Nous ne sommes pas des anges

Ref Sénéque , stoïcien du 1er siecle apres JC. : l'H cou flexible : regarde vers les cieux.L'H a pour but premier d'observer -> capacité d'apprécier beauté du monde.Dieu orne régions supra-céleste et sub-céléste: esprits supérieur : anges ? + esprit inférieur :une foule . A créer H pour qu'il soit spectateur "L'ouvrage accompli l'artisan (Dieu) désirait qu'il y eut quelqu'un pour admirer la raison d'une telle oeuvre pour en aimer la beauté et en admirer la grandeur." Pic de la Mirandole

sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre, Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, Ils travaillent. Tout est d'airain, tout est de fer. Jamais on ne s'arrête et jamais on ne joue. Aussi quelle pâleur ! la cendre est sur leur joue. Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las. Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas ! Ils semblent dire à Dieu : « Petits comme nous sommes, Notre père, voyez ce que nous font les hommes ! » O servitude infâme imposée à l'enfant

voie vers le bonheur ? Le désir n’est il pas illimité ? D’après Paul Ricoeur (1913-2005) « le désir est démesuré, infini ». En effet le désir vise le plaisir qui accompagne la satisfaction du besoin. Or cette satisfaction est fantasmée donc nous sommes toujours déçus, cela entraine alors la frustration et ensuite l’imagination du désir d’un autre désir, c’est donc un cercle sans fin qu’on appelle cycle ouvert, c’est une des caractéristiques qui le différencie du besoin qui lui présente un cycle

les préjugés, les clichés, les stéréotypes.. Pour lui, l’homme est condamné à être libre et ce n’est pas facile puisque ça implique que nous sommes responsables de notre vie, et pour Sartre de manière plus générale, responsables de l’humanité toute entière. Par exemple se marier, faire partie d’un syndicat.. tous ces choix sont importants et nous en sommes responsables. Pourquoi ? Car nos choix peuvent avoir une incidence sur les autres, surtout que les autres nous voient, nous pouvons servir de

donnait comme on dérobe, En se cachant aux yeux de tous. Oh! la belle petite robe Qu'elle avait, vous rappelez-vous? Le soir, auprès de ma bougie, Elle jasait à petit bruit, Tandis qu'à la vitre rougie Heurtaient les papillons de nuit. Les anges se miraient en elle. Que son bonjour était charmant! Le ciel mettait dans sa prunelle Ce regard qui jamais ne ment. Oh! je l'avais, si jeune encore, Vue apparaître en mon destin! C'était l'enfant de mon aurore, Et mon étoile du matin! Quand

comme on dérobe, En se cachant aux yeux de tous. Oh! la belle petite robe Qu'elle avait, vous rappelez-vous? Le soir, auprès de ma bougie, Elle jasait à petit bruit, Tandis qu'à la vitre rougie Heurtaient les papillons de nuit. Les anges se miraient en elle. Que son bonjour était charmant! Le ciel mettait dans sa prunelle Ce regard qui jamais ne ment. Oh! je l'avais, si jeune encore, Vue apparaître en mon destin! C'était l'enfant de mon aurore, Et mon étoile du matin

poëtes françois, Actes du colloque de Cahors de 1996, Paris, H. Champion, 1997, p. 657 et suivantes) se retrouvent, toutes, dans le Blason du beau Tétin. 22 Piero della Francesca, Conversation sacrée avec la Vierge à l’Enfant, six saints, quatre anges et le donateur, Federico da Montefeltro, 1472, Milan, Pinacoteca di Brera. ne s’agit donc pas d’une description, mais d’un fantasme, sur lequel cette épigramme parfaite pourrait s’achever. Le « doncq » du onzième vers ramène le poète, qui était

positiver c'est la meilleure manière d'avancer à des jolies choses seulement je vais penser je vais chanter, danser, rêver Qui chante les maux décante Qui danse les anges enchante Qui rêve les coeurs contente voilà une recette étonnante Marie, Mur des lamentations [pic]Bien faire ce que l'on fait De toutes parts, nous sommes appelés à travailler sans repos afin d'exceller dans notre carrière. Tout le monde n'est pas fait pour un travail spécialisé ; moins encore parviennent aux hauteurs

machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l’ombre, Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, Ils travaillent. Tout est d’airain, tout est de fer. Jamais on ne s’arrête et jamais on ne joue. Aussi quelle pâleur ! La cendre est sur leur joue. Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las. Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas ! Ils semblent dire à Dieu : — Petits comme nous sommes, Notre père, voyez ce que nous font les hommes ! — Ô servitude infâme imposée à l’enfant ! Rachitisme

sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre, Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, Ils travaillent. Tout est d'airain, tout est de fer. Jamais on ne s'arrête et jamais on ne joue. Aussi quelle pâleur ! la cendre est sur leur joue. Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las. Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas ! Ils semblent dire à Dieu : « Petits comme nous sommes, Notre père, voyez ce que nous font les hommes ! » O servitude infâme imposée à l'enfant