Onciale

(Deo au cas régime et Deus au cas sujet)[9],[10], puis Deu et Dieu (XIe et XIIe siècles)[11]. Les termes qui désignent Dieu dans les langues germaniques (Gott en allemand, God en anglais et en néerlandais, Gud dans les langues scandinaves, Grec oncial g.pngGothic u.svgGothic th.svg Guþ en gotique, Guð en islandais) ont une autre origine, elle aussi indo-européenne [12]. La racine proto-germanique *ǥuđan est liée à la notion d'appel ou d'invocation [13]. Sa plus ancienne mention écrite se trouve

dextroverse | | | Civilisation : Romaine Lieu : Italie et empire romain Système d’écriture: alphabet Sens d'écriture : dextroverse Civilisation : Médiévale Lieu : Toute l'Europe Système d'écriture : alphabet latin (en lettres capitales, onciales ou cursives) de 26 lettres Sens d'écriture : dextroverse Invention de l'imprimerie en Europe par Gutenberg Date : + 1440 Champollion déchiffre l'écriture hiéroglyphique (à l'aide de la Pierre de dite de "Rosette")  B-Les différents

à tort au savant B. L. Ullman10, voudrait qu'il s'agisse d'une ligature créée par les moines copistes au début du Moyen Âge pour représenter le mot latin ad7 (« près de », « à »), la boucle étant issue d'une déformation de la lettre d en écriture onciale. Une théorie apparentée à la précédente affirme l'existence d'une forme particulière du mot ad dans les lettres diplomatiques de l'époque moderne, mais elle n'est pas mieux attestée. Informatique[modifier | modifier le code] Le signe @ est utilisé

ALPHABET proto-sinaïque ! ! ! ‚ Les Phéniciens ! inscription phénicienne, 11e s. av. J.-C. ! grec ! boustrophédon ! étrusque ! latin ! lettres capitales rustiques, IVe siècle ! onciale, France,VIIème siècle ! Angleterre VIIIe s. Espagne (Wisigoths) IXe s. ! écriture bénéventine (Italie), vers 1100 ! carolingien tardif (vers 1050) pré-gothique (vers 1150) gothique (vers 1320) ! Rome, 1460 Venise

Fraktur, cette famille regroupe les caractères dit brisés ou vulgairement gothiques, en référence aux écritures médiévales manuscrites. Ces polices se caractérisent par des formes pointues et anguleuses. Old EnglishExemple : Old English 11. Les Onciales, qui reposent sur le dessin des écritures manuscrites du Ve siècle, sont une sous-catégorie des Fractures. Elles possèdent un jeu de caractères unique mêlant majuscules et minuscules. LibraExemple : Libra 12. Les Non-Latines Cette famille regroupe

milieu du siècle. Les graphies anciennes, utilisées jusqu’à la fin du VIIIe siècle environ, présentaient en effet des inconvénients majeurs. L’écriture mérovingienne, en lettres majuscules, était trop longue à copier ; et les écritures onciale et semi-onciale latines étaient difficiles à déchiffrer à cause de leurs ligatures compliquées et de leurs spécificités régionales, qui les rendaient incompréhensibles aux étrangers. La minuscule caroline, qui naît à la fin du VIIIe siècle au cœur du royaume

Lindisfarne, Livre de Durrow. Leur facture est caractéristique : les dessins géométriques, les spirales et les entrelacs sont utilisés pour les bordures et les lettres ornées, souvent de très grande taille. L'écriture utilisée pour le texte est dite semi-onciale.  Sur le continent se développe une autre forme d'enluminure. L'enluminure mérovingienne se caractérise par des lettrines en forme d'animaux, très souvent poissons et oiseaux, aux couleurs très vives. C'est dans les monastères de Luxeuil, en France

800 apr. J.-C. pour écrire le vieux slave. L’alphabet étrusque (VIIIe siècle av. J.-C.) a été emprunté à l’un des alphabets grecs occidentaux et a donné, à son tour, naissance à des alphabets italiques, dont le latin. La langue latine. L’écriture onciale (majuscule avec emprunts aux cursives romaines) se répand en Europe vers 200 apr. J.-C. Il faut attendre 800 pour que la « caroline », aux lettres minuscules, rondes et régulières, devienne un modèle pour l’avenir. Deux siècles plus tard, au tournant

avec les grandes capitales, pour marquer une hiérarchie. Petites capitales A une époque post-classique, et bien au-delà, on a parfois écrit les chiffres romains en minuscules, en harmonie avec les autres types de caractères employés pour le texte (onciale, minuscule caroline, écriture humanistique) : i v x l c d m. Le dernier i d’un nombre (ou d’une partie d’un nombre) a été parfois remplacé par j : (Pline 1497 : V, v et vii, Weltchronik, Blat 256) A partir du XVIe siècle, on utilise de plus en

tout nombre arbitrairement grand et inconnu (on notera l’expression française encore utilisée aujourd’hui « des cents et des milles » rappelant cet usage). Ce symbole serait simplement l’évolution de la ligature minuscule CIↃ en écriture manuscrite onciale. Ainsi le nombre 5 000 peut aussi être représenté par DↃ (500 × 10) au lieu de IↃↃ ci-dessus. Mais comme tous les « C renversés » sont aussi liés au I initial, en fait on peut ignorer la présence de ce I et transformer tous les « C renversés » simplement