Oenone Est Elle Coupable Ou Innocente

Phèdre est présentée comme acquise et établie par le temps et les valeurs des verbes : « je les plains », « c’en est fait », « est heureux »… sont conjugués au présent de vérité général. Cela amène le spectateur à penser que Phèdre ne peut se sentir innocente. Le champ lexical de la mort, « mourrons », « cesser de vivre », « la mort », « héritage », « expirant », « perte », montre la volonté de mourir de Phèdre. Des verbes comme « trembler » et « craindre » nous rappel la peur de cette dernière. Mais

: Princesse d'Athènes retenue prisonnière par Thésée pour qu’elle ne puisse accéder au trône car elle fait partie de la famille des Pallantides, elle est également amoureuse d'Hippolyte. · Œnone  : Elle est la nourrice et confidente de Phèdre · Tù jhéramène  : Il est le gouverneur d'Hippolyte · Ismène 

« serait » (v.11) qui est le mode de l’incertitude· Illusion de la signature sur l’eau (v.8)Présence de l’ironie et de l’autodérision du protagoniste :· Utilisation d’hyperbole : « divin serment » (v.9)· Le protagoniste se moque de lui-même : « Pauvre innocent » (v.12)Les mots dit par le protagoniste sont ridiculisés lorsque l’on comprend que la femme s’est moquée de lui.Le poète fait rimer plusieurs mots qui s’opposent (oxymore). Cela annonce une future déception, tout n’est qu’illusion pour le poète

courant classicisme et au contraire des pièces de Molière, respecte les 3 unités, les règles de bienséance et de vraisemblance· Argument du passage : Cette scène traite des aveux de Phèdre face à Thésée qui se rend compte que son fils est mort en innocent.· Dans ma scène, il y a 5 personnages en réalité mais seulement 3 prennent la parole. Il y a Phèdre qui lentement est en train de mourir car elle a bu du poison, Panope une femme de la suite de Phèdre et Thésée le roi d’Athènes, le père d’Hippolyte·

questions, la presse de répondre. Les impératifs la somment de parler : v.28 à 34 chaque prise de parole d’Oenone comprend un ordre comme « Délivrez mon esprit de ce doute » v.28, « parlez » v.29, « cessez de m’offenser » v.31, « oublions-les » v.34. Oenone est toute tournée vers sa maîtresse et la presse de révéler son secret. LES ARGUMENTS d’OENONE : Le chantage affectif : v.11 à 15 la menace du suicide « Mon âme chez les morts descendra la première » en insistant sur le fait qu’elle devancera

Dans la préface de sa tragédie, Racine dit de Phèdre qu'elle n'est « ni tout à fait coupable, ni tout à fait innocente. ». Cette phrase soulève une question claire qui se complique dès que l'on essaie d'y répondre. Comment juger de façon totalement objective l'innocence ou au contraire la culpabilité ? En effet, Phèdre est coupable par bien des aspects à commencer par l'amour incestueux qu'elle porte à son beau-fils Hippolyte. Dans la scène 7 de l'acte V, elle s'accuse elle-même de cette passion

partie, nous parlerons des personnages qui sont victimes et coupables à la fois puis nous finirons en montrant pourquoi ce texte a-t-il un dénouement tragique. Dans cette partie, nous avons trois sous parties. Premièrement nous allons parler de Phèdre qui rejette toujours la faute sur les autres, puis de tout à fait l'inverse, nous allons parler des moments où Phèdre s'accuse et pour finir de Thésée qui serait à la fois coupable et innocent de la mort de son fils. Dans le texte de Phèdre, l'emploi

de Phèdre qui va révéler à Thésée son époux toute la vérité ; son amour incestueux et le mensonge de Oenone. Dans cet extrait peut-on dire Phèdre innocente ou coupable ? Annonce du plan… Développement : I. Aveu de Phèdre : Malédiction et Châtiment a. Elle déclare Hyppolite innocent. Puis elle se définit comme une victime de la traitrise d’Oenone ; comme le montrent les vers « La détestable Oenone a conduit tout le reste », « S’est hâtée à vos yeux de l’accuser lui-même» en faisant cela elle Phèdre

ACTE I ACTE II ACTE III ACTE IV ACTE V III/ETUDE DES PERSONNAGE PHEDRE HIPPOLYTE ET ARICIE OENONE les exposants THESEE ABDOU SAMBA DIOP Conclusion

de l’acte V, la scèce finale de la pièce, Thésée est bouleversé par la mort de son fils mais le croit criminel parce que Phèdre et Oenone, la nourrice et confidante de Phèdre, l’on dit. Par la suite, Phèdre avoue le mensonge, professe la vérité que c’est elle qui a en fait « jeté un oeil » sur Hippolyte , et accuse Oenone d’avoir menti et abusé Phèdre. Cet aveu innocente Hippolyte et met en colère Thésée, qui ensuite adopte Aricie, l’amante d’Hippolyte. Phèdre meurt en s’enpoisonnant. En quoi donc