Ouvrage d'art

produit est unique] - Produits reproductibles : Livres, disques, films… à l’infini 3e clivage - Œuvre d’art - Produit créatif et culturel 2 personnalités qui ont permis de comprendre ce qu’on vit dans les IC car ils ont posé la question de la reproductibilité : - Duchamp a repeint la Joconde avec la moustache, et a ajouté en bas des lettres sibyllines o Objet industriel => œuvre d’art o Ready-made : Roue de Bicyclette, porte bouteille, air de Paris… o Le contenant est plus important que

pourtant ses parents l'en retirent en pleine année scolaire et l'assigne à résidence pendant 18 mois. Il est ensuite envoyé en formation dans la galerie d'art de son oncle et à l'âge de 16 ans il obtient un poste auprès du marchand d'art Goupil & Cie à la Haye grâce à son oncle Vincent qui avait fait de bonnes affaires pour cette galerie d'art. Satisfaite de son travail, la galerie l'envoie dans l'une de ses succursales à Londres, il y parfait sa culture artistique et vit dans un bel appartement

floues : des objets techniques sont exposés dans les musés, et les œuvres d’art sont en passe de devenir un objet usuel. En effet, l’art est vendu, devient un objet de mode, onbjet de distinction , de bon gout et de signe extérieur de richesse. Si il est traité comme un objet technique, en est-il pour autant un ? On peut alors s’interroger sur l’essence de la crétion artistique ayant permis l’élaboration d’une œuvre d’art. La création artistique est elle le résultat d’un travail ou d’un « génie »

spiritualiser l’art à vouloir trouver dans l’œuvre d’art un sens caché, à croire qu’elle est l’expression d’un changement intime, tout intérieur, on finit par oublier que la création artistique n’a d’autre existence que matérielle. François dagognet : l’analyse esthétique est avant tout une analyse des matériaux. Spiritualiser l’art c’est le dématérialiser. Idée 3 : l’art est la vie des formes s'adressant aux sens Henri Focillon : analyse des œuvres d’art qui s’en tient aux matières, aux surfaces

vingt ans. Cependant le compte rendu du Salon de 1767  « marque le changement d’écriture de régime de l’écriture de Diderot, sa rédaction traîne durant toute l’année 1768, la taille explose et l’objet n’a finalement que peu à voir avec la critique d’art habituelle ». (Diderot, 2008 : 19). C’est d’ailleurs dans celui-ci que Diderot restitue les peintures d’Hubert Robert. En effet c’est la première participation du peintre aux Salons. Hubert Robert est un peintre de paysage, qui a beaucoup dessiné et

Nous commencerons par dégager les traits caractéristiques d’une oeuvre d’art qui la rende différente à un simple objet quelconque. En même temps, « penser ainsi l’art » par différence implique nécessairement que l’on reconnaisse aussi des similitudes. Il peut y avoir des raisons de penser que l’art n’est pas différent des autres objets quelconques. Le problème sera donc de déterminer dans quelle mesure de fait l’art est bien oui ou non distingué d’un simple objet quelconque et de cerner pour quelles

Une œuvre d’art peut-elle ne pas être belle ? Oui, une œuvre d’art, c’est-à-dire le résultat de l’activité créatrice (l’art), une création, le résultat d’un enchaînement d’inventions imprévisibles dont les règles ont été inventés au fur-et-à-mesure de la création, peut ne pas être belle, si nous partons du le principe qu’un jugement esthétique, acte de l'esprit par lequel nous déterminons si une chose est belle ou laide est toujours subjectif, c’est-à-dire qui appartient à quelque chose en tant

peintures en 1956. Il est l'un des premiers plasticiens (artiste se consacrant aux arts plastiques, un artiste de l’art contemporain) à utiliser les objets manufacturés (matières premières transformées en produits finis) pour construire ses œuvres d'art et il va même jusqu'à entasser des déchets de la vie quotidienne dans de grande boîtes en verre qu'il nomme « poubelles ». En 1959 apparaissent ses premières innovantes "Accumulations" d’objets. Elles sont exposées dans de nombreuses villes européennes

fabriquait ? Mais d'un autre côté, il est évident que ce besoin n'a rien à voir avec une nécessité vitale : contrairement au reste des objets que nous produisons, une œuvre d'art ne sert à rien, elle n'est pas au service de la survie, elle ne rend nos existences ni plus simples, ni plus confortables. À l'évidence, le statut des œuvres d'art n'est pas celui des objets d'usage ; soit alors nous faisons de l'art lui-même une activité gratuite, un luxe curieux, soit il nous faut identifier le besoin auquel il

Débuté son activité de critique d'art par des publications au sein de la revue Sens Large en 1984-1985. De 1989 à 1991, il a collaboré à Opus International, puis par la suite àAttitude et 02. Depuis le début des années 90, il publie régulièrement des articles et comptes rendus d'exposition dans  Art Press. Ses articles et préfaces de catalogues ont porté sur François Dilasser, Marcel Dinahet, etc.  Il collabore également régulièrement à la revue Critique d’Art Auteur d’ouvrages monographiques