Œil

du combattant. De cette main sort une fleur, symbole d’espoir et de renaissance. Mais sa fragilité est soulignée par la finesse du contour. Il a la bouche ouverte et des yeux grands ouverts. La lampe au plafond : Le dessin ressemble étrangement à un œil. Hérissé de pics blancs en partie basse. La lampe surplombe la tête du cheval. La femme à la lampe D’une maison, une femme surgit vers la gauche et vers le centre de la composition. L’allongement de son bras et de sa tête, de forme effilée, donne une

tête et un bras coupés. Sa main est encore refermée sur une épée brisée, c’est la figure du combattant. De cette main sort une fleur, symbole d’espoir et de renaissance. Au centre du tableau, la lampe. Cette lampe domine la scène, elle à la forme d'un œil ce qui peut représenter l'œil du peintre qui souhaite montrer sa perception de l'événement. Elle peut signifier la lueur d'espoir malgré la tragédie de ce bombardement. La femme dans les flammes a les bras levés au ciel, Picasso fait sans doute référence

je vous plains. Le plomb de votre style fond Et coule sur les noms que dore un peu de gloire, Et, tout en répandant sa triste lave noire, Tâche d'être cuisant et ne peut qu'être lourd. Tortueux, vous rampez après tout ce qui court ; Votre oeil furieux suit les grands aigles véloces. Vous reprochez leur taille et leur ombre aux colosses ; On dit de vous : - Pygmée essaya, mais ne put.- Qui haïra Chéops si ce n'est Lilliput ? Le Parthénon vous blesse avec ses fiers pilastres ; Vous

par le cerveau,aide le travail effectué par celui-ci et permet d'accroître la vitesse de lecture. Accroître nos capacité visuelle Chaque rétine possède 130m de cellules photoréceptrices,nos yeux en totalisent donc 260m. 20 % de notre système œil/cerveau est dédié à la vision centrale,contre 80 % pour la vision péréphérique. Or les techniques d'apprentissage traditionnelle se concentrent uniquement sur la vision centrale.Elle utilisent donc moins de 20 % des capacités du lecteur. Les meilleures

l'objet et connaîssant la distannce focale f' de la lentille. La relaton de grandissement: elle permet de determiner la taille et le sens de l'image à partir de la taille tet du sens de l'objet. 4) L'oeil et l'appareil photo Un oeil et un appareil photo sont constitué d'éléments ayant la même fonction. L'objectif de l'apppareil photo est comparable à l'esemble cornée, humeur aqueuse et cristallin de l'oeil. L'un et l'autre servent à former une image. Le diaphragme contrôle la

Chair, visage, figure , oeil, nez , joue, bouche, rire, cheveux, Pustule, bouton, purulence , suppurer, Flétries, affaissées, moisissure, se décomposait , charogne, pourri Terre, sombrer, trou, demi-ouvert, charnier, sang, néant Informe , sombrer, s'enfoncer, Vénus, beaux cheveux, Syntaxe Les personnages Lucy, Blanche et Caroline puis Rose (2°phrase ) Puis plus personne ( se sauvèrent ) Nana restait Les pustules, un œil, le nez, une croûte, les cheveux

sens Quelque chose me pousse. Pour moi dans le fond de son coeur S'il en était de même ? Aurait-elle un regard trompeur, Celle que j'aime ? Celle que j'aime, hélas ! hélas ! A son tour m'aime-t-elle ? Je ne sais ; je ne lui dis pas Que son oeil étincelle. Est-ce pour moi qu'il brille ainsi ? Félicité suprême !... Ailleurs l'enflamme-t-elle aussi, Celle que j'aime ? Si trompant ma naïveté Par son hypocrisie, Elle se sert de sa beauté Pour me briser ma vie ! Son coeur peut-il être

contrainte provient des lois de la physique. Pour être vu en 3D, un marqueur doit être vu par au moins deux caméras. Pour vous aider à comprendre, mettez une main devant l'un de vos yeux. Si vous vous déplacez dans votre environnement avec un seul œil ouvert, vous constaterez que vous voyez le monde en deux dimensions (en YZ, selon un repère galiléen). Vous ne voyez donc pas le relief. Vos deux yeux ouverts vous permettent de voir le monde en trois dimensions (vous rajoutez donc le X). Pour la motion

hurlait.
 Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, 
Une femme passa, d'une main fastueuse 
Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ;

 Agile et noble, avec sa jambe de statue.
 Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, 
Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan, 
La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.
 
 Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté 
Dont le regard m'a fait soudainement renaître,
 Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ? 
 
Ailleurs, bien loin

un beau cavalier pâle, Un pauvre fou, s'assit muet à tes genoux ! Ciel ! Amour ! Liberté ! Quel rêve, ô pauvre Folle ! Tu te fondais à lui comme une neige au feu : Tes grandes visions étranglaient ta parole - Et l'Infini terrible éffara ton oeil bleu ! III - Et le Poète dit qu'aux rayons des étoiles Tu viens chercher, la nuit, les fleurs que tu cueillis ; Et qu'il a vu sur l'eau, couchée en ses longs voiles, La blanche Ophélia flotter, comme un grand lys. Arthur Rimbaud