Octave Mirbeau

Premire partie Ds le dbut du roman, Octave, le narrateur qui a 19 ans, dcouvre quil est tromp par sa matresse. Le jeune hros vit douloureusement cette preuve. Son dsespoir est immense et il ne parvient ni oublier ni surmonter cette trahison. Son ami Desgenais, un dandy cynique, linvite accorder moins dimportance aux sentiments amoureux. Il essaye de convertir Octave au libertinage et lincite rechercher de nouveaux plaisirs dans les bras dautres femmes. Octave se refuse suivre les conseils de son

prévoient pas ». Alexandre Dumas fils. HUMANITÉ : * « Chaque homme est une humanité, une histoire universelle ». Jules Michelet. * « Cette tristesse et ce comique d’être un homme. Tristesse qui fait rire, comique qui fait pleurer les âmes hautes ». Octave Mirbeau. JEUNESSE : * « Si jeunesse savait, si vieillesse pouvait ». Henri Estienne. * « Ma jeunesse ne fut qu’un ténébreux orage, Traversé ça et là par de brillants soleils ». Baudelaire. JUSTICE : * « La justice est le droit du plus faible »

rattache à son arrière-train nu. Comme le signale Elza Ribeiro Hawelka, il est probable que le supplice en question ait été « lu » (lu par le capitaine cruel ?) dans un récit du livre « Le jardin des supplices » d’Octave Mirbeau. Voici le récit du supplice, écourté, écrit par Mirbeau, « pamphlétaire » connu du début du XX° siècle, auteur aussi du « Journal d’une femme de chambre » : « Vous prenez un condamné (…) vous prenez un homme, autant que possible, jeune, fort, et dont les muscles soient bien

indestructible.» Et il cita «la beauté d'un roman épique tel que “_Germinal_”». Dans le même journal, le 25 juin 1892, il réitéra son jugement : «Zola avait déjà montré, dans “_Germinal_” surtout, qu'il avait le sens épique et l'instinct des foules.» Octave Mirbeau s’écria : «Qu’il soit vivant ou non, le naturalisme, est-ce que Zola ne demeure pas l’artiste énorme, l’évocateur puissant des foules, le descriptif éblouissant qu’il a toujours été?» Au XIXe siècle, “_Germinal_” ne se situait, dans la liste

indestructible.» Et il cita «la beauté d'un roman épique tel que “Germinal”». Dans le même journal, le 25 juin 1892, il réitéra son jugement : «Zola avait déjà montré, dans “Germinal” surtout, qu'il avait le sens épique et l'instinct des foules.» Octave Mirbeau s’écria : «Qu’il soit vivant ou non, le naturalisme, est-ce que Zola ne demeure pas l’artiste énorme, l’évocateur puissant des foules, le descriptif éblouissant qu’il a toujours été?» Au XIXe siècle, “Germinal” ne se situait, dans la liste

indestructible.» Et il cita «la beauté d'un roman épique tel que “Germinal”». Dans le même journal, le 25 juin 1892, il réitéra son jugement : «Zola avait déjà montré, dans “Germinal” surtout, qu'il avait le sens épique et l'instinct des foules.» Octave Mirbeau s’écria : «Qu’il soit vivant ou non, le naturalisme, est-ce que Zola ne demeure pas l’artiste énorme, l’évocateur puissant des foules, le descriptif éblouissant qu’il a toujours été?» Au XIXe siècle, “Germinal” ne se situait, dans la liste des

realism which revealed the ills of society in a mood which combined cynicism with strong moral judgements. La Vie politique (1901), by Émile Fabre (1869–1955), was a savage attack on electoral scandals. In Les Affaires sont les affaires (1903), Octave Mirbeau (1850–1917) unveiled the workings of money. Naturalist theatre, though it traded in character types and such jaded ploys as the misdirected letter, was solidly constructed and its frank treatment of contemporary issues (divorce, class antagonism

s’inscrit sur une liste de départ pour la Syrie, mais il est envoyé à Constantinople, aujourd’hui Istanbul. Là il connaît un jeune soldat qui habite à Paris: Marcel Duhamel. Celui-ci aime la littérature, surtout Pierre Loti, Claude Farrère et Octave Mirbeau et fait partager ses goûts à Prévert. Les deux jeunes se prennent d’amitié. Les années 1922-1924 Rentré à Paris en 1922, après avoir fini le service militaire, et ayant précédé de quelques mois Duhamel, Prévert va le chercher à la gare et

antidreyfusarde organisée en faveur de Henry par ce journal. Document 5 : L’opinion publique antidreyfusard. C’est toujours le rôle de la presse qui est souligné avec L’Aurore, journal qui ouvre ses colonnes au célèbre pamphlet de Zola en faveur de Dreyfus. Octave Mirbeau, romancier et journaliste, a joué un rôle essentiel dans la mobilisation en faveur de Dreyfus. Document 6 : Les dreyfusards. Le Père Peinard. C’ est une feuille anarchiste des la fin du siècle. Document 7 : Réunion des partisans de Dreyfus (10

pages. […] J’avais envie de me retremper dans de bonnes phrases pohétiques. L’envie d’une forte nourriture se faisait sentir, après toutes ces finasseries de dialogues, style haché, etc.» Une longue lettre de Louise Colet relatant ses démêlés avec Octave Lacroix, l’un de ses anciens amants, plonge Flaubert dans « une sorte de priapisme sentimental. L’exhibition de la plus luxueuse nudité ne procure pas à la chair plus d’attirement que le récit de tout cela n’en a fait à ma pensée ». Bouilhet, présent