Orisha

Anthropologie 28/04/11 1. Invention et création en ethnologie 2. Acculturation, culture populaire et culture au pluriel Acculturation : Relation dominante/dominé entre deux cultures, ce qui en ressort. Employé pour la 1iere fois à l’écrit en 1938 par Melville Herskovits (1895-1963), culturaliste, élève de Boas. Travail sur les Américains et les Africains. Il s’intéresse aux relations entre l’Afrique et l’Amérique. L’acculturation renvoie aux contacts entre différentes cultures

invisibles dont les hommes essaient de se concilier la puissance ou la bienveillance. Il est l'affirmation d'un monde surnaturel, mais aussi l'ensemble des procédures permettant d'entrer en relation avec celui-ci. Le vaudou correspond au culte yoruba des Orishas. De même que le vaudou est un culte à l'esprit du monde de l'invisible. À chaque ouverture, le prêtre vodoun demande l'aide de l'esprit de Papa Legba pour ouvrir les portes des deux mondes. Le Vaudou peut être décrit comme une culture, un héritage

PEINTRES CARIBEENS Aconcha, artiste-peintre cubaine, influencée par le monde magique des Orishas. Site web : www.aconcha.com |   |   | | Klodi CANCELIER, artiste-peintre en Guadeloupe, membre fondateur du groupe KOUKARA (koulè Karayib), association de plasticiens oeuvrant à promouvoir les Arts Plastiques Caribéens. Site web : cancelier.ifrance.com |   |   | | Alain CAPRICE, peintre-poète en Guadeloupe, profondément imprégné de sa culture caribéenne. Site web : bwabrile.site.voila

(religion africaine polythéiste et animiste). La Santeria dominée par un Dieu suprême Olodumare (ou Olafin ou Olorun ou Olorian), source de l'ashé - l'énergie spirituelle de l'Univers - qui a envoyé sur Terre des émissaires, demi-dieux humains, appelés Orishás qui sont la personnification de la Nature. Le but profond de la Santeria est un mieux être de l'homme, un accord avec lui-même, ses frères et la nature. III) Exemples. Silueta, 1973 : Ici elle n’a pas tracé sa silhouette, mais a utilisé

naturellement conservé dans leur cœur les esprits vénérés par leurs ancêtres en les assimilant aux djinns ("génies") dont le Coran reconnaît l'existence, mais aussi aux saints du soufime. On peut facilement comparer ce "transfert" à la façon dont les orishas des Yoruba et les vodun béninois ont été "baptisés" des noms de saints catholiques à Cuba ou au Brésil.       Certains rites des Gnawa présentent d'ailleurs une similitude frappante avec ceux pratiqués dans le Nouveau Monde : par exemple, selon Henri

Voodoo thus means all gods or invisible forces which men try to reconcile the power or benevolence. It is the affirmation of a supernatural world, but also all the procedures for entering into relationship with it. Voodoo is the religion of the Yoruba Orishas. As voodoo is a religion with the spirit of the invisible world. At each opening, the voodoo priest sought help from the spirit of Papa Legba to open the doors of both worlds. Voodoo can be described as a culture, a legacy, a philosophy, art, dance

| |Si C'était A Refaire | |Parce que Feat Roldan (Orishas) | |Ce A d'avillissant | |Des

invisibles dont les hommes essaient de se concilier la puissance ou la bienveillance. Il est l'affirmation d'un monde surnaturel, mais aussi l'ensemble des procédures permettant d'entrer en relation avec celui-ci. Le vaudou correspond au culte yoruba des Orishas. De même que le vaudou est un culte à l'esprit du monde de l'invisible. À chaque ouverture, le prêtre vodoun demande l'aide de l'esprit de Papa Legba pour ouvrir les portes des deux mondes. Le vaudou = culture, un héritage, une philosophie, un art

hommes essaient de se concilier la puissance et la bienveillance. C’est l’affirmation d’un monde surnaturel et tout ce qui permet d’entrer en contact avec ce monde. Le vaudou correspond à une forme de sorcellerie Il correspond au culte yoruba des Orishas. C’est l’esprit de Papa Legba qui permet au prêtre vaudou d’ouvrir les portes entre le monde réel et le monde surnaturel Il existe divers dieux (ou esprits nommés Lwas) dans le vaudou. I. L’animisme II. Rîtes et croyances III. Les arts

chef de la mission française de coorporation et action culturelle au bénin. Paulin Hountondji, philosophe et professeur à l'université nationale du Bénin, a soutenu qu'il ne fallait pas charactériser la culture africaine comme une culture vodun ou orisha en désignant le tout par cette partie. Bien que voulant que le bénin se dirrige dans l'initiative de promouvoir la mémoire de l’'esclavage et de la traite transatlanrique des esclaves, il a publiquement disputé l'idée d'un festival se concentrant