Odyssée

Fiche N°1 : « Heureux qui, comme Ulysse.. » Du recueil « Les Regrets » 1558 J. Du Bellay Intro. Du Bellay est un humaniste et un des auteurs de la pléiade les plus connu avec Ronsard. Il admire l’antiquité gréco-latine, l’Italie. 1558, départ à Rome avec son cousin. Il écrit alors 2 recueils : Les Antiquités de Rome et Les Regrets→ déception du poète face à ce séjour insatisfaisant. Présentation du texte. Ce sonnet appartient au 2° recueil. Il est composé de 2 quatrains (r. embrassées)

Né à Manosque en 1895, Jean Giono, fils d'un père cordonnier italien et d'une mère blanchisseuse, est un écrivain français. Giono ne peut poursuivre ses études que jusqu’à la classe de seconde. Embauché comme coursier dans une banque, il complète en autodidacte sa formation initiale, lisant entre autre Homère, Virgile, Stendhal et Flaubert. En 1915, il est mobilisé et participe à des combats dont il raconte l’horreur et l’absurdité dans Le Grand Troupeau. C’est après la guerre que Giono commence

La nourriture humaine, entre satisfaction des désirs et accueil d'autrui A) La satisfaction de la faim Aristote, dans son traité de l'âme, définissait le désir comme « l'appétit de l'agréable ». En effet, la faim fait partie des désirs, mais c'est seulement lorsqu'elle est satisfaite que se distingue l'agréable. De façon récurrente, l'Odyssée met en avant le plaisir de manger, et de déguster des mets savoureux. C'est ainsi qu'au chant I, « [les prétendants] tendirent les mains vers les plats qu'on

Homère : L’Odyssée, chant XII 1. L’histoire Ulysse et ses compagnons se rendirent sur l’île de Aiaié, là où habite Circé, une sorcière. Celle-ci leur apporta de quoi manger et de quoi boire afin qu’ils reprennent des forces pour les épreuves qu’ils allaient endurer le lendemain. Cette nuit-là, Circé prit Ulysse à part pendant que ses compagnons dormaient et lui prédit ce qui se passerait le lendemain. Elle lui dit qu’il rencontrera d’abord les Sirènes qui, par leur chant, charment tous les

Apport des poètes a la propagande d’Auguste Auguste organise et met en scène la réconciliation entre les Romains : le souvenir de la guerre civile doit être effacé. La propagande d'Auguste est efficace : il remet en avant les vieilles valeurs romaines (le mos majorum) ; leur abandon est donné comme la cause des guerres civiles. Pour cela il fera appel à plusieurs auteurs de son époque tels que Virgile, Horace ou autre Tite-Live. L'empereur Auguste avait compris très tôt que l’évocation des hauts

Chant X [modifier] Le Naufrage d’Ulysse, par Heinrich Füssli (1803) (Suite du récit d’Ulysse) Ulysse et ses compagnons arrivent ensuite sur l'île de bronze d'Éole, le gardien des vents. Celui-ci leur offre l'hospitalité et tente de les aider à rentrer chez eux en offrant à Ulysse un sac où il a enfermé tous les vents qui pourraient les empêcher d'arriver à bon port ; Éole leur envoie aussi une brise légère qui doit les ramener rapidement à Ithaque. Au dixième jour de navigation après avoir quitté

L’Odyssée est un long poème de plus de 12 000 vers. L’Odyssée est d’abord un long recit pris en charge par un poète qui invoque la Muse pour trouver son inspiration au début du chant I : O muse, conte moi l’aventure de l’inventif. Les vers liés à son origine orale et musicale, nourissent l’épopée. Une aventure maritime a l’aveugle : Même si les érudits ont cherché à tracer su une carte le périple d’ulysse, il est intéressant de montrer qu’Ulysse navigue sans savoir ou il va. Il est certes

L’Odyssée Long poème épiques attribués à Homère sans doute aux VIII° siècle avant JC, l’Odyssée, composée après l’Illiade raconte les souffrances d’Ulysse qui dut errer sur les mers avant de retourner à Ithaque. Les figures féminines sont omniprésente dans l’œuvre, en particulier dans le retour du héros, narré dans les chants V à XIII. Aussi serait il interressant de nous interroger sur le rôle de ces figures féminines qui rythment les épreuves d’Ulysse dans les chants au programme. Dans un premier

De nombreux passages dans l'Odyssée, sont importants, et celui chez Circé en fait partie. Elle est le seul personnage rencontré sur le chemin d'Ulysse présent dans deux chants. (Chant X et chant XII). Fille d'Hélios (le Soleil) et de l'Océanide Perséis, elle est la magicienne la plus célèbre de la mythologie Grecque. Lors de son séjour chez Circé, Ulysse découvre tout d'abord une femme puissante, redoutable, et aux grands pouvoirs. Mais par la suite, la magicienne passe de femme fatale, dominatrice

Le mythe de Sisyphe (1942) Texte intégral Les dieux avaient condamné Sisyphe à rouler sans cesse un rocher jusqu'au sommet d'une montagne d'où la pierre retombait par son propre poids. Ils avaient pensé avec quelque raison qu'il n'est pas de punition plus terrible que le travail inutile et sans espoir. Si l'on en croit Homère[1], Sisyphe était le plus sage et le plus prudent des mortels. Selon une autre tradition cependant, il inclinait au métier de brigand