Ortie

échappé du cloître en bonnet rouge et passé des bernardins aux jacobins. Elle était sèche, rêche, revêche, pointue, épineuse, presque venimeuse; tout en se souvenant de son moine dont elle était veuve, et qui l'avait fort domptée et pliée. C'était une ortie où l'on voyait le froissement du froc. À la restauration, elle s'était faite bigote, et si énergiquement que les prêtres lui avaient pardonné son moine. Elle avait un petit bien qu'elle léguait bruyamment à une communauté religieuse. Elle était fort

échappé du cloître en bonnet rouge et passé des bernardins aux jacobins. Elle était sèche, rêche, revêche, pointue, épineuse, presque venimeuse ; tout en se souvenant de son moine dont elle était veuve, et qui l’avait fort domptée et pliée. C’était une ortie où l’on voyait le froissement du froc. À la restauration, elle s’était faite bigote, et si énergiquement que les prêtres lui avaient pardonné son moine. Elle avait un petit bien qu’elle léguait bruyamment à une communauté religieuse. Elle était fort

du cloître en bonnet rouge et passé des bernardins aux jacobins. Elle était sèche, rêche, revêche, pointue, épineuse, presque venimeuse ; tout en se souvenant de son moine dont elle était veuve, et qui l’avait fort domptée et pliée. C’était une ortie où l’on voyait le froissement du froc. À la restauration, elle s’était faite bigote, et si énergiquement que les prêtres lui avaient pardonné son moine. Elle avait un petit bien qu’elle léguait bruyamment à une communauté religieuse. Elle était

échappé du cloître en bonnet rouge et passé des bernardins aux jacobins. Elle était sèche, rêche, revêche, pointue, épineuse, presque venimeuse ; tout en se souvenant de son moine dont elle était veuve, et qui l’avait fort domptée et pliée. C’était une ortie où l’on voyait le froissement du froc. À la restauration, elle s’était faite bigote, et si énergiquement que les prêtres lui avaient pardonné son moine. Elle avait un petit bien qu’elle léguait bruyamment à une communauté religieuse. Elle était fort

parla de son enfance et de sa jeunesse, et il se convainquit de plus en plus que tout ce qu'un homme peut être de bon, de paternel et de respectable, ce forçat l'avait été pour Cosette. Tout ce que Marius avait entrevu et supposé était réel. Cette ortie sinistre avait aimé et protégé ce lys. Livre huitième—La décroissance crépusculaire Chapitre I La chambre d'en bas Le lendemain, à la nuit tombante, Jean Valjean frappait à la porte cochère de la maison Gillenormand. Ce fut Basque qui le reçut. Basque

parla de son enfance et de sa jeunesse, et il se convainquit de plus en plus que tout ce qu’un homme peut être de bon, de paternel et de respectable, ce forçat l’avait été pour Cosette. Tout ce que Marius avait entrevu et supposé était réel. Cette ortie sinistre avait aimé et protégé ce lys. – 379 – Livre huitième – La décroissance crépusculaire – 380 – Chapitre I La chambre d’en bas Le lendemain, à la nuit tombante, Jean Valjean frappait à la porte cochère de la maison Gillenormand. Ce fut

connaissons le monde qui nous e entoure, plus nous sommes capable de formuler notre action de mani`re anticip´e e e et de r´agir de mani`re appropri´e quel que soit la situation donn´e. Si nous avons e e e e m´moris´ que toucher les feuilles d’une ortie pouvait d´clencher une r´action ´pidere e e e e mique d´sagr´able, leur seule vue nous am`nera ` emprunter un chemin qui nous e e e a permettra d’´viter d’entrer ` nouveau en contact avec elles. e a La perception et les mouvements ´l´mentaires

Par la suite, les monastères s'entourent de grands jardins utilitaires, constitués de carreaux plus vastes et garnis de plantes vivrières, médicinales cultivées ou rudérales (poussant sur les décombres, et utilisées pour divers usages : chélidoine, ortie, valériane…) de fleurs et d'un verger. Les monastères jouent un rôle essentiel pour l'utilisation et le choix des plantes dans le domaine de la médecine. Remarque : l'époque médiévale n'est cependant pas, du moins jusqu'au XIIIe, une

cendreux, calcinés, sans verdure », comme « ma noire Sibérie » évoquée par la Chanson d’après-midi 802 … Dans Chacun sa chimère 803 , « Sous un grand ciel gris, dans une grande plaine poudreuse, sans chemins, sans gazon, sans un chardon, sans une ortie, je rencontrai plusieurs hommes qui marchaient courbés ». Le but ultime est de fuir, au plus loin possible et par tous les moyens : Ibidem, pp. 92-94. Ibidem, p. 251. 792 Ibidem, p. 257. 793 Ibidem, pp. 106-107. 794 Ibidem, pp. 143-145. 795 Ibidem

ma croûte à pâté Je tournais ma peine vers mes livres Je vous envoie dans la culture Je vous trompe si vous me poussez Jean-Luc Jean-Paul, le pape hautain J'envie votre brasse j'étais en face de la poutre Il Jette à la rue Jeter l'habit rouges aux ortie Jolies tranches dans le mou La bannière demandée La berge du ravin La berge du verger La berge précède le vide La bête dans l'écurie La bible est une chose qui me fait prier La biquette est lésée La botte à Staline. La chine et les Nippons La conquête