Padoue

arches de ponts Galilée est convaincu de la justesse du système copernicien, et étant professeur ne peut pas se permettre de l’instruire aux élèves, faute de preuves tangibles. En 1592, Galilée part enseigner à l'université de Padoue où il reste 18 ans4. Padoue appartenait à la puissante République de Venise, ce qui garantissait à Galilée une grande liberté intellectuelle, l'Inquisition y étant très peu puissante. Galilée pouvait effectuer ses recherches sans trop de soucis. Il enseigne la

de la réalité, conforme à n’importe quel homme, n’importe quelle femme, que l’on pourrait aborder dans la rue ? Pour essayer de répondre à cette interrogation, nous nous appuierons surtout sur trois pièces romantiques : Ruy Blas et Angelo, tyran de Padoue, de Victor Hugo, et Lorenzaccio, d’Alfred de Musset. Nous traiterons en premier la complexité du héros romantique, puis nous nous pencherons sur les critères récurrents du romantisme que l’on retrouve chez son héros, avant d’étudier pour finir les

proposé. Ce dernier s’inscrit dans l’objet d’étude « Le texte théâtrale et sa représentation, du XVIIème siècle à nos jours ». Il est composé de quatre textes, extraits de pièces du XIXe et XXe siècle. Le premier est un monologue tiré d’Angelo, tyran de Padoue par Victor Hugo - Journée I, scène I. Ce document date de 1835 et s’inscrit dans le Romantisme, tout comme notre deuxième monologue de la même époque, extrait de Lorenzaccio, d’Alfred de Musset (Acte IV, scène 9). Les deux autres dialogues à analyser

vient ce projet ? Texte B : Victor Hugo, Angelo, tyran de Padoue (1835), Journée I, scène 1. La scène se passe en Italie, à Padoue en 1549. Angelo, placé à la tête de la ville par le pouvoir de Venise, s'adresse ici à Tisbe, une comédienne amoureuse de lui. ANGELO – Écoutez, Tisbe1. Oui, vous l'avez dit, oui, je puis tout ici, je suis seigneur, despote2 et souverain de cette ville, je suis le podesta3 que Venise met sur Padoue, la griffe du tigre sur la brebis. Oui, tout-puissant. Mais,

le fondateur de la physique, qui s'est imposée comme la première des sciences exactes modernes. Sommaire [masquer] 1 Les premières années 1.1 L'enfance 1.2 La découverte de sa vocation 1.3 De Florence à Pise (1585-1592) 1.4 L'université de Padoue (1592-1610) 1.5 L'année 1604 1.6 De 1606 à 1609 2 La lunette 2.1 Perfectionnement de la lunette 2.2 L'observation de la Lune 2.3 La tête dans les étoiles 2.4 Observations à Florence, présentation à Rome 3 Galilée attaqué et condamné par les

Pétrarque , le premier humaniste La jeunesse et la formation : Francesco Pétrarque, poète et humaniste italien est né à Arezzo en 1304 et mort à Arqua, près de Padoue, en 1374. Francesco Petracco, dit Petrarca (en français Pétrarque), est né le 20 juillet 1304 à Arezzo où son père, un notaire florentin du nom de Ser Petracco, avait été exilé pour des raisons politiques. Ce sont ses démêlées avec la faction des Guelfes qui pousse la famille de Pétrarque à fuir Florence pour la Provence. L'enfant

du purgatoire va peu à peu s’infernaliser ; les tourments que le chrétien y subit ne sont pas toujours discernables de ceux de l’Enfer. C’est ce que Giotto di Bondone décide d’immortaliser en peignant cette immense fresque de l’église de l’Arena, à Padoue. Datant de 1306, période des grandes cathédrales, où l’Eglise est florissante, l’œuvre est réalisée sur commande d’un banquier padouan. De par ses 10 mètres de large et sa signification religieuse, celle ci ne peut que surprendre ses visiteurs.

vous vient ce projet ? Texte B : Victor Hugo, Angelo, tyran de Padoue (1835), Journée I, scène 1. La scène se passe en Italie, à Padoue en 1549. Angelo, placé à la tête de la ville par le pouvoir de Venise, s'adresse ici à Tisbe, une comédienne amoureuse de lui. ANGELO – Écoutez, Tisbe1. Oui, vous l'avez dit, oui, je puis tout ici, je suis seigneur, despote2 et souverain de cette ville, je suis le podesta3 que Venise met sur Padoue, la griffe du tigre sur la brebis. Oui, tout-puissant. Mais, tout

pour Pic des manuscrits juifs de l'hébreu au latin, comme il va continuer de le faire pendant plusieurs années. À Padoue, Pic écrit aussi des sonnets aussi bien en italien qu'en latin qu'il détruira toutefois à la fin de sa vie. * En printemps 1482, la guerre de Ferrare oblige Pico à quitter Padoue. Il retourne à La Mirandole, où le rejoignent des amis et des professeurs de Padoue, tels que Manuele Adramyttenos, avec qui il travaille le grec, ou Nicola Leoncino. Aldo Manuzio est également reçu

artiste italien né à Padoue en 1960. Il vit et travaille à New York. Ses oeuvres, souvent provocatrices, mêlent un humour noir à une réflexion sur la mort, la place de l’être humain dans le monde et la société où il vit, la manipulation religieuse ou politique, les grandes catastrophes humaines du Xxème siècle. Il est aujourd'hui l'un des artistes contemporains les plus collectionnés. Il n'a jamais fait d'école d'arts, c'est un autodidacte. Au tournant des années 70, Padoue, tranquille cité catholique