Ocean liner

forêts d’algue Les océans sont les principaux puits naturels de carbone, assimilé via le plancton, les coraux et les poissons, puis transformé en roche sédimentaire ou biogénique. Ils absorberaient environ 50 % du carbone émis dans l'air (sous forme de carbone dissous ou minéral). Une étude qui cherchait à affiner la mesure de la dissolution récente du CO2 dans l'océan (utilisant les chlorofluorocarbones comme marqueurs), publiée en 2003 laissait penser que la capacité des océans à absorber le CO2

Mise en œuvre des connaissances sur les continents et océans. Etude des Dom et Com. Manipulation du logiciel Google earth et utilisation des TIUC (travaillé sur un document numérique, faire des recherches simples…) Pré requis : Lors d’une séance précédente le logiciel Google Earth a été présenté et manipulé. Les principales fonctions ont été illustrées. Les élèves ont des connaissances sur le nom et la localisation des continents et océans (qui sera utile pour localiser les territoires d’outre

atteignit environ 1000 km de large . On a put prouvé l'existence de cet océan par du basalte retrouvé au Chenaillet . Filon de basalte dans du Gabbro Mais comment ces roches océaniques se sont il retrouvé sur les montagnes ? À -100 Ma d'années l'océan Alpin cesse de produire de la lithosphère océanique, par la compression de la plaque Africaine et par la naissance de l'océan Atlantique qui pousse la plaque européenne cet océan subit d'énormes mouvements de convergence ce qui entraine une subduction

stades d’évolution d’un océan I_ Les marges passives des continents A_ Les caractéristiques des marges passives En géologie, une marge passive ou marge continentale passive correspond à la zone de transition entre la croute continentale et la croute océanique (plaine abyssale) quand il n’y a pas de subduction. La marge correspond alors à l’un des deux épaules du rift qui a initié l’ouverture océanique (l’autre épaule du rift se trouve de l’autre coté de l’océan). Ex : océan Atlantique. Une

Le cadre idyllique de Fénelon est tout au long de l'extrait décrit, il nous invite à le traverser. En rédigeant ce texte, Fénelon joint un monde imaginaire à un monde réel, et en formant une périphrase dans " le grand océan assez près des Colonnes d'Hercule " pour désigner le détroit de Gibraltar, et fait plonger le lecteur dans un lieu reculé, isolé, inaccessible. " Le pays a pris le nom du fleuve ", on parle ici de Bétis. L'utilisation du présent, "coule"," se jette", semble faire de ce lieu

de nageoires et dont le corps est le plus souvent couvert d'écailles. On les trouve abondamment aussi bien en eau douce que dans les mers : on trouve des espèces depuis les sources de montagnes (omble de fontaine, goujon) jusqu'au plus profond des océans (grandgousier, poisson-ogre). Leur répartition est toutefois très inégale : 50 % des poissons vivraient dans 17 % de la surface des océans1 (qui sont souvent aussi les plus surexploités). Le milieu marin étant moins accessible aux humains, de nombreuses

différents sur le continent aussi bien au niveau des végétaux que des animaux témoigne d’une crise biologique en milieu continental à la limite permo-trias Disparitions rapidse d’espèces animales, végétales, à l’echelle de la planète (continent et océan) = crise biologique majeure. Origine de cette crise, la relation entre le vivant et les modifications géologiques de notre planète 1.5 Document n°3 : Forte activité volcanique à l’origine des trapps de Sibérie datés de la fin du permien Modification

Date : 1 novembre 1755 à 9h40 Magnitude : 8.5-9 Epicentre : Lisbonne, Portugal Victimes : +/- 60 000 victimes Où ? Capitale du Portugal : Lisbonne, les secousses furent ressenties jusqu'à Hambourg et le tsunami qui suivit détruisit les portes de Cadix. Quand ? 1 novembre 1755 à 9h36 Qui ? +/- 60 000 morts, habitants de Lisbonne Quoi ? Un séisme Comment ? Magnitude 8.7 sur l’échelle de Richter 3 secousses en quelques minutes Epicentre en mer, à 100 km de Lisbonne Après les secousses

sur la fuite du temps. Il est emporté par le temps comme il le serait par une vague. Au vers 3 et 4, le poète utilise une métaphore qui sera filée dans tout le poème, métaphore sur le temps, sur la vie comparée à un fleuve qui emporte les hommes (« océan des âges »). Il y a un effet de rupture vers 4, dans le rythme du quatrain (on passe d’alexandrins à hexasyllabes). Ce choix est justifié par la volonté, de la part de Lamartine, de mettre fin à la fuite du temps. Il y a aussi un effet de rupture dans

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