Otto Dix Autoportrait En Soldat

Picasso Domaine(s) artistique(s) : arts visuels Problématique : Comment l’art peut-il témoigner des massacres commis durant la Guerre Froide ? Descriptif succinct de l’objet d’étude (1 phrase) : huile sur toile 1.20 x 2.10 cm représentant l’attaque de soldats sur la population civile. Par extension au sujet (autres œuvres) : Tres de Mayo, F de Goya, 1814, huile sur toile, Musée du Prado à Madrid Intervenants : Madame Lefebvre Discipline(s) Lettres Histoire en lien avec le socle/programme Lecture de l’image

son temps. Par contre, celle-ci se montre très classique et très traditionnel en respectant les règles du sonnet et en développant le thème traditionnel de la Nature. I. Les éléments iconiques (ce qui est représenté) Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d'identifier là les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant

L’enfant et la Shoah 36 IV/ DOCUMENTS POUR LA CLASSE..................................................................... 37 1/ Une carte vierge ................................................................................................ 37 2/ Dix fiches d’œuvres à exploiter en classe (supplément détachable) ................. 37 V/ JOURNEES DE FORMATION ET PARCOURS-VISITES ................................... 39 VI/ INFORMATIONS PRATIQUES ......................................................

l’AS. L’Armée secrète, qui dépendait directement de Londres. C’est dans un rendez-vous avec elles que j’ai été arrêtée. L’AS avait été infiltré par la Gestapo, et un jour, il y a eu une cinquantaine d’arrestations. J’avais dix-sept ans, mes trois compagnes, élèves institutrices, dix-neuf et vingt ans. Par chance, sauf dans la prison militaire allemande, où, en vertu de ma qualité de Corse, on m’a considérée comme génétiquement dangereuse et isolée dès le premier jour dans le quartier des condamnés à

morcellement de l’image en petites surfaces, dispersion des couleurs et des motifs décoratifs, structuration de la surface par de grandes lignes abstraites, utilisation de tous les éléments s’y prêtant pour accentuer la perspective (fragments de lances, soldat couché). Uccello était un passionné de mathématique et de perspective. Sur un plan plus conceptuel, dans cette toile, il a voulu provoqué un effet d’isolement en confrontant de rares visages découverts à un univers inhumain, représentation de la guerre

guerre, qui traverse l’histoire humaine, sera l’occasion d’observer comment les poètes face à des situations extrêmement différentes tant du point de vue historique (guerres de conquête, guerres civiles, guerres mondiales, occupation...) que personnel (soldat, victime, prisonnier, résistant, pacifiste...) expriment leur désarroi ou leur révolte. Nous verrons que cette révolte contre la guerre en tant que telle se fait de plus en plus forte, depuis la déploration tragique du sort des victimes dans l’Antiquité

guerre, qui traverse l’histoire humaine, sera l’occasion d’observer comment les poètes face à des situations extrêmement différentes tant du point de vue historique (guerres de conquête, guerres civiles, guerres mondiales, occupation...) que personnel (soldat, victime, prisonnier, résistant, pacifiste...) expriment leur désarroi ou leur révolte. Nous verrons que cette révolte contre la guerre en tant que telle se fait de plus en plus forte, depuis la déploration tragique du sort des victimes dans l’Antiquité

revenir à Paris où il rencontre Lola, une Américaine bien en chair et peu avare de sa personne, venue en France se dévouer auprès des pauvres soldats pour lesquels elle façonne puis goûte les beignets des hôpitaux. Une fin d'après-midi, alors qu'il contemple les restes d'une baraque foraine, le “Tir des Nations”, il est subitement frappé de terreur, « voit » des soldats ennemis embusqués partout et est embarqué vers un hôpital psychiatrique. Il se lie avec une violoniste, Musyne, qui, cependant, lui préfère

revenir à Paris où il rencontre Lola, une Américaine bien en chair et peu avare de sa personne, venue en France se dévouer auprès des pauvres soldats pour lesquels elle façonne puis goûte les beignets des hôpitaux. Une fin d'après-midi, alors qu'il contemple les restes d'une baraque foraine, le “Tir des Nations”, il est subitement frappé de terreur, « voit » des soldats ennemis embusqués partout et est embarqué vers un hôpital psychiatrique. Il se lie avec une violoniste, Musyne, qui, cependant, lui préfère

aucune qui ne se donne pour ainsi dire pour elle-même ou explicitement. Seule la reconstitution d’une époque peut signifier « l’histoire » - et elle est fort belle et précise, ainsi, rappelons-nous la mère somptueuse de Tadzio, très élégante dame du dix-neuvième siècle finissant. Mais il s’agit davantage de « cadre » à « l’histoire » et aux interrogations d’Aschenbach qui se portent sur la Beauté, l’Art, l’Amour, l’œuvre de l’artiste et, plus spécialement, la morale de l’art, ou bien encore, la morale