On N Instruit Pas En S Amusant

exposer ses arguments. Paysanne, Charlotte est ainsi une femme faible, naïve, peu instruite et facilement malléable. III. Le comique au service du moraliste Le comique de situation de cette scène ce manifeste par la différence entre les deux personnages : Dom Juan, aristocrate libertin et cultivé et Charlotte, jeune paysanne naïve. Ce contraste de comportements et de tempéraments rend la scène amusante. De plus, il y a trois personnages mais seulement deux s’expriment, voire un puisque

liberté comme fondement de la vie des Thélémites entame notre extrait (ligne 1). Cependant, cette liberté a pour finalité la vertu, c’est-à-dire la volonté de faire le bien (lignes 6 et 7). Cependant faire le bien en étant libre nécessite d’être instruit et de disposer de connaissance (ligne 5). Ligne 1 : cette première ligne est structurée autour d’une opposition : la conjonction de coordination « mais » souligner la symétrie. Ici la liberté, qui vient de la volonté, d’un mouvement intérieur

domine la situation par les mots [« Lorenzo monte l’escalier de la terrasse »]. De plus, on peut également remarquer qu’il tient des propos faussement poli [« Bonjour messieurs les amis de mon cousin »]. ➢ Ensuite, Lorenzo qui est un homme instruit et cultivé, observe et prépare ses répliques ; rien n’étant laissé au hasard à la différence de la notion de spontanéité présente chez le Duc [« Une insulte de prêtre doit se faire en latin »]. La réflexion menée par Lorenzo peut donc laisser entendre

l’argumentation directe et de l’argumentation indirecte, en s’adaptant au public visé. À un enfant conviendra le genre court et imagé de la fable ; au lecteur amateur de péripéties conviendra le roman ; à celui qui aime la fantaisie, les dialogues amusants comme L’Histoire comique des États et Empires du Soleil Cyrano de Bergerac ; aux penseurs les traités et les essais. Donc si l’on peut concéder à La Bruyère qu’écrire a fréquemment pour but d’instruire, on lui objectera que la littérature ne saurait

brutalement le lecteur au principe de réalité et gomme l’illusion du merveilleux. B- La grande force de l’apologue: l’appel à la réflexion • Voltaire en reprenant la forme traditionnelle du conte la modifie pour en faire un conte philosophique amusant et sérieux à la fois. De fait, tout en lisant cette petite histoire distrayante, le lecteur réfléchit, pense. «C’est à ce prix que vous mangez du sucre en Europe» => Voltaire mêle l’humour [tellement la situation du «Nègre» est terrible: symétriquement

facile à comprendre et permet d’interpréter plus facilement un travers de la société. L’auteur Jean de la Fontaine a écrit pour le roi Louis XIV près de 243 fables. Les fables sont de courts récits écrits en vers pour donner une leçon de vie. La fable instruit et divertit en même temps. Comme dans la plupart des fables, l'aspect pittoresque est toujours très présent. La Fontaine cherche à divertir le lecteur pour qu'il intègre mieux l'enseignement de la fable. Dans La grenouille qui veut se

d’empire», c’est un homme juste qui assume ses actes et refuse l’évasion. Avant sa mort il est «humble avec le prêtre, doux avec le bourreau», «écoute le prêtre avec une attention extrême, en s’accusant beaucoup et en regrettant de n’avoir pas été instruit dans la religion». Gueux est généreux ; avant son exécution, il demande que ses ciseaux ainsi que la ration de pain qu’il aurait dû manger ce jour-là soient portés à son ami Albin. Il offre également sa pièce de 5 francs au prêtre, et ce, «pour

apparait aussi dans « Une si longue lettre » à travers l’éducation qu’elle a reçue de sa grande mère, mais par l’intermédiaire de Farmata (la griotte) détentrice de la tradition DABA Celle-là est une excellente modèle pour les jeunes filles instruites .Daba ne confondait pas liberté et libertinage et ne profitait pas de ses heures creuses pour s’adonner aux vagabondages. Elle assistait quotidiennement sa mère l’aider dans ses travaux domestique et recevait en retour ses conseils. B- L’éducation

comique = - l’ironie : présente partout dans le texte. Les procédés sont : les exagérations (hyperboles), les antiphrases et les euphémismes : la description des personnages. le burlesque : traiter un sujet grave comme l’autodafé de manière amusante. la satire l’absurde l’humour Le pathétique = - la guerre - la rencontre avec l’esclave - Le réalisme = - événements réels (guerre de 7 ans, l’histoire de l’amiral Bing, le tremblement de terre à Lisbonne..) Le polémique = - dans

II/ D’après l’opinion de Jean-Jacques Rousseau dans Émile ou l’éducation D’après l’opinion de Rousseau « Comment peut-on s’aveugler assez pour appeler les fables pour appeler les fables la morale des enfants, sans songer que l’apologue, en les amusant, les abuse ; que, séduits par le mensonge, ils laissent échapper la vérité, et que ce qu’on fait pour leur rendre l’instruction agréable les empêche d’en profiter ? Les fables peuvent instruire les hommes « Ici nous pouvont constater que Jean-Jacques