Oedipe Affrontement

Tragédies Au théâtre, on choisit des figures qui dépassent le publique. Grandiose, des figures hautes ; des figures qui nous tirent de l’ordinaire du quotidien dont la plus-part d’entre nous somment prisonnier. Nous avons tous a un moment donné des envies de meurtres, des pulsions violent, sexuelle, jalouse, mais la plus part des hommes n’y cèdent pas. La tragédie, ou même le théâtre en général, crée une sorte de catharsis chez le spectateur qui est transcendé par les thèmes et émotions grandioses

animaux. 1ère partie, v. 1-14 : la peinture de la peste. Cette première partie décrit la peste, fléau moins fréquent au XVIIème siècle, mais qui avait laissé de terribles souvenirs ; ajoutons une dimension intertextuelle : peintures de la peste dans Œdipe-Roi de Sophocle (IVème siècle av. J-C), chez Thucydide (même époque) ou encore chez le poète latin Lucrèce (Ier siècle avant J-C). C'est surtout le mythe d'Œdipe qui nous intéresse ici : le Roi évoque naturellement le début de la tragédie de Sophocle

de début d'hiver) ; aucune action en vue ! Tous les ingrédients qui rendaient rassurante la lecture d'un roman traditionnel semblent écartés pour plonger le lecteur dans un univers à la limite de l'hostilité.   [Retour au sommaire de Vitellus] ŒDIPE-ROI ET LES GOMMES D'ALAIN ROBBE-GRILLET Les Gommes est un roman d'Alain Robbe-Grillet, qui fut l'un des auteurs phare du "Nouveau Roman", qui prétendait rénover le roman en renonçant à l'illusion réaliste, en mettant en doute la notion même de personnage

vainqueur et illustra la période si brillante de Périclès. La geste d'Oedipe a été écrite par Sophocle aux alentours de 430 avant notre ère. (remise en place de l’extrait dans l’œuvre et rapide explication) Le troisième stasimon arrive au moment où Œdipe a eu vent du récit de la prophétie et de la mort de Laïos et commence à comprendre peu à peu ses origines. ( Problématique) Nous verrons comment ce texte représente, par le chant du cœur, la célébration de la naissance mythique d'Œdipe, de sa gloire

subjective) qui est ici imaginée. « Corps sans organes » hurle Antonin Artaud en 1947 pour clôturer son œuvre radiophonique Pour en finir avec le jugement de dieu. Mais c’est bien Gilles Deleuze et Félix Guattari qui réemployèrent cette formule, dans L’Anti-oedipe et Mille plateaux, pour en faire un concept philosophique : le CsO (corps sans organes). Deleuze dira que le grand penseur du corps sans organes est Benedictus de Spinoza, le premier philosophe qui admet ignorer « ce que peut un corps » (L’Ethique

on peut remarquer qu’elle est dépourvue de toute confiance en elle lorsqu’elle s’adresse à Œdipe : Ils me détestent. Mes robes les agacent, mon accent les agace, mon noir aux yeux les agace, mon rouge aux lèvres les agace, ma vivacité les agace. (p.111-112) Sa faible estime d’elle-même fait en sorte qu’elle est instable émotionnellement, ce qui la rend vulnérable aux manigances des dieux. Quant à Œdipe, il est tout le contraire de Jocaste. Il est persuadé que rien ne peut l’atteindre, pas même

Fiche de lecture : Œdipe Roi, SOPHOCLE Titre – Date : Œdipe Roi, entre 430 et 415 avant J.C.i L’auteur et l’œuvre : Une des sept tragédies de Sophocle célèbre, IV siècle avant J.C. Genre : théâtre - tragédie grecque Propos : Œdipe, roi de Thèbes, est destiné être le meurtrier de son père et l’époux de sa mère. Résumé : -mort Laïos = exposition -aveu de Tirésias à Œdipe, qui prend ça pour une supercherie = nœud -aveu du Corinthien à Œdipe > suicide Jocaste > Œdipe se rend aveugle

texte: N°1 du livre 7, situé dans la deuxième période d’écriture, différente par le fait de l’importance donnée au récit par rapport à la morale. . Une réalité historique au 17eme siècle: la peste, 400 000 victimes. . Une référence antique : Œdipe roi de Sophocle (tragédie) : => de ce mariage incestueux nait une malédiction. . Période d’épidémie => les relations humaines sont véritables Plan de commentaire: I) Une fable habilement menée A) Récit ancré dans la mythologie

Dans cet extrait d’Œdipe Roi (Vème siècle avant J.C) de Sophocle, nous avons deux personnages : Œdipe et Tirésias, en plein dialogue sur un sujet: Qui est l’assassin de l’ancien roi Laïos? Œdipe cherche à le savoir la vérité tandis que Tirésias ne veut point le lui dire. En quoi la combinaison de l’obstination à la vérité et du refus à la révélation crée-t-elle le mystère? Il serait alors intéressant d’étudier le passage de l’obstination à celui du déni de la vérité puis du refus à la révélation

au dessus de lui, une force qui l’empêche de faire des efforts pour réussir. Selon certaines personnes il y a aussi une force qui peut « pousser » quelqu’un tout le long de sa vie, c’est le destin. Prenons l’exemple du personnage Œdipe dans l’œuvre de Sophocle Œdipe Roi qui malgré les efforts de ses parents pour échapper à son destin est contraint, sans le savoir, de tuer son père et de coucher avec sa mère (l’inceste). Le destin semble insurmontable. Il est très difficile de lutter contre son