Pacifisme

célèbre la gloire militaire en 1911 en fêtant la conquête française de la Mauritanie, et déclare : « La paix par le sabre, c’est la seule qui tienne, c’est la seule qui soit digne. »  ; quant à Jaurès, il le souhaite fusillé pour sa lâcheté et son pacifisme : « Dès la déclaration de guerre, la première chose que nous ferons sera de fusiller Jaurès, nous n'avons pas besoin d'un traître pour nous poignarder dans le dos ». Il ne renie pas ses idées de jeunesse pour autant : "C'est pour cela, écrit-il dans Notre

ce traumatisme en peignant des corps déformés, détruits et mutilés par la guerre. C’est en quelque sorte un acte politique par lequel l’artiste énonce très clairement son dégoût de la guerre et le pacifisme qui en est la conséquence. Mais son intention ne se limite pas à cette « déclaration de pacifisme» car il souhaite également nous convaincre, nous spectateurs, de l’horreur et de la bêtise de la guerre.

notre époque. D’autant plus qu’en occident on nous a toujours appris à réagir avec violence lorsqu’on nous agresse de la défense légitime comme on l’appelle couramment. Il est très difficile d’imagine de nos jours une personne préfèrent agir avec pacifisme lorsque ses droits sont violés. Mais il ne faut pas croire que la non-violence est inapplicable de nos jours. Un bon exemple de l’application de cette non-violence nous a été donne lors du printemps érable. D’autres exemples de cette non-violence

l’image. La Guerre d’Otto DIX est donc une œuvre que l’on peut qualifier d’engagée, c’est en quelque sorte un acte politique par lequel l’artiste énonce très clairement son dégoût de la guerre et le pacifisme qui en est la conséquence. Mais son intention ne se limite pas à cette «déclaration de pacifisme» car il souhaite également nous convaincre, nous spectateurs, de l’horreur et de la bêtise de la guerre. * Triptyque : œuvre en trois parties. ** Retable : Dans une église, tableau placé sur un

après la guerre et les soldats, derniers vestiges de cette guerre que l’on veut oublier, sont mis a l’écart et méprisés. On enregistre en France et dans d’autres nations européennes, à cette époque la, et jusqu’en 1939, en grand engouement pour le pacifisme et la majorité des gens sont donc farouchement opposés à la guerre et a toute perspective de conflit. 11. Les deux régimes totalitaires européens et le régime totalitaire russe ont puisé leur force dans le ressentiment des gens après la première

CONCLUSION La Guerre d’Otto DIX est une œuvre que l’on peut qualifier d’engagée, c’est en quelque sorte un acte politique par lequel l’artiste énonce très clairement son dégoût de la guerre et le pacifisme qui en est la conséquence. Mais son intention ne se limite pas à cette « déclaration de pacifisme » car il souhaite également nous convaincre, nous spectateurs, de l’horreur et de la bêtise de la guerre. C’est certainement pour cela qu’il se représente en sauveur : il est celui qui nous met en

justification du combat collectif - par la référence à une tradition de gauche « les vieilles colères », celles des révolutionnaires de 1792, celles des communards - par la référence à une valeur commune : liberté, placée plus haut que le pacifisme Conclusion : Desnos ne ménage aucun moyen pour rallier ç sa cause. Il use des armes traditionnelles de la rhétorique pour convaincre et choisit une poésie originale qui touche la sensibilité pour persuader. Il a réussi à faire d’un poème de circonstances

présente dans les paysages : régions dévasté par le conflit, destructions…ainsi que dans les corps : blessées, mutilés, « gueules cassées »… Le traumatise de la guerre est très important en Europe. La conséquence et le développement d’un important pacifisme, avec la volonté que la 1er Guerre mondiale soit la « Der des Der », c'est-à-dire « la dernière des dernières » (guerres). Otto Dix a été un des premiers à percevoir, dans l’immédiat après-guerre, que la façon dont on se souviendra de la guerre

obligations, et exige des garanties. C'est pourquoi la France garde une attitude intransigeante envers l'Allemagne. En 1923, elle occupe la Ruhr car l'Allemagne retarde toujours ses versements. D. La désillusion de la « der des ders » • Le pacifisme est profondément ancré dans la société française, surtout chez les anciens combattants qui espèrent que cette guerre aura été la « der des ders ». Mais on s'inquiète d'une paix précaire qui n'a pas apporté les résultats escomptés. Le sentiment d'un

réfléchissent aux moyens d'organiser la paix et la sécurité. Ainsi, avant même la fin de la Première guerre mondiale (1914-1918), les principaux pays alliés évoquent la nécessité de créer un nouvel ordre mondial. Le bilan terrible de la guerre conforte le pacifisme naissant qui veut éviter la répétition de la « Grande Guerre » [Livre p. 76 doc. 1]. * Mais si les Européens ont préparé des projets, ce sont alors les idées du président américain W. Wilson qui s'imposent. En janvier 1918, dans un texte fameux