Ossuaire de Douaumont

devra reculer et se limiter à une stratégie de défense. ❖ 24 octobre 1916 : Les Français, qui reprennent l’avantage sur l’armée allemande depuis août, décident de reprendre les forts de Douaumont et Vaux. Les Allemands doivent reculer et, après avoir perdu Thiaumont, voient les Français s’emparer du fort de Douaumont sans véritable combat. Toutefois, ceux-ci devront patienter jusqu’au 3 novembre pour atteindre le fort de Vaux. Les Allemands sont définitivement dépassés et ne pourront pas revenir dans

Un bilan humain terrible :une génération entière détruite , classes creuse ... 2) Des rescapés traumatisés : physiquement ( " gueules cassées") et psychologiquement ( troubles mentaux ...). 3) Maintenir le souvenir de la Der des Der : ossuaire de Douaumont ,monuments aux morts , tombe du soldat inconnu....( encore conclusion partielle) Conclusion : 1)répondre à la problématique : le sujet nous a amené à réfléchir sur l'experience combattante dans une guerre totale d'une brutalité et d'une

1) L'ossuaire de Douaumont se se situe en Lorraine près de la ville de Verdun. 2) Le personnage qui as décidé de construire ce monument est monseigneur Ginisty , évêque de Verdun, accompagné du général Valantin, gouverneur de Verdun pour qui sera un cimetière géant rassemblant tous les soldats mort à la guerre ou les familles viendrait se recueillir et prier, pour montrer ces soldats qui sont mort pour la france 3) La date de construction demarra a la fin de la guerre a la fin de l'année 1918

de Champneuville. Le 24 février la France perd Brabant, la Wavrille et Herbebois. Le 25 Février , l’infanterie française se replie pour cause de grosses pertes en abandonnant une quantité importante d’arme. Grâce à cette retraite, le fort de Douaumont (qui servait d’observatoire) est pris sans difficultés par les allemands qui ne sont plus, désormais, qu’à cinq kilomètres de Verdun. Mais le moral des Français remonte avec l’arrivée du général Pétain et la pause de la progression Allemande.

Le village détruit de Fleury : Etant proche du fort de Douaumont il a été complètement ravagé par les attaques allemandes. Pendant toute la durée de cette bataille le village aura changé seize fois de main. Deux mois de combats réduisent le village en ruines. Avant la guerre, il comptait 334 habitants. Il y avait des maisons, des commerçants, et après la guerre il ne restait plus rien, seulement un village détruit, avec aucun signe de vie humaine ou végétale et un paysage ravagé par des millions

épiscopal de Verdun. Après douze heures de bombardement, vers 16 heures 45, l'infanterie allemande monte à l'assaut des lignes françaises. Les soldats français résistent à l'attaque. L'armée allemande continua d'avancer les 22 et 23 février. Le fort de Douaumont tombe aux mains des Allemands le 25 février. Philippe Pétain nommée à la tête de l'armée de Verdun organise la riposte. L'armée française commence à résister dès le 26 février. Quelques jours plus tard, Falkenhayn admet son échec. Arrêtés sur la

reliant Verdun à Bar Le Duc pour l'acheminement des munitions du ravitaillement et des renforts ? La voie sacrée LE FORT DE DOUAUMONT – LE FORT DE VAUX A quelle date les Allemands prennent-ils le Fort de Douaumont ? Le 25 février 1916. Pourquoi a-t-il été pris aussi facilement ? Les soldats français ont reculé devant les attaques des allemands et ont abandonné le fort de Douaumont. A quelle date a-t-il été repris ? Le 24 octobre 1916 Quels étaient les moyens de défense du fort ? Le lancé d'obus était

eux-mêmes. Un ancien du 137 ème R.I. interrogé à ce sujet en 1930 répond : " la Tranchée des baïonnettes ? Connais pas ! " Président-Fondateur : Maurice Genevoix de l’Académie française Mémorial de Verdun 1, avenue du Corps Européen 55100 Fleury-devant-Douaumont www.memorialdeverdun.fr communication@memorial-verdun.fr Tél : 03.29.84.35.34 Fax : 03.29.84.45.54 Ici la mémoire collective relève de l'affectif, de la croyance, du sacré dont le but est de conforter une identité. Dans ce lieu mémoriel

disparaissent, remplacés par un décor lunaire. Les massifs de Haumont, de Herbebois et des Caures sont déchiquetés, hachés, nivelés. Derrière le feu roulant, le 7e corps rhénan, le 18e hessois et le 3e brandebourgeois avancent lentement. Le fort de Douaumont, qui n’est défendu que par une soixantaine de territoriaux, est enlevé dans la soirée du 25 février 1916 par le 24e régiment brandebourgeois. Malgré tout, la progression allemande est très fortement ralentie. En effet, la préparation d’artillerie

travail de deuil est d’autant plus difficile qu’il n’y a pas eu d’accompagnement du défunt, les familles ont souvent été privées des corps, parfois définitivement : 260 000 disparus, 200 000 impossibles à reconnaître ou non identifiés. (cf ossuaire de Douaumont) C’est environ la moitié des morts qui ne sont pas réellement connus des familles. 240 000 cercueils ont été rapatriés dans les tombes familiales. L’idéalisation des morts a bloqué le processus de deuil (cf FREUD, Totem et tabou) 2. Chronologie