter, et bizarrement après avoir fait leurs gestes, la plupart à eu une réaction que je n’avais pas prévue, la volonté d’arrêter, de ne pas aller plus loin. Alors que jusque là ils semblaient très à l’aise, ils

Extraits De Livres Les Thanatonautes, L’Empire Des Anges, Nous Nous Les Dieux, Le Souffle Des Dieux – Bernard Werber Philosophie Aurovillienne « L’évolution ne consiste pas à devenir de plus en plus saint ou de plus en plus intelligent ou de plus en plus heureux. L’évolution consiste à devenir de plus en plus conscient. Il faut beaucoup de temps avant de pouvoir supporter la vérité des vies anciennes... » Soyez-en convaincus, toutes les religions sont bonnes. Seules sont mauvaises les intentions

sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre, Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, Ils travaillent. Tout est d'airain, tout est de fer. Jamais on ne s'arrête et jamais on ne joue. Aussi quelle pâleur ! la cendre est sur leur joue. Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las. Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas ! Ils semblent dire à Dieu : - Petits comme nous sommes, Notre père, voyez ce que nous font les hommes ! Ô servitude infâme imposée à l'enfant

ce n'est pas un univers adapter aux enfants. B) La parole des enfants : Ensuite, Victor Hugo fait parler directement les enfants dans sa mise en scène pathétique. Aux vers 15 et 16, c'est un discourt direct à Dieu : « Petits comme nous sommes, Notre père, voyez ce que nous font les hommes ! ». On peut interpréter que ceci est une plainte touchante des enfants qui semblent être des victimes faibles et suppliantes. En effet, les enfants sont exploités sans que les adultes ne prennent conscience