Omoplate

de la déesse sortant de l’eau ici probablement de la prostituée sortant de sa baignoire (dénivellation burlesque), mouvement de la tête à la croupe. 1er quatrain : focalisation sur la tête et les cheveux de la femme. 2ème quatrain : le col, les omoplates, le dos, les reins. 1er tercet : l’échine et les petits détails (ironie). 2ème tercet : la croupe. - problématique : Dans quelle mesure peut on dire que ce poème éminemment parodique, en raillant un motif pictural et littéraire, exhibe un lyrisme

je vous hais ! Plaquez de fouffes douloureuses Vos tétons laids ! Piétinez mes vieilles terrines De sentiments; Hop donc ! Soyez-moi ballerines Pour un moment ! Vos omoplates se déboîtent, Ô mes amours ! Une étoile à vos reins qui boitent, Tournez vos tours ! Et c'est pourtant pour ces éclanches Que j'ai rimé ! Je voudrais vous casser les hanches

lit, ma main gauche à plat sous son omoplate et la droite autour de ses pieds. Tout en la rassurant, Mme C pivote elle même et sans aide, doucement sur son bassin. Elle est maintenant assise au bord du lit. Je descends le lit , je m'accroupis pour lui mettre ses chaussons. Je la préviens que nous allons nous diriger vers la salle de bains. J'approche le déambulateur, et après avoir compté jusqu'à 3, Madame C se lève, pendant que mon bras gauche sous son omoplate la sécurise, ainsi que mon pied posé

en «s» (v.4) traduit l'amollissement de la chair. Elle est également grosse - métaphore « la graisse sous la peau paraît en feuilles plates » désigne la cellulite - description de la corpulence : « le col gras » « larges omoplates » « la large croupe » - allitération en « gr » (v.8) souligne le caractère dépréciatif. Elle semble stupide - « lente et bête » - voire animale : « l’échine » « croupe » Enfin elle est sale : - « le

son grand amour, qui l'attend sur le pont à l'autre bout de la ville. Elle voulait répondre à sa lettre, qui lui disait qu'il l'aimait, puis elle resterait avec lui pour toujours. Mais lorsque Marie marche dans la rue, elle reçoit une balle entre les omoplates, essaie de résister à la douleur, puis s'effondre. Mais elle a encore la force d'écrire au dos de la lettre un message, qui dirait à Steph qu'elle l'aimait vraiment et qu'elle allait venir au rendez-vous :  « Je venais, je t'aime ».  Il suffisait

intermédiaire le jarre ou poils définitifs. Ce sont de longs poils qui protègent la bourre. Chez le jeune lapin, il y a plus de bourre que de jarre. Chez l'adulte, le jarre prend plus de place. La zone située au niveau de la nuque, entre les 2 omoplates est moins dense en poils que sur le reste du corps. C'est tout à fait normal. Il ne faut pas s'en inquiéter. La mue Le lapin mue 2 fois par an: au printemps et à l'automne. Elle dure de 2 à 4 semaines. Le lapin mue du nez vers la queue. Certains

quatre équipiers (dont le chef). Le chef cumule en fait la fonction de l'équipier n°1 : il enjambe la victime en s'appuyant sur un équipier et en regardant les pieds ; il met une main sous la nuque de la victime, l'autre main sous le dos, entre les omoplates. Il se lève avec les autres équipiers, et le brancard passe entre ses jambes. Le reste de la manœuvre est identique. Lorsque la victime présente un traumatisme particulier, mais sans suspicion de traumatisme rachidien, on peut effectuer un pont simple

potence pour se redresser et s'asseoir au bord du lit. Elle aide Mme L en plaçant ses deux mains derrière ses genoux. Mme L a des difficultés pour se redresser et l'aide soignante place donc sa main gauche sur le haut de son dos, entre les omoplates, pour accompagner le mouvement de verticalisation. L'aide soignante déplace ensuite les jambes de Mme L pour les remettre dans l'axe de son corps, pour que ses pieds touchent le sol, et place le déambulateur devant elle. Elle va chercher le

corps. Rabelais évoque alors les corps désarticulés et dépecés lors des scènes de bataille. D'ailleurs Frère Jean «disloquait les reins, effondrait les nez, pochait les yeux, fendait les mâchoires, enfonçait les dents dans la gueule, défonçait les omoplates» (p227) Rabelais réduit donc le corps à son anatomie. Le corps n'est plus qu'un ensemble de parties. La maladie du corps est un thème également présent dans Gargantua. La vérole est évoquée dans le prologue lorsque Rabelais nomme ses lecteurs de

qui étaient très tendus. J’appuie un peu mais juste assez pour lui enlever les tensions. Les yeux de Mme J se ferment et un petit gémissement est sorti. Je lui demande si cela lui fait du bien, elle acquiesce. Je continue en descendant le long des omoplates le long des muscles dorsaux. Mme J me dit que ça lui fait beaucoup de bien. Je continuais à parler avec elle, on parlait de ses enfants et de sa petite fille qui venait de naître, elle était ravie car cela arrivait à un moment éprouvant de sa vie