Owono

Lieu Sanction Nature Décision 29. NTOMB NANKIA Joe Collins 571 48 9-J IP1 CCRG Wouri Douala 03 mois de suspension N°00815 /DGSN/ CAB DU 30. NTO’OBENE MEDJO Jacques Alain OKONDOMBE Marie Noël OLLE Grégoire Nestor OWONO OWONO Jean Calvin 607 85 7-H IP2 DSP (Service de la Protection) Commissariat Spécial aéroport YdéNsimalen Commissariat Spécial aéroport YdéNsimalen CIAP Mutenguéné  Extorsion de fonds à un demandeur de passeport ordinaire  Indélicatesse

' Arrivé.e .:' .. ~ . 'oi O' !"-. '0' O' 3' . ; ; Enre~lstre sou" n ., ._~~__.~.~\ .. -- - OUAGADOUGOU i DOCTEUR en DROIT (Doctorat Nouveau Régime, Droit Privé) présentée et soutenue publiquement le 30 janvier 1993 par Charles MBA-OWONO JURY: Président Monsieur Gilles GOUBEAUX Professeur à ['Université de Nancy II Assesseurs Monsieur Philippe BIHR Professeur à ['Université de Nancy II Monsieur Alain FOURNIER Professeur à ['Université de Metz Monsieur Bernard GROSS

financiers des manuels scolaires, faisant presque fi des fondements pédagogiques, scientifiques et culturels de cet outil didactique, tels que prévus par les différents textes. En général deux réalités se posent : d'une part comme le remarque J. OZELE OWONO Des spécialistes (de France) concoctent dans un seul «grand chaudron " pédagogique, la soupe unique qui sera servie à toute la clientèle sans distinction de pays, de cultures et de besoins53(*).D'autre part, on note une sorte de politique du livre

possessions angl aises, l’Allemagne pouvait acquérir des colonies sans que l’État se charge ni de leur administration ni de leur mise en valeur. Cette idée plut tellement à Bismarck que le chancelier décida de la mettre auss itôt en pratique (Owono 1996 : 24). Par ailleurs, la Chambre de commerce de Hambourg a contribué au changement d’attitude chez Bismarck. Dans son Cette page ne s’affiche que dans la version complète. rapport, il montre entre autre la valeur des établissements coloniaux

Assèze l’Africaine, op, cit., p. 149. 248 Calixthe Beyala, Les honneurs perdus, op, cit., p. 69. 83 Il en est de même pour la Comtesse dans Assèze l’Africaine, cette femme arriviste, au cours d’une réunion familiale au sein du domicile de Owono, « soulève son boubou, exhibe son essentiel, ses cuisses charnues et bien jaunes »249avant d’affirmer : « Moi, je pourrais être la maîtresse de n’importe quel homme, même du président » 250 . La prostituée a compris la faiblesse de l’homme et sait

comme partout ailleurs, l’humanité souffrante est faite d’une somme de drames individuels. Mais ces nouvelles-là, celles du « temps du malheur » (Achille Mbembé) au jour le jour, ne parviennent que rarement à l’extérieur. Comme l’histoire de Pierre Owono Mvondo, un Camerounais âgé aujourd’hui de cinquante-huit ans, condamné en 1969 à trois ans de réclusion pour faux et usage de faux. Il commence alors à purger sa peine à la prison de Sangmélima, à 180 kilomètres au sud de Yaoundé, la capitale, où il