Nouveau Lyrisme

celles du malheur : Le noir « noir de barbe » évoqué aussi avec l'image de la nuit « nuits hirsutes », le rouge sanglant « l'affiche qui semblait comme une tache de sang » Un sentiment de tristesse et de désolation est présent dans le poème. Un lyrisme qui s'établit tout d'abord entre le résistant et l'ensemble des hommes comme le suggère « a tous » et « à ceux » Puis il adresse un adieu a la vie, à la nature. On y retrouve aussi la tristesse et la douleur, à l'idée de quitter la vie « que le cœur

Introduction : Senghor est né en 1906. Il marqua la poésie française du XXème siècle par l’apport d’un nouveau souffle, celui de ce qu’il appela lui-même la «négritude»: «La Négritude est la simple reconnaissance du fait d'être Noir, et l'acceptation de ce fait, de notre destin de Noir, de notre histoire et de notre culture». Diplômé de l’Ecole Normale Supérieure à Paris, il eût une production poétique prolixe en parallèle de ses activités politiques au Sénégal, dont il fut le premier président

“Il n’est pas besoin pour partir à la découverte de choisir à grand renfort de règles, même édictées par le goût, un fait classé comme sublime.”, déclare Apollinaire dans une conférence sur l’Esprit Nouveau. La poésie est la “mise en mots” de certains phénomènes, avec un souci de beauté et de musicalité, afin que ces instants, ces états soient rendus éternels dans l’écriture. Or la poésie est avant tout l’expression des sentiments personnels liée au vécu d’un phénomène extraordinaire qui puisse permettre

Introduction : Senghor est né en 1906. Il marqua la poésie française du XXème siècle par l’apport d’un nouveau souffle, celui de ce qu’il appela lui-même la « négritude » : « La Négritude est la simple reconnaissance du fait d'être Noir, et l'acceptation de ce fait, de notre destin de Noir, de notre histoire et de notre culture ». Diplômé de l’Ecole Normale Supérieure à Paris, il eût une production poétique prolixe en parallèle de ses activités politiques au Sénégal, dont il fut le premier président

comme a faner, ou les feuilles tombent des arbres... En quoi ce poème est-il lyrique ? Dans un premier temps, on étudiera les techniques que Lamartine a utiliser pour donner une telle envie de lire son poème. Puis en seconde parti on analysera le lyrisme de la nature. Dans un premier temps, L’automne d’Alphonse n’a que des strophes de quatre vers c'est-à-dire des quatrains. Ensuite, il y a une alternance classique de rime masculine et rime féminine tout au long du poème. Au niveau des syllabes

placées dans un cadre onirique. Le temps est une dernière composante essentielle car il rappelle à l'homme qu'il va vers la mort sans pouvoir rien y changer. Les thèmes qu’il aborde sont : la nature, le fantastique, le « moi », le goût du passé. Le lyrisme joue un rôle important à l’intérieur de ce mouvement. L’expression des sentiments personnels est souvent illustrée dans le genre poétique. De plus, il exprime aussi la recherche de l’évasion, c'est-à-dire que selon l’attitude romantique, le voyage

inévitable ; la description caricaturale de la vieillesse s'oppose à celle, idéalisée, de la jeunesse dans la deuxième strophe. - Vers 39 à la fin : L'invitation hédoniste (Carpe Diem horacien). I. La tradition  A) La liaison de deux lieux communs du lyrisme : 1) L'amour - Le thème est exprimé clairement à travers la métaphore : "Saison des amours" qui insiste sur la brièveté, la fugacité de cette période de la vie consacrée à la séduction amoureuse. + pluriel (# vision mythique d’un amour unique, idéalisé

contraires sont dépassés, beauté poétique naît de cette alliance des contraires = « Le lyrisme baudelairien de la putréfaction nous peint la mort comme une vie superlative et déchaînée. », ainsi comme le dit Richard une certaine morale ressort de ce texte C/ Un apologue 1. La structure de l’apologue  Sorte de morale de 3 strophes, rappel l’apologue, argumentation indirect : à partir 37, séparé « - » un nouveau mouvement, début le spleen l’emporterait, lié à l’idéal = + l’objet est dégoutant + il

en fin de poème aux v 13 et 14 avec la présence du « me » ou du « j » Le lecteur assiste donc à une sorte de conversation amoureuse, un discours galant du poète à sa belle, mais il s’agit d’un amour de convention. 2 – Un lyrisme impersonnel : On constate d’ailleurs que le lyrisme qui insuffle le poème est impersonnel, surtout dans les trois premières strophes : - ce que confirme le recours au présent de l’indicatif à valeur de vérité générale comme dans le v 3 « L’on s’abîme en amour aussi bien qu’en

au rythme du temps qui s’écoule lentement comme « Les dimanches s’y éternisent ». Cependant, si on observe les premiers mots des trois premières strophes (Juin … Les dimanches … Soirs de Paris), le temps semble s’amenuiser et l’électricité est le nouveau soleil poétique des soirs de Paris : « Juin ton ardente lyre » et « Flambant de l’électricité ». Cette errance sauve et distrait le poète de sa peine car il trouve dans l’atmosphère et la poésie de la ville moderne un écho à son « mélodieux délire