On Ne Va Jamais Aussi Loin Que Lorsqu On Ne Sait Pas Où L On Va

A aurore La nature est tout ce qu'on voit, Tout ce qu'on veut, tout ce qu'on aime. Tout ce qu'on sait, tout ce qu'on croit, Tout ce que l'on sent en soi-même. Elle est belle pour qui la voit, Elle est bonne à celui qui l'aime, Elle est juste quand on y croit Et qu'on la respecte en soi-même. Regarde le ciel, il te voit, Embrasse la terre, elle t'aime. La vérité c'est ce qu'on croit En la nature c'est toi-même. George Sand Pour faire le portrait d'un oiseau Peindre d'abord

" Tu m'as fait découvrir l'amour, à jamais dans mes yeux tu resteras gravé. Même si on s'est joué des mauvais tours, jamais j'oublierais comme tu m'as aimé... " "Je ne sais plus quoi te dire, quoi t'écrire. J'ai l'impression que quoi je fasse, tu m'échappes. Alors je laisse le temps tout emporter. Nos baisers, nos paroles, nos rires, nos caresses, nos disputes, nos retrouvailles, tout ça deviendront que des souvenirs... Mes plus beaux souvenirs. Car malgré le mal qu'on s'est fait tu m'as apporté

simplicité, que nous trouverions cela trop facile et indigne d'un grand auteur. Mais il n'est pas besoin de solliciter les textes : la solitude atroce où se débattent tous les personnages, la haine qui crève soudain la trame du grignotement quotidien ("Moi aussi j'ai sept ans de haine qui ont leur mot à dire" : Ravier à Mlle Andriot), le côté si burlesque qui surgit comme le fou dans les pièces de Shakespeare - scène de la bergère, - cet arrière-plan, enfin, d'une ville de lucre et de stupre, d'un Paris présenté

Rapport de Brodeck (Ph. Claudel) Ch1 Brodeck se dit innocent-> fautif de savoir écrire ''le truc'' s'est passé dans l'auberge Schloss,lorsque Brodeck est allé chercher du beurre. Il a été ''embarqué'' car sachant écrire. Ch2 Il peut avoir du beurre, seulement s'il raconte ce qui s'est passé. comme c'est écrit dans le rapport, il doit s'expliquer au mieux, afin que ceux qui vont lire ledit rapport comprennent. Il fuit alors l'auberge avec le beurre et cours, il s'échappe. Ch3 Fédorine

qui nous soutiens, on a toutes une amie qui compte plus que les autres. Une amie avec qui les disputes ne durent pas plus de quelques heures, une amie avec qui on se tape des fous rire que personne ne peut comprendre, une ami qui ne nous laissera jamais tomber, une amie avec qui on fait les 400 coups, une amie avec qui on peut rester des heures au téléphone, une amie avec qui on peut rester des heures sans rien faire. Une amie avec qui on parle par les regards, qui connaît tout nos défauts mais qui

calculé. Je sais que tu aurais voulu que je te dise autre chose, mais je ne peux pas, je ne peux pas te donner de l'espoir là où y'en a pas. Apprends à vivre sans lui, et tu seras mieux, je te le promets. « Je sais que c’est dur d’être celui qui s’en va. Mais bon sang, ce n’est pas non plus facile d’être celui qui reste. » “Si tu es innocent de la tête que tu as, tu es responsable de la gueule que tu fais. “ Il y a des choses que l'on oublie, et d'autres que l'on ne peut pas oublier Nous ne faisons

sensation de solitude, d’abandon. La solitude peut prendre différentes formes selon les poètes mais fera toujours partie d’une période difficile de leur vie. Ainsi la solitude évoquée par Du Bellay est celle du manque d’affection, le poète est loin de chez lui, de son Anjou natal. Malgré que Rome soit une ville antique magnifique, il y a une certaine nostalgie de la part de l’auteur. Alfred de Musset quant à lui au XIXème siècle exprime sa solitude qui résulte de sa rupture avec sa maîtresse

baigne dans le suspens, avec de nombreux rebondissements qui nous donne envie de savoir si finalement il va se faire attraper par la police ou s’il va réussir à échapper de son sort. De ce fait, dans ce livre on a assisté à trois principaux rebondissements. Le premier lors de la première visite de l’inspecteur Burton au chapitre 29 où on croit qu’il va être arrêté. Le second se passe lorsque Burke est réveillé par Fallon au chapitre 43, et où on est complètement surpris car Burke avait tout prévu

vie et leurs bornes, leur maladie et leur santé ». Au vieillard et à lui seul il est donné de vivre un rapport équilibré au corps. « Il faut ordonner à l’âme non de se tirer à quartier, de s’entretenir à part, de mépriser et d’abandonner le corps (aussi ne le saurait-elle faire que par quelque singerie contrefaite), mais de se rallier à lui, de l’embrasser, le chérir, le contrôler, le conseiller et ramener quand il se fourvoie, l’épouser en somme et lui servir de mari ». Et de conclure l'auteur de

Au-dessus de la devanture est écrit en caractères très visibles le mot : « EPICERIE ». Au premier étage, deux fenêtres qui doivent être celles du logement des épiciers. L’épicerie se trouve donc dans le fond du plateau, mais assez sur la gauche, pas loin des coulisses. On aperçoit, au-dessus de la maison de l’épicerie, le clocher d’une église, dans le lointain. Entre l’épicerie et le côté droit, la perspective d’une petite rue. Sur la droite, légèrement en biais, la devanture d’un café. Au-dessus du