Otto Von Bismarck

définitive d'une idéologie (1923-1924) Sa détention à Landsberg est considérée par Hitler comme « son université aux frais de l'État », qui lui permet de lire des ouvrages de Nietzsche, H. S. Chamberlain, Ranke, Treitschke, Karl Marx, et les mémoires de Bismarck et de généraux et hommes d'État alliés ou allemands18. Elle lui donne l'occasion de dicter à son secrétaire Rudolf Hess son ouvrage Mein Kampf, récit autobiographique, et surtout manifeste politique, appelé à devenir le manifeste du mouvement nazi19

critique à l’égard des pouvoirs publics33, preuve d’une relative tolérance du pouvoir impérial. Metz se transforme sous l’action des autorités allemandes qui décident de faire de son urbanisme une vitrine de l’empire wilhelmien. En 1898, le baron von Kramer, maire de Metz, demande à l’empereur Wilhelm II la permission d’étendre la ville, au détriment des terrains militaires. L’empereur décide alors de détruire les fortifications de Cormontaigne en conservant la tour Camoufle, la porte Serpenoise et

les lois antisocialistes de 1878 jusqu’à 1890 de Bismarck (chancelier conservateur et autoritaire de 1871 à 1890) qui persécutent les socialistes ( amende, emprisonnement, contrainte à l’exil ,censure de presse etc..) n’interdit cependant pas les candidatures individuelles aux élections .En revanche, elles sont destinées à briser la logistique qui permettrait d’entretenir une agitation révolutionnaire. En 1890, la chute de Bismarck sous Guillaume II entraîne la fin des lois d’exception

De vastes systèmes d’alliances se sont créés à la fin du XIXe et au début du XXe siècle. Deux grands systèmes d'alliances se dessinent. La Triplice, plus ancienne, est l’œuvre du chancelier prussien Otto von Bismarck26. Conscient de l’hostilité française depuis l’annexion de l’Alsace-Lorraine, Bismarck cherche, sur le plan diplomatique, à isoler la France de la IIIe République pour l’empêcher de nouer une alliance contre le Reich. En 1879, sous son impulsion, un premier rapprochement a lieu entre

gauche du Rhin, autour de la ville de Düsseldorf, dans la Rhur. Plus deux villes libres : Aix la Chapelle, et Cologne. Reconstruit son armée, considérée en 1815 comme la première armée Européenne. Fonde leur armée sur une réforme du service militaire : Von Clausewitz médite sur les campagnes Napoléoniennes et fait passer le service militaire à 3 ans « la guerre n’est que la continuation de la politique par d’autres moyens ». GB a besoin d’un gendarme en Europe, le gendarme central sera la Prusse. Une

manifester sa confiance pour « oui » ou par « non », envers les mesures prises par un chef d’Etat.     Le régime semble parti pour durer mais ça ne va pas durer. En Prusse une politique agressive et expansionniste est menée par le chancelier Otto Von Bismarck : Il veut récupérer l’Alsace et la Moselle car il les considère Allemandes. Par des manœuvres diplomatiques il arrive à ce que la France déclare la guerre la guerre à la Prusse.     La France déclare la guerre à la Prusse le 19 Janvier 1870

non seulement pour la fidélité mais en outre pour le souci du détail, offrant de long plans des accessoires du couronnement : la couronne, la cape…. Nous retrouvons bien pour ce qui de l’histoire politique, en toile de fond, et de façon constante, Bismarck, la bataille de Sadowa de 1866, la politique pro-prussienne lors de la guerre contre les français de 1870 sera évoquée. Mais le film fait tout de même la part belle à la guerre contre la Prusse, lors des préoccupations majeures de l’intégration de

Prusse "oublie" de retirer sa garnison de Luxembourg dès 1866. La crise du Luxembourg en 1867, due à la volonté du roi grand-duc Guillaume III des Pays-Bas de vendre son grand-duché à Napoléon III, ce que l'Allemagne en voie d'unification (sous Otto von Bismarck) ne veut pas tolérer, a pour conséquence la reconnaissance internationale de l'indépendance du Grand-Duché et son statut de pays neutre, garanti par les pays signataires hormis la Belgique elle-même neutre. Bien sûr, la Prusse doit, à cette occasion

d'une idéologie (1923-1924) Sa détention à Landsberg est considérée par Hitler comme « son université aux frais de l'État », qui lui permet de lire des ouvrages de Nietzsche, H. S. Chamberlain, Ranke, Treitschke, Karl Marx, et les mémoires de Bismarck et de généraux et hommes d'État alliés ou allemands[18]. Elle lui donne l'occasion de dicter à son secrétaire Rudolf Hess son ouvrage Mein Kampf, récit autobiographique, et surtout manifeste politique, appelé à devenir le manifeste du mouvement nazi[19]

Bernanos (Ecrivain français) Source : Courrier | | La résistance au changement n'est que le refus de la croissance. Alexander Ruperti (Astrologue allemand) | | Le libéralisme prospère toujours plus que ses partisans le désirent. Otto von Bismarck (Homme politique allemand) Source : un Discours prononcé au Reichstag | | C'est la cohorte des fourmis qui, dans les galeries souterraines des bas-fonds de la société, permet à l'économie d'avancer. Moses Isegawa Source : Chroniques