Nuée ardente

mariage, il ne respecta pas sa parole et précipita son beau­père dans une fosse pleine de charbons  ardents. Parjure et meurtrier, il fut cependant purifié par Zeus qui le délivra même de la folie qui  l'avait gagné et l'invita même à sa table.  Le crime​ : Ixion se montra ingrat et essaya de séduire Héra. Zeus plein de rage façonna une nuée qui  ressembla à Héra.  Ixion, crédule, prit cette nuée du nom de ​ Néphélé​  pour Héra. Ixion s’accoupla  avec elle et Zeus les prit sur le fait. De cette union naquit ​

est Compassion de l’Etre divin avec et pour soi-même, c'est-à-dire pour ses propres Noms. Ou encore, origine et principe sont une détermination de l’amour, lequel comporte mouvement d’ardent désir ( harakat shawqîya) chez celui qui est épris. A cet ardent désir, le Soupir Divin apporte sa détente. ( 1) […] La Tristesse n’est pas le « privilège » de l’être créaturel ; elle est dans l’Etre créateur lui-même, elle est le motif même qui fait de l’Etre primordial, devançant toutes nos déductions, un Etre

chevaux de son gendre, comme gage. Ixion l’invita à venir chercher ses présents dans son palais de Larissa. Mais le roi de Thessalie n'avait pas l'intention de s'executer. Il fit creuser un puit devant l’entrée du palais, et le remplit de charbon ardent. Quand Déionée arriva en vue du palais, Ixion alla à sa rencontre, l’accueillit chaleureusement, et l’accompagna jusqu’au palais, devant lequel il s’arrangea pour que son beau-père passe sur l’ouverture masquée du puit. Déionée mourut brûlé vif.

villes avec tous leurs habitant, tout le pays à l'entour avec ceux qui l'habitaient, et tout ce qui avait quelque verdeur sur la terre. I La voyez-vous passer, la nuée au flanc noir ? Tantôt pâle, tantôt rouge et splendide à voir, Morne comme un été stérile ? On croit voir à la fois, sur le vent de la nuit, Fuir toute la fumée ardente et tout le bruit De l'embrasement d'une ville. D'où vient-elle ? des cieux, de la mer ou des monts ? Est-ce le char de feu qui porte les démons À quelque planète

l'horizon, une colline, où l'œil devinait une sorte d'enfouissement des maisons, figurait vaguement les étages d'une falaise dans un brouillard de mer. Là-dessus pesait un grand nuage, amassé sur tout le bout de Paris qu'il couvrait, une nuée lourde, d'un violet sombre, une nuée de Septentrion, dans laquelle la respiration de fournaise de la grande ville et la vaste bataille de la vie de millions d'hommes semblaient mettre comme des poussières de combat et des fumées d'incendie. Ce nuage s'élevait et finissait

Schéma d’un volcan Bombe : fragment de lave dont les dimensions varient de quelques centimètres à plusieurs mètres de diamètre, projeté avec force dans l’air où il se solidifie en adoptant une forme compacte. Cendres : terme de granulométrie attribué aux particules fines de projections volcaniques (inférieures à 2 mm de diamètre) projetées dans l’air au cours de l’éruption. Chambre magmatique : réservoir de magma en profondeur. Cheminée principale : conduit de forme plus ou moins cylindrique

m'éveilla, je sortis de mon rêve, J'ouvris les yeux, je vis l'étoile du matin. Elle resplendissait au fond du ciel lointain Dans sa blancheur molle, infinie et charmante. Aquilon s'enfuyait emportant la tourmente. L'astre éclatant changeait la nuée en duvet. C'était une clarté qui pensait, qui vivait Elle apaisait l'écueil où la vague déferle On croyait voir une âme à travers une perle. Il faisait nuit encor, l'ombre régnait en vain, Le ciel s'illuminait d'un sourire divin. La lueur

Alors Ixion l'invita à un festin de réconciliation, mais il avait aménagé devant le palais une fosse dissimulée où brûlait du charbon de bois et quand le roi Eionée passa à côté il le poussa et son beau-père périt d'une mort atroce dans les braises ardentes. Personne ne voulut le purifier pour ce crime car le meurtre se doublait d'un sacrilège et les Erinyes le poursuivirent sans relâche au point qu'il commençait à devenir fou. Zeus, le prit en pitié sans doute parce qu'il avait des vues sur Dia

m’éveilla, je sortis de mon rêve, J’ouvris les yeux, je vis l’étoile du matin. Elle resplendissait au fond du ciel lointain Dans une blancheur molle, infinie et charmante. Aquilon s’enfuyait emportant la tourmente. L’astre éclatant changeait la nuée en duvet. C’était une clarté qui pensait, qui vivait ; Elle apaisait l’écueil où la vague déferle ; On croyait voir une âme à travers une perle. Il faisait nuit encor, l’ombre régnait en vain, Le ciel s’illuminait d’un sourire divin. La

avec ceux qui l’habitaient, et tout ce qui avait quelque verdeur sur la terre. Genèse I La voyez-vous passer, la nuée au flanc noir ? Tantôt pâle, tantôt rouge et splendide à voir, Morne comme un été stérile ? On croit voir à la fois, sur le vent de la nuit, Fuir toute la fumée ardente et tout le bruit De l’embrasement d’une ville. D’où vient-elle ? des cieux, de la mer ou des monts ? Est-ce le char de feu qui porte les démons À quelque planète