Ordre corinthien

précédents, nomme chaque élément de l’architecture de la façade du Parthénon, ci-dessous en utilisant les mots à disposition: fronton – frise – corniche – chapiteau – colonne – degrés – architrave 1) À quel ordre architectural, le Parthénon appartient-il ? Ordre dorique 2) Quels sont les éléments qui le prouvent ? Colonne sans base, chapiteau simple, frise Activité n°4 : Indique sous chaque image « l'ordre » architectural auquel appartient le temple

inexistante - fût cannelé et évasé - chapiteau simple, peu travaillé, sans moulure 2. Colonne ionique - base moulurée - fût droit et cannelé (parfois un peu évasé) - chapiteau flanqué de zudules 3. Colonne corinthienne - base et fût idem - chapiteau orné de rangées de feuilles d’acanthes stylisées 2. Rome (100 av. JC – 300 ap. JC) Construction en arcs et voûtes. Utilisation du béton, du mortier et des tuiles. D’où réalisation des projets

l'expression de l'homme, tandis que celles de l'ordre ionique à celles de la femme. LES CINQ ORDRES ARCHITECTURAUX Ionique, dorique, corinthien, toscan et composite.Néanmoins, selon le traité de l'architecture décrit par Vitruve, il n'y aurait que 3 ordres. Au contraire, dans le traité de l'architecture écrit par Léon Batista Alberti, il définira le dernier ordre : le composite. Ce serait la contamination entre le ionique et le dorique. Sebastiano Salio illustra au 15ème siècle les 5 ordres, il

Chapiteau au profil évasé. L'ordre dorique dégage une impression de puissance, de sobriété et de robustesse. Le Parthénon fait partie des monuments les plus caractéristiques de cet ordre. L'ordre ionique colonne élancée avec cannelures nombreuses et profondes reposant sur une base, chapiteau à volute ornée L'ORDRE CORINTHIEN Il est surtout considéré comme une variété plus ornementale de l'ordre ionique. Il se caractérise par un chapiteau à feuilles d'acanthe stylisé (croquis). On appelle « périptère

indiqués par de fines incisions et des rehauts (peintures rajoutées) blancs et rouge violacé. Cette technique, dite des vases à figures noires, est partagée par deux ateliers qui se disputent la prééminence : le corinthien sur fond très clair et l’attique sur fond orangé, qui va triompher au point d’entraîner vers 540 la disparition presque totale de son rival. Le style y est narratif et très minutieux, est encore assez raide, privilégiant la figure humaine et empruntant

dans l’iconographie chrétienne du Moyen age à la résurrection. L’architecture est à rapprocher des constructions de Brunelleschi et de Michelozzo, architecte de l’époque du peintre. Elle est de style renaissant : des colonnes à chapiteaux corinthiens à l’avant-plan et à chapiteaux doriques représentés en raccourci (référence à l’Antiquité) donnent un bel effet de perspective et délimitent une loggia où se déroule la scène. Cette loggia est surmontée d’arcs légèrement surbaissés. Elle évoque

Saint-Benoît-sur-Loire, les moines sont environ au nombre de quarante. Leur nombre n'a cessé d'augmenter depuis sa création excepté pendant les périodes de guerre de religion et d'abandon du monastère. Les moines ont chaque jours une journée très chargée et un ordre de prière à respecter. Ces religieux qui vivent en communauté ont fait veux de chasteté et doivent être indépendant. De plus, ne pouvant sortir de l'abbaye, ils ne peuvent voir leur famille que lors des jours de visites. Leurs journées s'entament dès

| 10-9 | n | micro | 10-6 | µ | Unité milli | 10-3 | m | Kilo | 103 | k | Multiple de l'unité méga | 106 | M | giga | 109 | G | téra | 1012 | T | 3) Ordre de grandeur C'est la puissance de 10 la plus proche de ce nombre. Ex: 2,55X1010 m 1010 m 8,3X1010 m 10 X 1010 1011. 4) Chiffres significatifs et précision d'une mesure. Ex: 6,4X103 Km, le 6 et le 4 sont deux chiffres significatifs

L’ARCHITECTURE ROMANE EN PROVENCE L’Art Roman est un terme employé pour la première fois en 1818 par l’archéologue Charles Duhérissier de Gerville. L’Art Roman constitue un véritable style et son do- maine d’expression est essentiellement religieux. Au Xème Siècle, de nombreuses églises et monastères avaient connu des abus et s’é- loignaient de leurs vraies missions et peu à peu étaient tombés entre les mains de sei- gneurs. Un important mouvement de réforme se met en place. Cette réforme

toute la longueur. Les frises des temples représentent des scènes mythologiques, historiques ou de la vie quotidienne des grecs. 3. L’ordre corinthien L’ordre corinthien, apparu un peu plus tard, ne se différencie de l’ordre ionique que par ses chapiteaux caractéristiques, décorés avec un motif en forme de feuilles d’acanthe, les chapiteaux corinthiens. Les trésors :