Œil

quand tout à coup plus un bruit.Le ciel changea d'une couleur gris acier , la mer devenue noire me faisait frissoner par sa soudaine ressamblance au néant. Tout à coup , le comportement des oiseaux devint affolant , ils survolaient mon bateau d'un oeil noir et affligeant , et de temps en temps ils volaient si près de moi , voir même me foncaient dessus si violamment que c'était avec peine que j'arrivais à les esquiver tant le ciel était noir et leurs descentes rapides , je crois même que je pris

intervient egalement .si la tache de diffusion diminue alors l'acuité visuel augmente · L'aberation del'oeil: l'indice de refraction dans un milieu tramsparent varie en fonction des rayons lumineux .la refraction des rayons lumieux à travers un oeil varie en fonction de la couleur.les courtes longueur d'ondes (verte,bleu,violet) sont plus deviés que les grandes longeur d'ondes (rouge) .les rayons lumineux à l'ongueur d'ondes courtes ont un foyers plus proche du cristallin que les longueur d'ondes

tordre le cou, renverser la nuque: elles battaient sa face, s'écrasaient, claquaient sans relâche. Au bout d'un quart d'heure, il était trempé, couvert de sueur lui-même, fumant d'une chaude buée de lessive. Ce matin-là, une goutte, s'acharnant dans son oeil, le faisait jurer. Il ne voulait pas lâcher son havage, il donnait de grands coups, qui le secouaient violemment entre les deux roches, ainsi qu'un puceron pris entre deux feuillets d'un livre, sous la menace d'un aplatissement complet. Pas une

noir et blanc. Ce découpage du tableau intensifie toute l'horreur de la guerre. [pic] B. Analyse des différentes parties du tableau :         Tout d'abord, au centre du tableau, la lampe. Cette lampe domine la scène. Elle a la forme d'un oeil ce qui peut représenter l'oeil du peintre qui souhaite montrer sa perception de l'événement. Elle peut signifier la lueur d'espoir malgré la tragédie de ce bombardement. Le taureau à gauche est l'incarnation de la brutalité, de l'obscurité dans

continue d'opérer à travers le choix de della Francesca qui préféra le peindre sous son plus beau jour, c'est-à-dire, de profil, à la manière des portraits de l'époque eux-mêmes inspirés par la tradition des médailles antiques, lui dissimulant ainsi son oeil borgne. En définitive cette oeuvre est caractéristique de la peinture toscane de l'époque et, plus généralement des intérêts du Quattrocento, de par la volonté de retranscrire une image parfaitement ressemblante à la réalité. Cependant, cette peinture

est beau quand tout frais il se lève, Comme une explosion nous lançant son bonjour ! - Bienheureux celui-là qui peut avec amour Saluer son coucher plus glorieux qu'un rêve ! Je me souviens ! J'ai vu tout, fleur, source, sillon, Se pâmer sous son oeil comme un coeur qui palpite... - Courons vers l'horizon, il est tard, courons vite, Pour attraper au moins un oblique rayon ! Mais je poursuis en vain le Dieu qui se retire ; L'irrésistible Nuit établit son empire, Noire, humide, funeste et pleine

rupture. La représentation de ces femmes nues qui regardent fixement le spectateur a pu choquer, leurs regards est complètement impudiques. Ce tableau pousse ensuite le spectateur à regarder ses femmes qui semblent "à l'aise" dans ces positions d'un œil très observateur.  Cette œuvre a été réalisée en 1907, date à laquelle le mouvement cubisme commence. En effet le fait de simplifier les objets et les réduire à des solides géométriques donne ici le sentiment de leur présence physique en les amenant

descendant légèrement jusqu'à la nuque et d'une couleur châtain foncé même si elle est un peu foncée. On le reconnais souvent à son oeil droit: Ce dernier est rouge. Non, pas rouge dans le genre albinos, mais plutôt rouge...vraiment rouge. Dans ce dernier est encrée une spirale noire partant du centre de l'oeil pour tourne et repartir dérrière le globe oculaire. Son oeil gauche, lui, est normal. Il est d'un bleu faisant penser à la magnificence du saphir. Le reste des traits de son visages son fins;

le pas maladroit D'un quadrupède infirme ou d'un juif à trois pattes. Dans la neige et la boue il allait s'empêtrant, Comme s'il écrasait des morts sous ses savates, Hostile à l'univers plutôt qu'indifférent. Son pareil le suivait: barbe, œil, dos, bâton, loques, Nul trait ne distinguait, du même enfer venu, Ce jumeau centenaire, et ces spectres baroques Marchaient du même pas vers un but inconnu. À quel complot infâme étais-je donc en butte, Ou quel méchant hasard ainsi m'humiliait

L'enfant regardait d'un oeil égaré cette grosse étoile qu'elle ne connaissait pas et qui lui faisait peur. La planète, en effet, était en ce moment très près de l'horizon et traversait une épaisse couche de brume qui lui donnait une rougeur horrible. La brume, lugubrement empourprée, élargissait l'astre. On eût dit une plaie lumineuse. Un vent froid soufflait de la plaine. Le bois, était ténébreux, sans aucun froissement de feuille, sans aucune de ces vagues et fraîches lueurs de l'été. De grands