Novillada

constituent le point d'orgue. La féria se compose : _de la Pégoulade, défilé d'ouverture de la Feria avec des chars, des bandas et un spectacle pyrotechnique. Elle a lieu le jeudi précédant le lundi de Pentecôte ; _de corridas ou de novilladas, deux fois par jour à 11 heures et 17 ou 18 heures ; _de bals populaires dans les bodegas jusqu'à 4 heures du matin ; _d'effervescence dans toute la ville, principalement à l'heure de l’apéritif ; _de concerts place de la Maison Carrée et aux

sa vie en danger depuis l’âge de 6 ans et participe « à des spectacles avec mise à mort ». Une pratique qui n’aurait pas été possible en France, puisque le règlement interdit « la mise à mort dans les classes pratiques avant 14 ans et la première novillada sans picador avant 16 ans ». En tournée dans l’Hexagone en 2008, invité de nombreuses manifestations taurines, le jeune garçon a été au centre d’une polémique lié à son jeune âge. Son entraîneur, et non moins père, s’est élevé contre cette attitude

celebración de una corrida de toros a las afueras de un pueblo en un ruedo improvisado. La luz se concentra en la imagen del toro, que va a embestir al picador en la parte central izquierda. Observaciones: Tamaño 45x72 cm. Desde su autorretrato en La novillada (1779) hasta los grabados de la Tauromaquia (1816) y los posteriores de Burdeos, las escenas taurinas están entre los asuntos preferidos de Goya, llegando a decirse que Goya participó en varias corridas como torero para pagarse un viaje a Roma.

de Bordeaux qui est une suite aux estampes sur le même thème de 1816. Sourd après une méningite, son œuvre devint plus sombre que ses précédentes. Goya est un grand amateur de la tauromachie, et s’est d’ailleurs lui-même peint dans son œuvre La Novillada en torero. D’ailleurs, l’animal a été représenté, tout comme dans les fables de La fontaine, pour critiquer certains vices de l’homme. C’est le cas dans son œuvre Los Caprichos, où l’on voit des hommes portant des ânes, ou plutôt leur ânerie. En

pour confirmer les impressions de l’éléveur qui les gardera alors comme étalons reproducteurs si les qualités pressenties se confirment. Si le comportement du toro au cheval n’est pas satisfaisant, il pourra être vendu pour une corrida ou une novillada ; c’est la raison pour laquelle, dans un premier temps, il n’est pas toréé à la cape, car si c’était le cas, le toro serait « inutilisable ». Hormis la bravoure et la noblesse, le toro, élément essentiel de la corrida, se caractérise par son

à fond, il m’aurait fallu passer du temps en Espagne et assister à un grand nombre de corridas, participer à la liesse populaire de ces journées de fête tauromachique. Je n’ai malheureusement pu voir que trois corridas à la télévision, dont une novillada (corrida d’apprentis-toreros) et une mexicaine!     Bibliographie (Retour au Sommaire)   (entre autres...)   Joan HUIZINGA, Homo ludens, essai sur la fonction sociale du jeu, ed. Gallimard, 1951   Jean DUVIGNAUD, Le jeu du jeu, ed. Balland