Onomatopée

voyageurs ou des colons, mais il se fonde surtout sur l'insuffisance du concept de barbarie. On sait que le mot désigne au départ ceux qui ignorent la langue grecque, étymologie qui fait appa¬raître l'illusion qui s'y trouve : « barbare » est une onomatopée, qui manifeste en réalité que nous prenons pour des ris les langues que nous ne comprenons pas. Ainsi « chacun appelle barbarie ce qui n'est pas de son usage ». Ceci définit l'ethnocentrisme, illusion qui consiste à croire que les habitudes culturelles

que le groupe du nom) un nomPronom Ex : Elle lui donne du pain. / La boulangère donne du pain aux oiseaux. Elles traduisent des bruits, expriment des émotions. Onomatopées (et interjections) Ex : Boum ! Elle tomba. « Oh ! » S’écria-t-il. Limites de cet outil qui reste un point de départ avant toute manipulation

choux » ; le lecteur est saisi par une odeur, à la fois brute mais parfumée, qui ouvre l’appétit. Enfin, le poète questionne son lecteur sur ce qu’il entend ; le lecteur se met à écouter le « tic tac » de l’horloge (v.13), il tend l’oreille à cette onomatopée disposée judicieusement ici par l’auteur. Il est évident que le poète cherche à impliquer le lecteur dans son poème, il l’invite et lui fait imaginer très concrètement la situation en réveillant ses sens, son olfaction, son ouïe… On entend la marmite

Est-ce un des métaux dont il faut que je me débarrasse… ?Cet orgueil dont on affuble les profanes français ! Orgueil que l’on attribue au coq à cause de sa démarche, le buste en avant, le faisant passer pour fier ! « Cocorico ! » : onomatopée imitant l’appel du coq domestique, crient donc certains Français pour manifester leur chauvinisme . Sans doute parce que le coq gaulois , brodé sur le cœur des maillots des équipes nationales, est

impossible à révéler lui devient nécessaire : nécessité intérieure. Le langage de l’absurde : Ionesco pose la nécessité du langage pour communiquer. La cantatrice chauve est une « tragédie du langage ». Le langage finit sur des syllabes, des sons, des onomatopées, il y a perte de la capacité à communiquer. Il met en scène la mort du langage (= du héros à la fin). C/ Le personnage tragique. Double face : pb de la catharsis. III/ Ambivalence du héros tragique. A/ Une nécessité équivoque. Les figures

sautes d’humeur, de violence. Abondance de phrases nominales (pour une fille !) Phrases elliptiques du verbe (renvoyé, disgracié, chassé) Phrases construites en asyndètes (absence de connecteur logique) Présences des exclamatives et des onomatopées. Les rythmes ternaires (renvoyé, disgracié, chassé) = rimes intérieures. « Charge, emploi, honneur »,  « obscure, profonde souterraine » Rebondissements (« on m’exile » « 20ans », « demain », « je me vengerai »en fin et début de vers)

mots rapprochés ou opposés.......Il se livre à de piquantes symétries... à des rapprochements de mots. Entre Gnathon et glouton, par exemple (figure de la paronomase). Glouton est issu du latin gluttus (le gosier), sans doute formé à partir d'une onomatopée (glut, à rapprocher de glouglou ou engloutir). Glouton a le sens de goinfre bien sûr, mais aussi, dès le XII° siècle, de traître, de canaille. Son désir est de faire voir, mêlant le pittoresque à la brièveté du récit. Le métaphorisme est souvent

de mettre en avant (ligne 14 : « Je suis votre maître, moi »). Ces indices textuels dénoteraient-il un manque de confiance du grand médecin ? Quoi qu’il en soit, le caractère égocentrique de cet homme est cocasse. L’utilisation par Bartholo des onomatopées « Et t’chi et t’cha » à la ligne 25 produit un effet comique puisqu’elles relèvent du plus du langage familier que du langage soutenu que se doit d’employer une personnalité au rang social élevé. De plus, le ton employé par le comédien pour contrefaire

ajoute ces éléments navrant de nos réalités : argent, mort... souffrance. Le style C'est cru, moderne, naturel et pourtant réellement touchant. Les mots vont droit au but, et Anna Gavalda ne cache aucun d'eux, usant péremptoirement de quelques onomatopées presque vulgaires mais qui assènent une vérité bien sentie. Les phrases coulent, mêlant sentiments et réflexions. Quelques mots, posés intelligemment, ponctuent l'ensemble. Le rythme est soutenu dans les dialogues, parfois très incisifs, à

certain nombre de mots, en particulier : — dans les mots composés de contr(e)- et entr(e)- ; — dans les mots composés de extra-, infra-, intra-, ultra- ; — dans les mots composés avec des éléments « savants » (hydro-, socio-, etc.) ; — dans les onomatopées et dans les mots d’origine étrangère. Ancienne orthographe contre-appel, entre-temps extra-terrestre tic-tac, week-end porte-monnaie Nouvelle orthographe contrappel, entretemps extraterrestre tictac, weekend portemonnaie 3 La soudure est