Ou Sont Ces Doux Plaisirs De Du Bellay

Sommaire : * Préface : * Poème n°1 : Du Bellay : - Heureux qui comme Ulysse * Poème n°2 : Jean de La Fontaine :- Les deux pigeons * Poème n°3 : Jean Pierre Claris de Florian :- Le voyage * Poème n°4 : Baudelaire :- L’appel du large * Poème n°5 : Stéphane de Mallarmé : - Brise marine * Poème n°6 : Paul Eluard : - Voyage du silence recueil * Poème n°7 : Isaac Lerutan :- L’ombre des anges * Conclusion : Du Bellay : - Heureux qui comme Ulysse 31ème sonnet

de la femme est vanté avec des matières précieuses: “argent” “dorées” “cristal” “ébène” “glace”. La femme est decrite ici telle une déesse, au v13 il parle même de “divines beautés”. La vénération de la femme est marqué par une assonance en “ô” Du Bellay évoque de même toutes les parties du corps. On remarque aussi la multiplication des exclamations (une quinzaine), une périphrase (v11) qui montre la retenu du poète. Dans Vénus Anadyomène, Rimbaud nous propose une vision personnelle du personnage

de Pierre Sandrin, paroles de François I et diminutions de Diego Ortiz La nuit : 2 « La nuit était pour moi si très-obscure », poème de Pernette du Guillet 3 « La nuit froide et sombre », musique de Orlande de Lassus sur un poème de Joachim du Bellay 4 « La nuit j’adorerais les rayons de la lune… et les faits des humains en ce monde regardent», extrait du Discours des misères de ce temps de Pierre de Ronsard - Consort XIV d’Henri VIII « Je dy ce grand soleil…Fils ainé de nature et le père

poètes tel que Baudelaire. Le Balcon Mère des souvenirs, maîtresse des maîtresses, Ô toi, tous mes plaisirs ! Ô toi, tous mes devoirs ! Tu te rappelleras la beauté des caresses, La douceur du foyer et le charme des soirs, Mère des souvenirs, maîtresse des maîtresses ! Les soirs illuminés par l'ardeur du charbon, Et les soirs au balcon, voilés de vapeurs roses. Que ton sein m'était doux ! Que ton cœur m'était bon ! Nous avons dit souvent d'impérissables choses Les soirs illumines par l'ardeur

vie Sybille Rembard, 2005,XXIe Amitié fidèle.(Sur la mort de son amie Iris en 1654.)Parmi les doux transports d'une amitié fidèle, Je voyais près d'Iris couler mes heureux jours : Iris que j'aime encore, et que j'aimerai toujours, Brûlait des mêmes feux dont je brûlais pour elle :Quand, par l'ordre du ciel, une fièvre cruelle M'enleva cet objet de mes tendres amours ; Et, de tous mes plaisirs interrompant le cours, Me laissa de regrets une suite éternelle.Ah ! qu'un si rude coup étonna mes esprits

Pierre de Ronsard « Marie, qui voudrait votre beau nom tourner » Introduction « Prince des poètes et poète des princes, Pierre de Ronsard est une figure majeure de la littérature de la Renaissance. Il est, avec Joachim Du Bellay, le chef de file de la Pléiade, mouvement littéraire du XVIème siècle. Auteur d’une œuvre conséquente dont la majeure partie est consacrée au thème de l’amour, on divise ses poèmes amoureux en trois parties, trois muses. Les Amours de Cassandre, les Amours de Marie, et

Dans le sonnet les trois questions qui structurent le quatrain sont plus plaintives que l'affirmation ; elles ont moins une valeur rhétorique que sentimentale. En un sens, on peut dire que le poète est amoureux des muses (v.6,7), associées au « doux plaisir » qui entre dans le cadre d'un décor enchanteur idyllique, où le poète mène la danse (cf. v.8 verbe danser lui aussi placé à l'hémistiche), tel une Orphée. II. Toutefois, dans ce poème, l'assurance du créateur semble avoir laissé place au doute

poèmes sur la mort que je juge magnifique. J’ai choisi ici de vous parler des différentes manières dont les poètes voient ou appréhendent la mort en fonction du temps. Le sujet parlera donc des poèmes suivants : « Chant du désespéré » de Joachim du Bellay, poète du seizième siècle. « Adieu » de Paul Verlaine, poète du dix-neuvième siècle. « Demain dès l’aube » de Victor Hugo, poète du dix-neuvième siècle. « Ce qu’est la mort » de Victor Hugo « Le dormeur du val » d’Arthur Rimbaud

Rome et l’Italie Ces références autobiographiques font du recueil comme un journal de voyage. C’est ce que souligne Du Bellay lui-même en donnant à ses vers les noms de « papiers journaux » ou « commentaires » dans le premier sonnet du recueil. On va ainsi retrouver dans son œuvre écho à tel ou tel détail de sa vie quotidienne en Italie. De plus, dans le recueil, Du Bellay revient de façon récurrente sur l’expérience de l’éloignement. Il s’agit d’un double éloignement : éloignement affectif

dans un pâté, Ou comme un Don Quichotte en sa morne folie. Là, sans me soucier des guerres d'Italie, Du comte Palatin, ni de sa royauté, Je consacre un bel hymne à cette oisiveté Où mon âme en langueur est comme ensevelie. Je trouve ce plaisir si doux et si charmant, Que je crois que les biens me viendront en dormant, Puisque je vois déjà s'en enfler ma bedaine, Et hais tant le travail, que, les yeux entrouverts, Une main hors des draps, cher Baudoin, à peine Ai-je pu me résoudre à t'écrire