Onction des malades

fondée sur la Bible et un ensemble de dogmes. Au clergé, revient la charge d’administrer les sept sacrements : baptême, communion (dimanches et jours de fête), confirmation, mariage, pénitence (suite à la confession), sacrement de l'ordre et extrême-onction. Les chrétiens pensent qu’il est possible d’accéder à la vie éternelle après la mort et le Jugement dernier, c'est-à-dire à la fin des temps, lorsque Dieu reviendra sur Terre pour juger les vivants et les morts. Il existe deux mondes dans l’au-delà

confirmation, mariage et dernière onction. Les ethnologues et anthropologues leur ont donné le nom de rites de passage. Ce qui indique que ce genre de rites existe ailleurs dans les sociétés d’Ancien Régime, comme les sociétés de jeunesse (qui contrôlent les mariages). Rituels punitifs : les charivaris. Ces rituels sont souvent en concurrence avec ceux de l’Eglise, et combattus par elle. L’Eglise a aussi sacralisé ses moments de passage : baptême, confirmation, mariage, extrême onction + 2 sacrements itératifs

de se faire sacrer) à 13ans afin que ce dernier puisse se rendre compte des engagements qu’il prends vis-à-vis de son peuple. L’origine du sacre est biblique : en effet, la bible relate des cérémonies de sacre. Les rois juifs recevaient une onction d’huile qui faisaient d’eux l’élu de dieu et ils commanderont le peuple en son nom. Ce sont des rois et des prêtres à la fois. De plus, on remarque que les rois wisigoths sont sacrés au VIIe siècle ce qui pourrait amener à penser que ce sont eux qui

confondu avec les diverses pratiques de pénitence, l'Ordination qui est un Rite sacramentel par lequel un chrétien, reçoit des mains d'un évêque le sacrement de l'ordre, dans les Églises réformées, synonyme de consécration., l'Extrème-onction qui est le Sacrement des malades en train de mourir et qui est donné par le prêtre. En dehors des sacrements, la recherche du salut de l'âme amène les croyants à prier les reliques (les restes) des saints qui sont considérés comme des intermédiaires avec Dieu. Les pèlerinages se

régulier et séculier (clercs) et obtiennent l’obéissance des laïcs. Montrer l’importance du clergé (5 à 10 % de la population). Etudier l’Eglise comme seconde ou qui remplace l’autorité publique défaillante (limite la violence, s’occupe des malades, donne asile, enseigne). Expliquer que la puissance de l’Eglise repose sur la richesse qu’elle accumule (par l’impôt et les donations). Fresque ou tableau d’un concile ou d’une réunion Schéma de l’organisation de l’Eglise Texte d’un serment

en l’efficacité de la médecine ? Il est bien difficile de le savoir, avec la plaisanterie qu’il raconte sur le vin émétique, très efficace, puisqu’il « fit mourir tout d’un coup » un malade à l’agonie. Cette plaisanterie joue sur la logique de l’absurde : le remède est efficace, puisque le patient n’est plus malade : en effet, il est mort. Plaisanterie fort traditionnelle, que l’on a dû entendre chez les apprentis médecins, depuis que la médecine existe ! N’en déduisons pas trop vite que Sganarelle

extase, délire". "Dés cette première faute et cette première chute, Madame Bovary glorifie l'adultère" lançait alors Ernest Pinard. Le second passage critiqué concerne la transition religieuse entre les deux adultères. Madame Bovary étant tombée malade à ce moment là. " Un jour qu'au plus fort de sa maladie elle s'était crue agonisante, elle avait demandé la communion ; et à mesure que l'on faisait dans sa chambre les préparatifs pour le sacrement, que l'on disposait en autel la commode encombrée

mariage (document 2), extrême onction – rythment et organisent la vie du fidèle qui est également encouragé à effectuer des pèlerinages, proches ou lointains. L’Eglise établit également des règles sociales comme la Paix de Dieu – qui interdit d’attaquer une personne sans défense - ou la Trêve de Dieu qui proscrit les combats en fin de semaine et les jours de fêtes religieuses pour contrôler la violence féodale. Enfin l’Eglise aide les plus démunis, pauvres, malades – dans les Hôtels Dieu - ou orphelins

partout A. pouvoir et influence de l’Eglise dans la société 1. l’encadrement des fidèles. Dès la naissance, chaque homme est encadré par l’Eglise. Chaque étape de la vie est marquée par une cérémonie religieuse : baptême, mariage, extrême onction. Pour les rois, les sacres ; les chevaliers : l’adoubement ; ? Dans la vie quotidienne, la vie s’organise autour du calendrier liturgique: Pâques, Saint Michel,… Mais aussi au cours de la journée, par la cloche de l’Eglise. Dans leur vie, les

Cet extrait est une scène d’exposition de la pièce de théâtre « le malade imaginaire » écrite en 1873. Son parcours associé est : spectacle et comédie. LECTURE EXPRESSIVE DU TEXTE ENJEU : En quoi cette scène d’exposition est-elle comique ? MOUVEMENTS : cet extrait peut être découpé en 3 mouvements mouvement 1