On Ne Se Baigne Pas Deux Fois Dans Le Même Fleuve

Les Fleurs du mal, Baudelaire, 1857 (2ème section : Tableaux parisiens) LXXXIX - Le Cygne A Victor Hugo ←poème dédié à l’exilé volontaire I 1 2 3 4 Andromaque1, je pense à vous ! Ce petit fleuve, Pauvre et triste miroir où jadis resplendit L'immense majesté de vos douleurs de veuve, Ce Simoïs2 menteur qui par vos pleurs grandit, 5 6 7 8 A fécondé soudain ma mémoire fertile, Comme je traversais le nouveau Carrousel. Le vieux Paris n'est plus (la forme d'une ville ←les grands travaux d’Haussmann

LES GRANDES CITATIONS PHILOSOPHIQUES Héraclite Le soleil est chaque jour nouveau car quand il se couche, c’est qu’il est éteint. On ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve. Les hommes ne songent qu’à entasser des connaissances particulières, ils s’imaginent que la pensée commune à suivre est celle de la foule et ils se mettent à son école, pareils à des ânes. Tout fuit, rien ne demeure. Si la félicité résidait dans les plaisirs du corps, nous dirions

d’un créateur divin. D'autres, grâce au procédé de la personnification, voient en elle une vie et des sentiments, qui varient selon l'état d'âme de son spectateur. Un même paysage pourra donc exprimer plusieurs sentiments ou pensées. Néanmoins, pour la plupart des romantiques, le spectacle de la nature reconduit avant tout à l’Homme lui-même : Ce soleil pâlissant (Lamartine) devient dès lors une image du déclin de notre vie, alors que le vent qui gémit, le roseau qui soupire, symbolise la propre émotion

scientifique. Kant dit que les conditions de possibilités de la connaissance détermine les raisons des limites de la connaissance, les conditions étant l’expérimentation. L’expérience permet de trancher les avis et de réunir les hommes autour d’un même avis, elle permet donc l’unanimité. L’expérience semble irremplaçable dans la connaissance humaine. Toute connaissance commence donc avec l’expérience. Celle-ci est donc très importante et permet d’éclairer les hommes, de leur donner la lumière nécessaire

les relations qu’ils entretiennent avec les mortels et que ces derniers entretiennent avec eux. Remarques préliminaires : - les dieux sont surtout présents dans les chants V à IX, quand la parole est au narrateur, avant qu’Ulysse ne raconte lui-même ses aventures. Le narrateur est omniscient et peut savoir ce qui se passe chez les dieux, tandis qu’Ulysse ne peut le savoir. Il ne peut faire que des hypothèses et des suppositions. - le nombre de dieux qui interviennent réellement dans le retour

sans que nous sachions pourquoi, quand nous y tenons sans trop deviner par quels liens, quand nous le sentons significatif et présent, car il faut toujours en revenir au même mot, c’est qu’il est devenu symbole. »[1] Cependant le pouvoir de l’élément aquatique est beaucoup plus vaste. Car l’eau sous tant de formes - l’océan, le fleuve, la source, la fontaine, la pièce d’eau - qui condense des émotions diverses, qui impose un charme, un style particulier, est pour nous plus qu’un élément : une présence

IDENTITÉ IDENTITÉ Gottlob Frege (1894) a observé que l’identité est indéfinissable: «Puisque toute définition est une identité, l’identité elle-même ne saurait être définie.» Le même (to auto , idem ) appartient à la liste des «transcendantaux» médiévaux, c’est-à-dire que, dans un autre langage, l’identité est une notion d’ontologie formelle, comme ens ou unum . Elle est transversale à tous les modes du discours; sa généralité et son abstraction sont encore plus élevées que celles des oppositions

de décor et de lieu où jouent les acteurs, le théâtre moderne confère à l’espace de nouvelles dimensions qui en fait un objet signifiant. Ainsi, dans ce théâtre où le langage verbal montre ses limites, ce sont les gestes, le silence et l’espace même qui deviennent désormais des voix expressives et signifiantes. En procédant ainsi, Beckett inscrit son œuvre dans ce qu’Adorno appelle « l’esthétique négative ». Cette négativité est l’expression, dans En attentant Godot, d’une critique de la réalité

  journée   . En effet, ne demande­ t­-on pas habituellement, de manière un    » peu plus ambitieuse,  ce qu'est une vie réussie?  Pourquoi dans ce cas le choix d'une intervalle de  temps resserrée? Peut­ être n'est­ce pas tant l'intervalle en elle ­même, que  son possible renouveau  qui importe. En effet, si je réalise, au soir de mon existence, que celle­ ci est pour ainsi dire ratée, il  sera trop tard pour corriger quoique ce soit. Au contraire, la fin d'une journée est toujours le début  d'une autre

202 Mille Femmes Blanches de Jim Fergus Biographie de Jim Fergus :Jim Fergus est né le 23 mars 1950 à Chicago d'une mère française et d'un père américain. Jim Fergus découvre la culture Cheyenne à l 'âge de 16ans et perd ses parents à ce même âge. Suite à cela, il part vivre dans le Colorado. Il s'installe ensuite en Floride jusqu'à l'âge de trente ans où il deviendra professeur de tennis. Il revient ensuite dans le Colorado et se consacre à l'écriture. Il se passionne aussi pour la chasse