Pour la vie il ya la gloire........
Chaque semaine compte deux jours pour lesquels nous ne devrions pas nous faire de souci, deux jours où il ne nous faudrait connaître ni crainte, ni appréhension.
Le premier jour, c'est hier, qui porte le fardeau de ses soucis, de ses erreurs, de ses fautes, de ses bévues, de ses souffrances et de ses chagrins. Hier nous a échappé à tout jamais. Tout l'or du monde ne pourrait le faire renaître. Nous ne pouvons défaire les actes accomplis, les paroles prononcées. Hier est un jour révolu.
L'autre jour qu'il convient de mettre à l'abri des soucis, c'est demain, plein de grandes promesses, de piètres résultats, de malheurs possibles et de fardeaux. Demain échappe à notre emprise. Le soleil se lèvera inexorablement dans la splendeur ou derrière un voile de nuages. Jusqu'à son lever, nous ne pouvons miser sur rien, puisque demain n'a pas vu le jour.
Il ne nous reste donc qu'aujourd'hui. Tous nous pouvons livrer bataille pendant une petite journée. Nous ne faiblissons et ne chavirons que si le poids d'hier et de demain - ces deux terribles éternités - s'ajoutent aux inquiétudes d'aujourd'hui.
Ce ne sont pas les expériences d'aujourd'hui qui nous désespèrent, c'est l'amertume du remords de la veille et la crainte de demain.
À CHAQUE JOUR SUFFIT SA PEINE !
[pic]Positiver
Pour finir, je vais positiver c'est la meilleure manière d'avancer à des jolies choses seulement je vais penser je vais chanter, danser, rêver
Qui chante les maux décante
Qui danse les anges enchante
Qui rêve les coeurs contente voilà une recette étonnante
Marie, Mur des lamentations
[pic]Bien faire ce que l'on fait
De toutes parts, nous sommes appelés à travailler sans repos afin d'exceller dans notre carrière. Tout le monde n'est pas fait pour un travail spécialisé ; moins encore parviennent aux hauteurs du génie dans les arts et les sciences ; beaucoup sont appelés à être travailleurs dans les usines, les champs et les rues.
Mais il n'y a pas