Oiseau moqueur

- Lecture analytique de L’ALBATROS de Baudelaire Introduction : Fondé sur le souvenir d’une scène de la vie en mer certainement observée par Baudelaire pendant son « tour du monde » de 1841, ce poème développe l’image symbolique d’un oiseau capturé. L’albatros est victime de la cruauté des marins comme le poète est victime de son inadaptation sociale. Il faut donc lire ce texte comme une parabole. Nous mettrons donc en valeur dans un premier temps la coexistence du monde humain et du monde céleste

| | | |Se met en apnée lorsqu’elle cherche sa| | |La poule d’eau |Oiseau |Près de l’eau et les pieds dans |Dans l’air |nourriture dans l’eau |Poumons | | |

La Séduction chez les animaux La séduction désigne d'une part une conduite ou un procédé social visant à susciter l'admiration, l'attirance ou l'amour d'un ou de plusieurs autres partenaire pour soi, et d'autre part l'état des personnes éprouvant cette attirance. L'entreprise de séduction se présente souvent comme une forme de jeu entre deux partenaires, où l'une d'elles s’efforce de susciter de l'attirance. L’objectif le plus simple de la séduction consiste à obtenir un avantage de la part

RONSARD , Odes , 1550 Mignone, allons voir si la rose Qui ce matin avait déclose (1) Sa robe de pourpre au soleil A point perdu cette vesprée (2) Les plis de sa robe pourprés Et son teint au votre pareil Las ! comme en peu d’espace , Mignonne, elle a dessus la place Las, las ses beauté laissé choir (3) ! Vraiment marâtre (4) Nature, Puisqu’une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! Donc , si vous me croyez, mignonne , Tandis que votre age fleuronne En sa plus verte

Lecture Analytique - L'albatros de Baudelaire I.De l'anecdote à l'allégorie 1.Récit d'une scène de la vie en mer Le poème raconte comment, pour rompre l'ennui, les marins capturent des albatros et s'amusent avec. Il semble qu'il s'agisse d'une action récurrente : «souvent» v.1 2.De l'anecdote au symbole - Le vers 13 donne le sens allégorique au poème. - Réseau de personnifications : l'albatros est doté d'attitudes physiques («maladroit» v.6 ; «laid» v.10 ; «indolents» v.3) et de traits moraux

pas une minute ; mais avec la mine d’un lord ou d’une lady, il se percha au-dessus de la porte de ma chambre ; il se percha sur un buste de Pallas juste au-dessus de la porte de ma chambre ; – il se percha, s’installa, et rien de plus. Alors, cet oiseau d’ébène, par la gravité de son maintien et la sévérité de sa physionomie, induisant ma triste imagination à sourire : « Bien que ta tête, – lui dis-je, – soit sans huppe et sans cimier, tu n’es certes pas un poltron, lugubre et ancien corbeau, voyageur

alex courtois L’arbre de souhaits Il avait une petite ville appelée « La Forêt » grâce à la grande quantité d’arbres qu’elle avait autour d’elle. Dans cette petite ville toutes les personnes étaient des paysannes, les paysans aimaient vivre à la campagne, tous les matins commençaient à 6 heures, les villageois prenaient les outils et ils partaient à travailler. Les femmes restaient à la maison pour faire le ménage et préparer le repas pour leurs maris. Les enfants restaient chez-eux pour aider

L’évolution des insectes : L’origine des insectes remonte aux aptérygotes, forme primitive d’insecte dépourvue d’ailes. Daté du Dévonien inferieur/moyen le début des insectes se fait avec les collemboles et les lépismes des insectes rampant qui fourmille sur le sol de la Terre il y à 400± Millions d’années. Tout au long de leur existence les insectes on connu une très grande prospérité, ainsi les chercheurs recensent un millions d’espèce d’insectes alors que le nombre final est estimé à un minimum

poétique : circularité du vers. 2 personnages symboliques : -figure de l’émigrant v.129 + 144 - femmes, vision désabusée v. 138 v.150 = image du retour sur Terre ! ( Parcours chaotique ! voir poème « Cortège » = il s’identifie à un oiseau ( va et vient, oiseau / poète + Références autobiographiques : v.26/27/30. v.150 (adresse à Auteuil)/ v. 127 (l’édredon rouge) CONCLUSION : - poème significatif - tension, revendication esthétique + artistique - hymne à la modernité - quête de soi-même

La mort du chat de madame Sophie Il était une fois un petit chat tout mignon qui s’appelait Bouboule. Sa maîtresse, Sophie, l’aimais énormément. Elle vivait seule avec Bouboule à la maison. Rien de plus normale que d’écouter la télévision avec son compagnon un dimanche soir. Sophie alla se coucher et Bouboule fit pareil. Le lendemain matin, Sophie donna un baiser sur le front à Bouboule et partie travailler en laissant son petit chat à la maison. Un peu plus tard, Bouboule avait envie de sortir