Opposition De La Tragédie à La Comédie

théâtre en jouant avec des marionnettes. Ses parents l'ayant envoyé faire ses études à Rimini, il quitte le collège pour accompagner une troupe de comédiens ambulants, puis revient à Venise. En 1723, son père l’inscrit à l’austère Collegio Ghislieri de Pavie, qui impose la tonsure et l’habit monastique aux étudiants. Carlo Goldoni poursuit des études de droit et, découvrant les comédies grecques et latines, commence à écrire. Lors de sa troisième année, il compose un poème satirique, Il colosso, dans

La Comédie Il est impossible de donner une définition univoque et précise du genre, protéiforme (Protée : dieu marin qui avait reçu de Poséidon, son père, le don de changer de forme à volonté, ainsi que celui de prédire l’avenir à ceux qui pouvaient l’y contraindre). Tantôt le genre est compris par opposition à la tragédie, pour désigner une pièce dont les personnages appartiennent à une humanité plus moyenne et dont les péripéties trouvent une conclusion plus heureuse, tantôt pour le distinguer

Lexique du théâtre                     Dramatique : Qui se rapporte à l'action (Drama=l'action, en grec); on parle dans ce sens d'intérêt dramatique d'une scène ou d'un passage. Mais ce mot désigne aussi tout ce qui concerne le théâtre. Ainsi, l'expression «genre dramatique» désigne tous les types d'œuvres théâtrales. Tragédie : Action scénique dont les péripéties sont mues par la fatalité et dont le dénouement est généralement funeste. Exposition

La comédie Grand genre théâtral du 17ème siècle, la comédie classique se définit par opposition à la tragédie. I. Définition : La comédie peut être soit en vers soit en prose, et longue de trois ou cinq actes. Elle traite des réalités de la vie quotidienne : mariage, argent, éducation… Elle s’intéresse à des héros de condition moyenne (la bourgeoisie surtout), et met en scène les milieux sociaux les plus divers (petite noblesse, domestiques, paysans). Son dénouement est heureux. Les personnages

Dissertation : Molière affirme que « les comédies ne sont faites que pour être jouées ». Partagez-vous ce point de vue ? Rappelons tout d’abord que lorsque Molière affirme au XVIIème siècle « les comédies ne sont faites que pour être jouées », il faut prendre le mot « comédie » au sens général , c’est-à-dire à l’ensemble des pièces (comédies, tragédies, drames…). AU XVIIème siècle, le mouvement dominant est le classicisme, sous le règne de louis XIV. Le but du classicisme, qui se retrouve dans

souvent, les conflits sont au cœur de l’action dramatique. Or, jusqu’où le dramaturge peut-il aller dans son inventivité pour donner à voir ces conflits aux spectateurs ? Il existe en effet diverses manières de les faire apparaitre mais également de les mettre en scène dans une représentation théâtrale. Nous nous attacherons dès lors, dans une première partie, à analyser les diverses formes que peut prendre le conflit au théâtre, pour en venir, ensuite, aux multiples mises en valeur de l’affrontement

Le Tartuffe occupe à différents égards dans l'œuvre de Molière une place exceptionnelle. On a souvent répété à raison que la hauteur universelle de sa visée, la peinture d'un vice éternel, l'hypocrisie, mettait cette pièce à l'abri du vieillissement; il n'est pas de spectateur qui ne soit sensible aux questions fondamentales que tout homme se pose sur l'être et le paraître, Mais Le Tartuffe est en outre une œuvre engagée, qui s'enracine profondément dans l'histoire religieuse et politique de son

représentation Quelles sont les caractéristiques de la tragédie et comédie classique ? Tout d’abord, la tragédie classique est un genre noble qui s'inspire de l’Antiquité (thèmes mythologiques, noblesse des personnages, etc.). Ce qui la caractérise est sa conformité aux règles du théâtre classique, tel que la bienséance, la vraisemblance, ou encore les règles de Boileau. Passion, amour, héroïsme, devoir, vengeance, fatalité son des thèmes incontournables de la tragédie classique mais pourtant son dénouement est

Remarques relatives à l’exposé du mardi 5 octobre 2010 1. Songez à travailler votre prise de parole (cf. ce qui a été dit en cours) et à être pédagogique, à ne pas lire vos notes. 2. Sur le fond, en dépit d’un travail évidemment sérieux et organisé, de nombreuses erreurs, parfois de taille, subsistent. 3. Conseils de travail pour assimiler ces notions et ne pas vous retrouver dans une situation où vous vous contenteriez de réciter un cours : après la lecture du présent document, lisez

La notion de genre : 4. Poétique des genres : Aristote Cours de M. Antoine Compagnon Quatrième leçon : Poétique des genres : Aristote Chez Aristote, à la différence de Platon, le terme le plus large embrassant l'« art poétique », ou poiètikè, est celui de mimèsis (47 a 13), traduit traditionnellement par imitation, plus récemment par représentation, par R. Dupont-Roc et J. Lallot, ou par fiction, par Käte Hambuger, Gérard Genette et Jean-Marie Schaeffer. Dans le commentaire de la Poétique