Organon

théâtre demeure avant tout un discours sur le réel qui doit provoquer discours et action du spectateur sur ce même réel. C'est cette théorie qu'il développe sous le nom de "théâtre épique" puis sous celui de "théâtre didactique", notamment dans Petit Organon pour le théâtre. Cette analyse de la théâtralité baroque nous invite à lire ces actes de L'Illusion Comique comme "brouillage" volontaire et délibéré, de la part de Corneille, des niveaux "réel et illusoire" rendus irréels et hors de portée de l'intervention

§ 13, p. 187 Paris,, Aubier, 1969. [4] Cf. Platon, Timée, 49 b-d, Œuvres complètes, t. II, pp. 468-9, Paris, La Pléiade, 1950. [5] Cf. Wittgenstein, Investigations philosophiques, § 66, pp. 147-8, Paris, Gallimard, 1961. [6] Cf. Aristote, Organon, Les Seconds Analytiques, I, 1, pp. 1-6 et II, 1, pp. 161-3, Paris, Vrin, 1970. [7] Telle est, par exemple, la perspective du Dictionnaire historique de la langue française de A. Rey, Paris, Le Robert, 1992. [8] Ainsi le Dictionnaire alphabétique

Albertine : 4, 9:20, le Mont-de-Piété : 13, 58:50) ressemblent eux-mêmes à de vastes patchworks d'objets hétérogènes. L'artificialité du spectacle cinématographique est alors révélée et l'image endosse une fonction critique. Comme chez Brecht (Petit Organon pour le théâtre), cette artificialité crée un effet de distanciation : le spectateur n'est plus pris dans l'illusion de la fiction et retrouve son sens critique. La scène la plus révélatrice à cet égard est celle qui clôt le pugilat dans le restaurant

conclusion sur un déterminisme modéré ou ouvert. Une hypothèse refait surface concernant l'universalité de la pensée, Aristote s'était déjà penché sur la question à travers l'une de ses oeuvres majeures Les Catégories qui se situe en tête de son Organon qui est composé de la totalité de ses traités de logique. Ce philosophe grec, disciple de Platon, vécu au IV ème siècle avant J.C, il créa le Lycée d'Aristote où la pratique de l'enseignement se faisait en marchant. Ses écrits sont très pluridisciplinaires

comme des «technologies 80 © Éditions d’Organisation LE DILEMME sociales», c’est-à-dire des outils permettant d’obtenir des résultats et de faire de l’argent pour les actionnaires individuels. Le mot même d’«organisation» vient du grec organon, ou «instrument». Les équipes et leurs efforts de collaboration sont donc considérés comme des outils appartenant à des propriétaires privés qui s’en servent pour atteindre leurs objectifs et qui les dissolvent dès qu’ils ont rempli leur office

pour cela qu’il transmet, et qu’ainsi il développe la pensée et la culture. • S’il avait accordé la primauté aux mains cela aurait induit pour Aristote que les mains sont le moteur de l’intelligence. Or chez Aristote la fonction fait l’organe (to organon = l’outil --> l’organe déjà instrumentalisé). C’est donc l’intelligence, le NouS, qui permet à l’Homme d’avoir des mains. Elles révèlent l’intelligence, mais sans intelligence il ne peut y avoir des « mains », il y aurait des pattes. Se servir

contre l’expression «une science de l’entendement pur et de la connaissance rationnelle par laquelle nous pensons des objets tout à fait a priori.» (CRPu, Bar 113.2) SCHÉMA Logique — comme logique «de l’usage particulier de l’entendement» = organon de telle ou telle science; cette logique «contient les règles qui servent à penser exactement sur une certaine espèce d’objets.» (CRPu, Bar 111.2.910) — comme «logique de l’usage de l’entendement en général»: «logique élémentaire», «logique générale»;

| |11.2.4 Orgues non-liturgiques | Propriétés littéraires du mot[modifier] Étymologie[modifier] Le mot orgue vient du grec οργανον (organon) (en latin organum), signifiant outil ou instrument (recouvrant par là la notion d’instrument de musique, mais sans lien direct avec l’orgue). L’organa du Moyen Âge désignait aussi bien une polyphonie liturgique que le service religieux lui-même.

Paris, PUF, coll. Quadrige, 2002, p. 773-774. Le philosophème ici est à prendre au sens d’une unité discontinue significative (catégorie, concept, principe, axiome, proposition, etc.) d’un discours philosophique donné comme système. 6 Aristote, Organon, I, « Catégories », 4, trad. J. Tricot, Paris, Vrin, 1989, p. 5-6. 7 « Catégories de pensée et catégories de langue », PLG1, p. 66. La valeur du présupposé que réfute ici Benveniste est sujette à caution : les prédicats ne sauraient correspondre à

une division du travail et des fonctions, et par des modalités de coordination prédéfinies ». La division des tâches et la coordination = un mouvement centrifuge compensé par un mouvement centripète. Etymologie : organisation vient du grec Organon qui veut dire l'outil, la machine. Ce mot est apparenté au mot Ergon qui est le travail. C'est l'idée d'un moyen matériel mis au service d'une fin utile. Quelques caractéristiques communes des organisations d'après Bernoux 1982 1)Division des