Octave Mirbeau

néanmoins à s'imposer en bénéficiant de l'aide efficace de son frère Paul qui dirige à Lausanne la succursale de la galerie Bernheim. Il expose régulièrement à Paris, notamment en janvier 1910, lors d'une exposition dont le catalogue est préfacé par Octave Mirbeau Il expose aussi en Suisse et dans d'autres pays. Vallotton était un travailleur acharné, sans cesse à la recherche de nouvelles formes d'expression. Touché par l'horreur de la Première Guerre mondiale, il trouva dans le conflit une source d'inspiration

naturalisme français semble se limiter, en dehors de Zola, à Guy de Maupassant, à Vallès, aux frères Goncourt et peut-être à Alphonse Daudet. Les autres membres du groupe de Médan, Paul Alexis, Henri Céard, Léon Hennique sont presque oubliés. Quant à Octave Mirbeau, qu'on a souvent rangé parmi les naturalistes à son corps défendant, il a toujours vivement critiqué la doctrine zolienne. Ainsi, le naturalisme a vite été éventé dans son propre pays et a rapidement été abandonné par ses partisans littéraires

Mythologie - Nouvelles - Philosophie - Poésie - Policiers - Relaxation - Religion - Romans (Complets ou Extraits) - Sciences - Société - Théâtre - V.O. - Voyages Recevoir Les Nouveautés 28 139 abonnés (Aide) Top 10 Livres Audio 1. MIRBEAU, Octave - Le Journal d'une femme de chambre (1129) 2. LOVECRAFT, Howard Phillips - L'Affaire Charles Dexter Ward (826) 3. VERNE, Jules - Le Tour du monde en 80 jours (811) 4. CONAN DOYLE, Arthur - Le Chien des Baskerville (777) 5. ZOLA, Émile - L'Assommoir

littérature plus récente, la tragédie décline comme genre codifié. Le tragique pourtant semble subsister dans certaines œuvres marquantes : Une maison de poupée (1879) du Norvégien Henrik Ibsen, Les Mauvais Bergers, tragédie prolétarienne du Français Octave Mirbeau (1897), ou encore, au xxe siècle, de l’Américain Arthur Miller, Les Sorcières de Salem et Mort d’un commis voyageur...

Zola, à Guy de Maupassant, à Vallès, aux frères Goncourt et peut-être à Alphonse Daudet (1840-1897). Les autres membres du groupe de Médan, Paul Alexis (1847-1901),Henri Céard (1851-1924), Léon Hennique (1851-1935) sont presque oubliés. Quant à Octave Mirbeau, qu'on a souvent rangé parmi les naturalistes à son corps défendant, il a toujours vivement critiqué la doctrine zolienne. Ainsi, le naturalisme a vite été éventé dans son propre pays et a rapidement été abandonné par ses partisans littéraires

sculpteurs et graveurs en réaction contre le "Salon" officiel. Claude Monet Les nymphéas dans le jardin de Claude Monet à Giverny John Singer Sargent : Monet peignant à l'orée d'un bois, 1885 En 1884, commence sa longue amitié avec l'écrivain Octave Mirbeau, qui est désormais son chantre attitré et contribua à sa reconnaissance. En 1892, Monet épouse Alice Hoschedé qui était sa maîtresse sans doute depuis 1875 ou 1876, et avec qui il vivait depuis l'été 1878. Ce n'est que lorsqu'Ernest Hoschedé est

lieu d'une véritable bataille juridique, dans laquelle les droits de la défense sont sans cesse déformés. Zola a derrière lui cents témoins. Il est condamné à un an de prison, et à 3000 francs d'amendes. C'est la peine maximal pour l'écrivain. Octave Mirbeau paiera de sa poche cette somme importante, le 8 août 1898. Le 18 juillet, le procès prend une nouvelle tournure. L'affaire est remise sur le vif, et Zola est contraint de quitter la France. Il partira d'abord à Calais, puis ensuite à Londres,

Rose Beuret, Camille Claudel décide de quitter celui-ci. Les dix années qui suivront seront les plus productives de sa carrière, mais elle ne recevra pas de commandes de l'État (commandes demandées à grands cris par son admirateur enthousiaste Octave Mirbeau, qui proclama à trois reprises son génie dans la grande presse). En effet, Camille défie la morale sexiste du monde de l'art de l'époque en sculptant le nu avec la même liberté que les hommes. A la fin de sa carrière, elle reçoit enfin une commande

tableau de Kandinsky, une cuillère crasseuse qui aurait trop longtemps macéré dans une tasse de café… > les références culturelles : référence à l’Odyssée d’Homère, à Adam et Eve, à un auteur admiré et qui aurait été source d’inspiration : « à Octave Mirbeau » en exergue, noms de personnages atypiques repris, noms de personnes très connues mentionnés (la nouvelle Pauvre petit garçon, de Buzzati, mentionne « Mme Hitler ») Attention : tout repérage doit être accompagné d’un commentaire. Si on

les prêtera pour les premières rétrospectives à Weimar d'abord, puis à Paris au Salon d'automne en 1906. On retrouve une activité littéraire intense et excentrique11 : Baudelaire, chantre de la modernité parisienne, Léon Bloy, Pierre Louÿs, Octave Mirbeau, qui en ont fait une époque d'excès et de fantaisie. Victor Hugo et Émile Zola, à la fois intellectuels et écrivains, qui croyaient au progrès social et militaient pour une société plus harmonieuse, et qui n’auront de cesse de dénoncer les conditions