Odelettes

M. Dusuel – Français – 1ère – Lycée Fragonard Objet d'étude n°1 : « La poésie du XIXe siècle au XXIe siècle » Les Fleurs du mal, Baudelaire / Parcours : « Alchimie poétique : la boue et l'or » Lecture linéaire n°2 : « Fantaisie », Odelettes rythmiques et lyriques, Gérard de Nerval, 1853. Le Chevrier italien. Effet de soleil couchant, vers 1847, Jean-Baptiste Camille Corot (1796-1875), Musée du Louvre, Paris. Présentation de l'auteur et de l'oeuvre Familier du romantisme allemand, Gérard

Odelettes de Nerval « Une allée du Luxembourg » ____________________________________________________________ ______________________________ Texte : Elle a passé, la jeune fille Vive et preste comme un oiseau À la main une fleur qui brille, À la bouche un refrain nouveau. C'est peut-être la seule au monde Dont le coeur au mien répondrait, Qui venant dans ma nuit profonde D'un seul regard l'éclaircirait ! Mais non, - ma jeunesse est finie ... Adieu, doux rayon qui m'as lui,

Talma, élégies nationales nouvelles (1826) • L'académie ou les membres introuvables (1826), comédie satirique en vers • Le Peuple (1830), ode • Nos adieux à la Chambre des Députés ou « allez-vous-en, vieux mandataires » (1831) • Odelettes (1834), dont: Une allée du Luxembourg mais aussi "Le réveil en voiture" (1832) • Les Chimères (1854) Elle a passé, la jeune fille, Vive et preste comme un oiseau; A la main une fleur qui brille, A la bouche un refrain nouveau. C' est peut-être

du recueil Odelettes qui a été écrit en 1832 . Ce poème a pour thème“ l'amour“ mais aussi “ la fuite du temps “ autrement dit le temps qui passe . Le sens du titre : « Une allée du Luxembourg » C'est dans une allée d'un jardin public parisien , nous sommes donc dans un lieux public à l'extérieur . C'est à cette endroit qu'une rencontre amoureuse sans suite aura lieu . On peut parler de coup de foudre amoureux. Forme et registre de ce poème : Ce poème est une odelette , composé

Faisons un rêve. Gérard de Nerval , « Fantaisies »,Odelettes ,1852 1. Il est un air pour qui je donnerais 2. Tout Rossini, tout Mozart et tout Weber, 3. Un air très vieux, languissant et funèbre, 4. Qui pour moi seul a des charmes secrets. 5. Or, chaque fois que je viens à l'entendre

sensations et leurs émotions en étant privé de liberté. Nous pouvons observer comment les poètes dénoncent ce fait, de priver une personne de liberté. Notre anthologie s’ouvrira sur le poème « Politique » de Gérard de Nerval extrait du recueil : Odelettes. Ce poème fait ressortir l’imagination et la rêverie de l’auteur. Nous poursuivrons notre étude avec « En prison » de Paul Verlaine extrait du recueil : Cellulairement. Ce poème relate une scène de prison : la promenade. Nous continuerons avec

l’auteur ? à quel mouvement appartient-il ? Quel est le genre du texte ? Sa date de composition ? Ici nous nous trouvons devant un texte appartenant au genre poétique (typographie, rimes…). Le paratexte nous renseigne sur la forme poétique : une odelette : poème brève de tonalité lyrique, composé d’une seule strophe (dizain ou douzain) ou de plusieurs, de formes variées. Cette forme légère s’apparente à la chanson populaire. La date, 1832, et le nom de l’auteur nous permettent de situer le texte

s’enivre,Et sans penser à rien on regarde les cieux…Hélas ! une voix crie : “En voiture, messieurs !” Gérard de Nerval, Odelette, XIXe siècle Gérard de Nerval (1808-1855), poète du romantisme, connu pour ses poèmes et ses nouvelles, avec son recueil Les Filles du feu (1854). Il écrivit aussi deux romans et des pièces de théâtre. Le relais, inclus dans le recueil Odelettes, décrit les escales, les pauses dans un voyage. Elles sont bénéfiques, reposantes, mais souvent courtes. Un voyage long a

Introductions : L’œuvre à commenter est un poème qui s’intitule «Le relais », tiré du recueil Odelettes composé entre 1832 et 1835 par Gérard de Nerval, poète du début du 19ème siècle. Ce poème parle essentiellement de nature et de voyage, nous pouvons donc nous poser la question suivante ; l’intérêt du voyage est-il dans le temps de l’arrêt ou le temps du trajet ? Nous répondrons à cette question d’abord en nous interrogeant sur l’opposition entre l’agitation du trajet du voyage et le calme de la

Une allée du Luxembourg, Gérard de Nerval, Odelettes, 1832. 2/ A une passante, Baudelaire, Les Fleurs du Mal, Tableaux parisiens, XCII, 1857. 3/ Mon rêve familier, Verlaine, Poèmes saturniens, 1866. 4/ La Loreley, Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913 5/ « La courbe de tes yeux… », Paul Eluard, Capitale de la douleur, 1926 6/ Femme noire, Léopold Sédar Senghor, Chants d’ombre, 1945. Textes complémentaires : Fantaisie, Gérard de Nerval, Odelettes, 1832 (Bordas, Textes et perspectives, p.127)